L’avis du photographe :
Judas Priest fait désormais partie des papys du heavy metal. Et difficile de leur en vouloir d’apparaître comme tels, c’est-à-dire avec un certain manque d’entrain, ce qui ne signifie pas pour autant qu’ils ne sont pas impliqués dans leur show et avec leur musique. Mais il faut tout de même aller chercher le bassiste Ian Hill avec du gros téléobjectif (un doubleur sur le 70-200 fait l’affaire) pour l’attraper, tant il reste planté devant son ampli, son jeu de scène se résumant à quelques poses. Ce qui n’empêche pas de prendre du plaisir à les photographier. Parce que, tout d’abord, ce sont des légendes de notre musique de prédilection, parce que les lumières sont belles, parce que la musique est bonne (comme dirait Goldman), mais aussi parce que le petit nouveau, Richie Faulkner, est une vrai bombe à photographier, délivrant à lui seul assez d’énergie pour tout le groupe.
Notes techniques :
Appareil utilisé :
Nikon D700
Nikon D800
Objectifs utilisés :
Nikon 24-70 f/2.8
Nikon 70-200 f/2.8
Nikon TC-20E III Teleconverter x2
Ooh mon dieu, comment sa se fais que j’ai manquer ça x)
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chouettes photos, dommage qu’il n’y ait pas de preuves de ma vision lors des 2 dernières chansons : je peux vous assurer qu’on voyait toutes les parties génitales de Rob à travers son pantalon totalement transparent à ce niveau là. ^^
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alors tu vas pouvoir nous le dire : elles sont rasées et tatouées comme le reste du bonhomme :-):-)?
Secret professionnel je me dois de garder le silence mais t es pas loin du vrai ? elles se baladent cela dit dans un bon tempo je doute dans le fait qu il y ait un slip !