De 1969 jusqu’à la conclusion de leur tournée d’adieu il y a deux ans, Judas Priest était resté coutumier d’un certain goût du risque par l’expérimentation (terme tout de même à prendre avec des pincettes) et le matériel neuf, une prise de risque bien symbolisée par le conceptuel Nostradamus de 2008 qui avait mis en évidence un énième cap dans la discographie étendue du groupe, une innovation marquante pour les Anglais – ou un regard nostalgique vers leurs pièces épiques des années 70, pour certains – au travers de séquences ambiancées, progressives, sophistiquées, non sans avoir dérouté au passage nombre de leurs fans. Dans sa construction, Redeemer Of Souls représente en revanche une résurgence moins aventureuse que Nostradamus, consistant la plupart du temps en une promenade de santé en mid-tempo pour ses musiciens. Un album qui se veut plus classique donc, voire convenu par moments, jusque dans le son (de guitare surtout) vieille école, pour ne pas dire daté.
Du classique avec les mélodiques et accrocheurs « Redeemer Of Souls », « March Of The Damned » ou « Down In Flames », et surtout le single « Dragonaut », dont les riffs criants renvoient évidemment à l’époque bénie de Painkiller (1990), ou le quelque peu monotone « Metalizer ». Judas Priest n’a pour autant pas délaissé son registre épique, comme le démontre « Halls Of Valhalla », dans une légère veine heavy allemand et qui dépeint tout en cavalcade le séjour des âmes des guerriers morts en héros, ou un « Cold Blooded » grave et lancinant. « Crossfire » se permet une incursion sur un terrain bluesy avec pédale wah-wah en renfort plutôt inattendu. Rob Halford, s’il n’a plus rien à prouver, paraît parfois sur la retenue, mettant relativement de côté ses poussées aiguës légendaires, marchant même sur les traces d’un Ozzy Osbourne, influence qu’on peut mesurer sur « Secrets Of The Dead », « March Of The Damned » ou « Beginning Of The End ». Mais le frontman polyvalent parvient encore à surprendre quand, par exemple, méconnaissable, il s’adonne à des complaintes lyriques sur « Sword Of Damocles », ou en écorché vif à la manière d’un Johnny Cash en ouverture de « Hell & Black ».
L’émotion est palpable lorsque sur les trois derniers morceaux se dégage une atmosphère onirique et spirituelle, au travers de claviers, de chœurs et de guitares plaintives sur l’ésotérique et grandiose « Secrets Of The Dead » (dont le solo de synthétiseur renvoie à la scène progressive) ou l’introspectif « Battle Cry ». L’ambiance vire enfin au recueillement sur fond d’adieu à l’occasion de « Beginning Of The End », poignant treizième titre et apogée de l’album, ultime ballade au long de laquelle l’estomac finit par se nouer, évoquant le même postulat que Black Sabbath sur leur dernier opus 13 sorti l’an passé, à savoir qu’il s’agit du début de la fin. Communauté de destins donc entre ces deux formations originaires de Birmingham qui s’apprêteraient, semble-t-il, bientôt à raccrocher leurs instruments.
Redeemer Of Souls est un album un peu fatigué dans son tempérament qui résonne effectivement comme une fin de vie, là où Angel Of Retribution (2005), lui aussi plutôt familier dans son contenu, voyait le retour de Halford sous le signe de la renaissance et de l’envie d’en découdre. Difficile de le leur reprocher, le contexte étant différent, l’état d’esprit n’est lui aussi plus le même et le vieux sage du heavy a, malgré tout, toujours les arguments justes. En clin d’œil au thème de l’album, l’heure est au jugement dernier et la reconsidération des âmes selon la pureté de leur karma. Bien qu’éternellement flétri par l’Église pour son nom polémique, le Prêtre de Judas ne devrait normalement pas marcher dans les limbes du heavy metal au vu de leur contribution au genre. Et si le groupe a décidé d’en finir avec les longues tournées, il ne s’agirait pas de les enterrer si vite, le troisième âge de Judas Priest pourrait bien durer plus longtemps qu’on croit…
Ci-dessous les titres « Dragonaut » et « March Of The Damned » :
Album Redeemer Of Souls, sortie le 14 juillet chez Columbia Records.
Bon mettons les choses au point, nombre de speudo journaliste racontant tout et n’importe quoi.
Oui Judas Priest est une référence importante de notre musique qui marquera à jamais le Métal
Oui Rob est unique est après notre maitre Ronnie James DIO reste une référence absolue
Oui Judas reste sur scène un groupe extraordinaire.
NON Judas n’est pas issue de la NWOHBM, mais a très bien pris le train en marche à cette époque pour sortir 2 albums sublime et marquant Screming for Vengeance et Defender of the Faith qui vont tout simplement réécrire les codes du Métal !!!!!
Ces 2 albums marqueront notre musique à jamais, Tout métalleux de l’époque devint fou à l’écoute de ces 2 joyaux !!!!!!
Vive Judas Priest
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Un album dont je n’arrive pas à me lasser depuis sa sortie, tous les morceaux sont excellents, mélangeant un peu tout les styles de leurs albums précédents, bref du bon du grand Judas.
Le concert du 18/06 au Zénith que je ne voulais pas rater était aussi excellent.
Longue vie à Judas Priest!
ps: Merci à Jean-Luc RABERIN pour sa chronique 🙂
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Salut à tous !
Je ne vais pas faire par le détail la chronique du nouvel opus de JUDAS PRIEST, d’autres s’en sont déjà chargés et s’en chargeront encore… Je vais donc parler de « REDEEMER OF SOULS » et du groupe de façon général, car je suis en colère à la lecture des critiques, souvent au vitriol, que j’ai trouvé sur le net ! Oh pas que le statut de JUDAS PRIEST les exempte de toutes critiques négatives, bien sûr, mais tout de même, trop c’est trop ! Moi-même musicien et chanteur depuis 40 ans et grand fan de Hard-Rock et de Heavy-Métal, je suis atterré de lire tant de stupidités, de non-sens et de contre-vérités !!
Avant que certains ne me le disent, oui je suis un fan inconditionnel du groupe et par là même je ne suis peut-être pas totalement objectif, mais je ne suis ni sourd, ni aveugle et mon sens critique est souvent plus aiguisé pour les groupes que j’aime… J’étais donc au magasin le jour même de la sortie de l’album, c’est dire si je l’attendais avec impatience… Première constatation (j’ai acheté la version de luxe), le packaging est magnifique et très soigné : dessin de couverture particulièrement réussi, épais papier glacé, belles images, belles photos, et tous les textes sont imprimés, même les titres du CD bonus, ce qui n’est pas toujours fait dans pareil cas de figure, ce ne sont donc pas des chansons au rabais loin de là ! Les membres du groupe ont particulièrement bien soigné l’artwork et offrent aux fans un bien bel objet ! Deuxième constatation, JUDAS nous en donne pour notre argent avec un long album de 13 titres + 5 titres sur le CD bonus, un « gros » album donc ! J’ajouterais qu’il me semble indispensable de posséder la version de luxe tant le CD N°2 fait partie intégrante de l’œuvre, il est à mon sens impensable de s’en priver ! Rusé le marketing des PRIESTS !!
Maintenant le contenu musical : et c’est là que je m’insurge !! C’est une parfaite réussite, oui Monsieur et Madame les critiqueurs de tous poils !! Que pouvez-vous donc vouloir et demander de plus à JUDAS PRIEST ? Ce groupe est la référence ultime du « real » Heavy-Métal issu de la NWOBHM, quasi les inventeurs de ce style, et les musiciens envoient du lourd avec une maîtrise totale ! Tous les morceaux sont de vraies réussites, rien n’est à jeter, juste parfait dans tous les « secteurs » du style : mélodies soignées, refrains entêtants, production excellente, gros son, compositions mûrement réfléchies, guitares de TIPTON et FALKNER furieuses et parfaitement en symbiose comme à l’époque avec DOWNING, batterie de TRAVIS époustouflante, martèlement de la basse de HILL, et le chant magnifique du maître HALFORD !! Pour ma part j’ai eu les poils dressés tout du long de ma première écoute et c’est un signe chez moi : la musique ce n’est pas que de la technique, c’est avant tout un feeling, une âme… Alors que demandez-vous de plus ??
Je peux comprendre l’effet de surprise créer par NOSTRADAMUS, qui en a décontenancé plus d’un. C’était déjà fort regrettable, car je fais partie de ceux qui crient au génie pour cet album. A mon humble avis le groupe avait atteint là des sommets de perfection, de savoir-faire et d’originalité. Cet opus entrera au panthéon de l’histoire du Heavy-Métal, j’en suis absolument certain, vous verrez ! Je ne me lasse pas de l’écouter en boucle… Mais alors pour REDEEMER OF SOULS, tous les fans devraient être enchantés, car le groupe nous livre là un album de… …« JUDAS PRIEST » ! Une lapalissade me direz-vous, mais c’est cela qui semble gêner les critiqueurs. « Pas assez original » ; « auto parodie » ; « pas de prise de risque », voilà quelques exemples de ce que j’ai pu lire !? Mais enfin il faudrait savoir ce que vous voulez !! Lorsque le groupe sort des sentiers battus c’est le tollé général et lorsqu’il revient à son plus pur style c’est aussi un scandale !! Mais oui JUDAS PRIEST à un style bien à lui et il est reconnaissable entre tous, comme les IRON MAIDEN, SAXON, MOTORHEAD, METALLICA, AC/DC, BLACK SABBATH, etc, tous ces anciens groupes « immenses » qui ne ressemblent à aucun autre, souvent cités, enviés et rarement bien imités… Tout le contraire des groupes d’aujourd’hui qui se ressemblent un peu tous dans leur différentes catégories et qui aimeraient bien eux aussi « trouver » leur propre voie (il existe néanmoins toujours des exceptions comme NIGHTWISH ou GHOST B.C. qui ont su eux aussi se démarquer) ! JUDAS PRIEST nous fait l’honneur d’un album qui regroupe toutes les différentes composantes et facettes qui ont parcheminé son histoire et c’est tout simplement jouissif, c’est tout !! Les fans devraient incontestablement s’y retrouver…
Maintenant je vais reprendre plus dans le détail quelques critiques qui m’ont particulièrement ulcéré. Une des critiques récurrentes est sur les tempos de l’album qui ne décollent pas et seraient trop souvent mid-tempos, voir lents. Déjà c’est totalement faux ! Bien que plutôt tempérés les rythmes sont soutenus et lourds ! « Non mais allo quoi » dirait Nabilla, JUDAS PRIEST est un groupe de Heavy-Métal et heavy veut dire lourd, mais pas rapide !! Fans de Speed-Métal qui déboite à donf et à la double pédale omniprésente passez votre chemin, le PRIEST et bien plus subtil que ça ! Par ailleurs Scott TRAVIS, certainement un des plus grands batteurs de sa génération, nous livre là toute l’étendue de son talent et de sa maîtrise : frappe d’éléphant, subtilités et richesses des rythmes, double pédale utilisée à bon escient, du grand art ! Pour ceux qui disent que l’on est loin de la fureur de PAINKILLER, je répondrais qu’il est un peu réducteur de résumer JUDAS PRIEST à ce seul album. Bien que pour moi ce disque soit la référence ultime du Heavy-Métal et du groupe, qu’auriez-vous dit alors si les membres du groupe vous avez livré un PAINKILLER BIS ??!! Et puis il y a un temps pour tout : il est vrai qu’à leurs âges ils ne vont pas n’ont plus s’exciter comme des gamins boutonneux non plus et en pure perte, la « maîtrise » est un credo qui leur sied à merveille aussi… La surenchère étant par ailleurs inutile en musique ! Les membres du groupe n’ont plus de preuves à fournir à quiconque ; PAINKILLER ils l’ont déjà fait et le jouent toujours sur scène. Pour info je rappelle également que les gars du PRIEST ne sont pas nés d’hier : Glenn TIPTON 66 ans, Ian HILL 63 ans, Rob HALFORD 62 ans, Scott TRAVIS 52 ans, et le « petit » dernier Richie FAULKNER 34 ans…
Une autre critique souvent formulée : certains voient un manque d’originalités des riffs et des parties de guitares, voir même certains trouvent les solos manquant de folie et d’ambition. Moi je ne vois pas du tout de problème de ce côté-là, je trouve le boulot des guitares particulièrement réussi et incisif ! C’est Richie FAULKNER qui fait les frais de cette critique en se voyant porté pour responsable. Il est le centre de tirs de « scuds » incroyables, car la faute ne peut venir que de lui !? Ce garçon est vraiment très bon, il l’a prouvé sur scène et « le jeune » n’a pas à rougir de honte car son travail avec TIPTON est excellent et l’on retrouve bien la symbiose qui existait avec K.K. DOWNING. Une belle paire de guitaristes malgré leurs 30 ans d’écart ! Je ne vois donc là que de la jalousie de mecs qui rêveraient bien d’être à sa place, car le « gamin » à de la ressource et le prouve sur REDEEMER OF SOULS. Il n’est pas un « intru » comme d’aucuns le disent, bien au contraire, il a su se rendre indispensable et imposer aussi sa marque de fabrique ! Un grand bravo donc au milieu d’un déchainement de critiques non mérités !
Enfin les dernières critiques ne sont pas les moindres puisqu’elles touchent « LE METAL GOD » himself ! J’ai lu des horreurs totalement honteuses sur Rob HALFORD ! C’est scandaleux !!!! « Le Maître » ne serait plus que l’ombre de lui-même, incapable de chanter sur des rythmes soutenus (d’où la prétendue lenteur des morceaux), incapable d’atteindre ses « High Notes » comme avant, ridicule même sur certains morceaux, à la peine sur d’autres… Un nombre incalculables de saloperies comme celle-ci et qui ne sont que des contre-vérités !! Rob HALFORD est la plus grande voix masculine du rock de la planète et peut-être même de toutes les musiques confondues, qu’on se le dise !! J’étais présent à PARIS et à COLMAR lors de L’EPITAPH TOUR et Le Maître nous en a foutu plein la gueule !! Il suffit de regarder le DVD de la tournée pour s’en convaincre si besoin était !! Même si je dois bien reconnaitre qu’à son âge on sent moins de facilité et de « brillance » que lorsqu’il était plus jeune, ses performances continuent à forcer le respect ! Je maudis tous les types qui l’ont critiqué !! En vieillissant les cordes vocales s’épaississent et durcissent (je sais de quoi je parle, car je rappelle que je suis chanteur aussi), et seul la pratique régulière peut maintenir le niveau. A 62 ans LE METAL GOD sait sûrement qu’il n’a pas intérêt de s’arrêter trop longtemps de chanter sans quoi le couperet tombera inévitablement ! Chanter à un tel niveau réclame un don particulier et un travail constant. Et le boulot et foutrement bien fait sur REDEEMER OF SOULS, Rob HALFORD y allant même à faire du « GROWL » sur HALLS OF VALHALLA, se payant le luxe de passer d’une note particulièrement grave à une montée en « high note » (4 octaves dans la voix tout de même, qui dit mieux ?) ! Du grand HALFORD !! Jalousie quant tu nous tiens !! Un type a même écrit que le poste de chanteur serait mieux tenu par Ralf SCHEEPERS du groupe PRIMAL FEAR ! C’est possible certes, mais incroyable de dire cela ! Bien que j’aime particulièrement la voix et le talent de SCHEEPERS, il n’a pas le grain de voix à multiples facettes de notre bon vieux Rob ! Sans compter que Timothy S. « Ripper » OWENS a quant à lui occupé magistralement le poste de chanteur dans JUDAS PRIEST, mais sans jamais réussir à faire oublier le chanteur historique ! Le METAL GOD n’est pas fini que cela soit bien clair !! Et puis HALFORD c’est aussi une personnalité « indécrochable » de JUDAS PRIEST et l’auteur du groupe, il ne faut pas l’oublier ! Justement, quant aux textes des chansons, c’est aussi du bien bel ouvrage, bien écrit, bien structuré, des sujets intéressants, c’est un énorme travail à mettre en place et je sais de quoi je parle… Les morveux qui le critiquent lisent-ils aussi ses paroles pour le juger de façon plus globale ??!! Rob HALFORD est déjà une légende de son vivant, peu de chanteurs peuvent se targuer de cela ! Demandez donc à Ian GILLAN de DEEP PURPLE s’il chante encore CHILD IN TIME, vous verrez, il n’en est hélas plus capable depuis de nombreuses années…
Voilà pour conclure ma chronique un peu spéciale, je dirais que pour ma part je mettrais une note de 19/20 à cet album particulièrement réussi de « Heavy-Métal » et qui laisse présager encore de bons moments sur scène pour JUDAS PRIEST. D’ailleurs derrières les détracteurs et les critiqueurs, l’album se vend comme des petits pains, un signe à n’en pas douter ! 32 000 copies de vendus aux USA rien que lors de la première semaine d’exploitation, atterrissant même directement au N°6 du classement BILLBOARD des ventes ! Un début plus qu’excellent ! Et du jamais vu en France, REDEEMER OF SOULS s’est également déjà placé en tête des ventes de CD !! Je souhaite donc à JUDAS PRIEST encore tout le meilleur, dans l’espoir fou d’un autre album à venir… JUDAS PRIEST et sa bande de « Metallians » purs et durs, est et restera pour toujours unique en son genre ! Je serais, nous serons tous bien orphelin lorsque l’aventure s’arrêtera définitivement, ne laissant derrière ce groupe magique et mythique qu’un champ de ruines et de cendres, en tous les cas un grand néant et une peine insondable…
Long Live JUDAS PRIEST and THE METAL GOD !!
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Je plussoie.
Lu (malgré la dose!) et approuvé.
En particulier pour tout ce qui concerne Nostradamus, édifice exceptionnel s’il en est.
Bravo à Jean-Luc, entièrement d’accord. Sur cet album et aussi sur Nostradamus.
Et aussi sur les performances vocales de Robert.
Je l’ai vu au Hellfest 2011, notamment, c’était MONSTRUEUX vocalement, et il y en avait pas mal pour dire qu’il était limité.
Sérieux les types ils sont graves!!!!!!
Merci Jean-Luc, ça fait du bien un gars lucide, un gars qui sait ce que c’est que le travail aussi.
Après je pense comme toi qu’il ne faut pas donner trop d’importance à ce que l’on peut lire, comme tu dis l’album se vend très bien.
Il y en aura toujours pour critiquer bêtement, pour se la jouer intello. Mais en dehors de ça ils font quoi??!!
Triste.
Voilà ce que j’ai lu de plus intelligent au sujet de cet album et de Judas Priest en général. Enfin un mec qui comprend quelque chose à la musique!
Chapeau bas!
C’est fait exprès ou alors y a vraiment un foutage de gueule au niveau de certains titres ? « Hell & Back » et « Metalizer » qui font très légèrement penser à des titres de Sabaton ; « Beginning of The End » qui lui fait penser à un titre de Black Sabbath et probablement encore d’autres qui ne m’ont pas sautés aux yeux au premier abords…
[Reply]
Au pire on s’en fout un peu du nom des morceaux non ?
Y a aussi Crossfire de Scorpions. Mais dans chacune de ces musiques, seul le nom ressemble, le reste n’a rien à voir, je vois pas le problème…
Si on va par là, Hell & Back est aussi un titre de Metallica. Mais c’est vrai que musicalement il n’y a aucune similitude enre ces morceaux du même nom.