L’avis du photographe :
Des musiciens vétérans véritablement contents de se produire devant leur public, même si les années semblent désormais peser sur leurs épaules. Non pas qu’ils soient statiques sur scène, mais disons que leurs mouvements ne sont pas des plus vifs – à l’exception du guitariste-clavieriste Wayne Findlay à l’attitude plus jeune et moderne. Remarquez, tant mieux pour la photographie car il était possible de maximiser les temps de pause pour palier à la – globalement – faible intensité lumineuse du show.
Étrangement, j’étais le seul et unique photographe dans le pit. A croire que Michael Schenker et ses prestigieux collègues – notamment Herman Rarebell et Francis Buchholz, deux ex-Scorpions de l’âge d’or du groupe, et Doogie White, qui a chanté pour Yngwie Malmsteen et Rainbow – n’intéressent plus vraiment la presse, même spécialisée. Dommage.
Notes techniques :
Appareil utilisé :
Nikon D700
Objectifs utilisés :
Nikon 24-70 f/2.8
Nikon 70-200 f/2.8
« Herman Rarebell et Francis Buchholz » Mon Dieu, obligé de racler les fonds de tiroir de son frangin… Les deux pires membres de Scorpions, toutes époques confondues.
Et il a pris très cher, Michael, ça fait peur…
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Seul dans le pit ? Juste étrange. Tant mieux pour toi. A Vauréal, cela n’était clairement pas le cas. Les photographes parisiens étaient nombreux. Normal vu la légende. Plus de trois titres autorisés ?
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