Le dernier round ! Le camping s’est réveillé doucement sous la pluie et les premières cornes de brume ont résonné dans Saint-Nolff, lançant le signal de départ du troisième jour du Motocultor 2013. Et comme nous l’avons fait depuis vendredi (ou l’an dernier ou plus récemment, au Sonisphere et au Hellfest), vous allez pouvoir suivre le festival en direct via ce fil rouge qui sera fréquemment mis à jour de 12h00, heure du premier concert, jusqu’à l’extinction des dernières notes vers 1h du matin !
Suivez-nous donc dès maintenant via nos trois plate-formes éditoriales – le site de Radio Metal, notre page Facebook et notre compte Twitter – pour tout savoir sur ce Motocultor 2013 et obtenir nos impressions à brûle-pourpoint. Nous vous conseillons donc de recharger cette page régulièrement car nos informations sont mises en ligne en temps réel. Par ailleurs, sachez que les live reports de ce fil rouge pourront être enrichis quelques jours après le festival et nous vous proposerons également, a posteriori de l’événement, des galeries photos entièrement consacrées aux prestations des artistes.
12h40 : Un son profond, puissant, aérien, violent, tout cela à la fois, pour l’ouverture de ce dernier jour de festivités, Regarde Les Hommes Tomber nous emmène haut, très haut. Le combo nantais offre un metal atmosphérique, puissant et vaporeux qui permet au public de se réveiller progressivement. La sauce prend vraiment bien, petit à petit les morceaux se font plus lourds, plus insistants. Le quatuor maîtrise son intensité et n’use d’aucune mise en scène pour enjoliver ce qui est déjà phénoménal. Nul besoin d’artifice quand la qualité parle d’elle-même.
13h10 : Ruée sur le stand des Acteurs de l’Ombre (juste en face du stand RM) pour le merch de Regarde Les Hommes Tomber. C’est LE gros coup du weekend, on dirait !
13h30 : Changement de scène, changement d’ambiance. Bukowski monte sur la Supositor Stage, des valises sous les yeux, mais le sourire aux lèvres. Comme le dit le chanteur, la soirée de la veille a été dure (eh oui, ils devaient être à l’orgie de la tente Vipi ; d’ailleurs quelqu’un pourrait lui dire que sa braguette est ouverte ?) et même si la tâche va être dure, surtout quand il faut passer après Regarde Les Hommes Tomber (beaucoup de festivaliers s’étaient levés pour voir ces derniers et retournent donc maintenant en masse au camping), ceux qui chercheraient à émerger ne seront pas déçus. On aurait pu penser que les décibels et la bière auraient eu raison de la vitalité de la fosse mais, au fur et à mesure, les nuques se décoincent (comme sur « Brothers Forever »), et chacun apprécie le son qui est très bon, la voix affutée, le gros grain de la guitare du power rock des Parisiens, tout comme le soleil qui revient. Et avec « Misanthropia », les choses vont vraiment s’enflammer.
Le tigre se réveille ! Malgré leur air fatigué de départ, Bukowski se réveille drôlement bien sur scène. Il faut dire que la voix chargée de whisky et de clopes colle bien au style du groupe ! Et ils ne ménagent pas leur peine. Et tant pis si les cordes vocales commencent à être franchement éraillées vers la fin. Ce qui compte, c’est la bonne humeur que dégage le groupe, qui aura dédié sa chanson ‘Car Crasher’… à la gendarmerie !
14h24 : On apprend que Eyehategod, qui devait jouer dans quelques dizaines de minutes, a annulé sa venue au Motocultor. La cause : le groupe qui jouait hier soir à Paris, est parti directement vers Clermont-Ferrand où ils joueront demain matin. Conséquence de cela, Jumping Jack aura droit à vingt minutes de plus.
15h53 : Ataraxie, œuvrant dans un style proche d’AmenRa, mais avec un chanteur plus mou, a eu l’air d’ennuyer le public, à part quelques fans dans les premiers rangs. Quoiqu’au point musicalement, c’est un peu laborieux, plus lent que lourd, même pour du doom. Alors, sous le beau soleil qui n’a pas l’air de vouloir nous lâcher, les Nantais de Jumping Jack vont se charger de remettre quelques bûches dans la chaudière. En montant sur scène, on les voit résolus à envoyer du bois et à combler l’absence d’Eyehategod.
Et le moins que l’on puisse dire, c’est que le combo assure le taf ! L’ambiance est tout simplement monstrueuse, les riffs prennent la fosse aux tripes et déclenchent pogos et slams dans tous les sens. On a beau se dire que le groupe se produit en territoire conquis, il n’empêche qu’on assiste à l’une des prestations les plus pêchus de ces trois jours.
16h40 : En conférence de presse, l’organisation a indiqué que 2013 est l’année la plus positive pour le festival, avec 12 000 entrées (soit 1000 de plus que l’an dernier), profitant d’une visibilité plus internationale. Elle est aussi fière du rapport qu’elle a avec les groupes qu’elle accueille et qui se montrent satisfaits ; le meilleur exemple étant le concert d’Enslaved, vendredi, qui a souffert d’une coupure d’électricité en début de set, mais l’incident a été pris avec le sourire et professionnalisme par les musiciens. D’autre part, Saint-Nolff, sa mairie et ses commerçants, ont l’air contents du déroulement du festival. Ce qui est un bonne chose car, comme Yann Le Baraillec (directeur-programmateur) nous le disait en interview, si la réédition de l’événement sur ce site n’est pas assurée, c’est le développement de celui-ci qui est en jeu. Le plan B consisterait à retourner à Theix, sur un site inadapté, sans eau ni électricité. La décision sera prise en octobre. Mais en restant optimiste, l’objectif à moyen terme (c’est-à-dire dans les cinq ans) serait de pérenniser un site pouvant accueillir entre cinq et six mille personnes par jour, d’offrir trois emplois à plein temps et de détenir un budget plus important. Non pas pour marcher plus tard sur les plates bandes du Hellfest : le modèle serait plutôt le Summer Breeze (en Allemagne).
16h46 : Une chose est sûre : Unfomammut porte bien son nom. La musique délivrée par les Italiens est véritablement pachydermique ! Le son est profond et lourd à souhait, un vrai bonheur pour les amateurs de psychédélisme massif. Et si une partie de la fosse paraît trouver ça un peu mou du genou, c’est parce que ce n’est pas au niveau des rotules que ça se passe… La majorité des festivaliers a la tête dans les étoiles et plane allègrement sur les grasses mélopées du groupe. Qu’on se le dise : Saint-Nolff a pris le temps de marcher au ralenti le dimanche 18 août.
18h12 : Les récemment reformés The Old Dead Tree arrivent sur la Dave Mustage, après un retour remarqué au Hellfest, où le public les retrouvent avec plaisir. Surtout qu’on découvre un groupe plus en place qu’à Clisson, dans un set mieux rôdé, avec une voix mieux posée, plus juste et un meilleur son. Ce chant justement, tantôt mainstream, tantôt très death en partant dans les graves, fait la particularité du groupe. Néanmoins, à mesure que les titres défilent, le public se montre moins réceptif qu’à la Fête de l’Enfer, probablement en raison de ce manque d’agressivité entre les passages les plus extrêmes. En revanche le public féminin semble emballé (la chevelure du chanteur et sa voix proche d’Incubus dans les parties mélodiques y seraient-elles pour quelque chose ?). Enfin, même s’ils sont chaleureusement applaudis entre les morceaux, une bonne partie du public se désintéresse du concert en cours de route et part profiter du soleil sur les côtés du site. Dommage car il s’agissait d’un bon concert et ceux qui le souhaitent pourront s’en rendre compte lors de leur tournée en octobre.
18h32 : Vainqueur du Headbang Contest de Paris, Lutèce envahit la Supositor Stage et déverse avec entrain son black folklorique. Les amateurs apprécient, les autres un peu moins. Qu’importe, l’apocalypse a été déclenchée et rien ne semble pouvoir l’arrêter. A la demande du chanteur Hesgaroth, un wall of death poussiéreux est lancé sur le morceau « Alésia », l’occasion de boire un bon bol de sable. A voir le champ de bataille, nul doute que le soleil se lèvera rouge demain matin.
19h54 : Le hard rock des Suédois de Mustasch a posé ses amplis à Saint-Nolff. Un groupe qui avait fait des heureux sur la Mainstage au Hellfest il y a deux mois. Le chanteur a une pêche d’enfer, les riffs saignants sont lâchés avec classe, en bref, Mustasch met le feu et le public goûte ses mélodies qui, quoique simples, groovent comme il faut, notamment grâce au couple basse-batterie et quelques solos bien sentis. C’est du bon gros rock’n’roll et c’est du bon !
Mais pour tout ceux qui étaient en manque de brutalité, Decrepit Birth a donné une nouvelle chance d’extérioriser ses pulsions, bonnes ou mauvaises. Le quintet californien provoque des circle-pits à répétition et mitraille sans temps mort la fosse de morceaux tels que « The Infestation », plutôt adaptés aux effusions de poussière collectives. Un combo qui, en plus de communiquer beaucoup, ne ménage pas ses efforts.
21h26 : Après une entrée théâtrale, avec un Fernando Ribeiro masqué, et des dehors gothiques, Moonspell va bien plus loin musicalement que cette enveloppe, se baladant dans de nombreux extrêmes, opposant les claviers atmosphériques aux riffs black acérés, et allant jusqu’aux bordures de l’avant-garde. Et cette identité si particulière et complexe fait probablement que les Portugais étaient à ce point attendus ce soir. Le public, ravi de les recevoir, a érigé au fur et à mesure que le concert passait une forêt de bras levés. Et le succès, presque remporté d’avance, ne sera pas contredit au final, jouant ces hits comme « Opium », Vampiria » ou « Full Moon Madness » pour conclure, et s’adressant à son audience en français, le groupe n’aura pas volé son ovation finale. Et il faut souligner qu’une telle programmation, à cette heure-là quand le soleil commence à décliner, était parfaite.
22h05 : Ce soir, la Supositor Stage avait rendez-vous avec l’histoire. Dying Fetus, légende du death, est dans la place et force est de constater que le combo électrise la fosse sans le moindre effort. Les agents de sécurité ne savent plus où donner de la tête, on compte en permanence entre deux et quatre slams simultanés…
Il faut dire que les Ricains sont diablement badass en live ! A la guitare et aux borborygmes, John Gallagher enchaine ses plans ultra-techniques sans sourciller une seconde. Ses deux comparses, Sean Beasley et Trey Williams, sont tout autant de véritables machines de mort. Le premier growle et matraque sa basse, tandis que le second est une vraie mitrailleuse MG-42 derrière ses fûts. Mis sobrement en valeur par quelques lumières, le trio délivre ses classiques dans une performance dantesque où il aura été possible de voir passer une poupée gonflable, une chèvre rouge volante et un crocodile. Épique !
22h54 : A la manière d’Annihilator, la veille, Exodus est un nom historique du thrash. C’est donc un euphémisme de dire que les Californiens étaient attendus. Et c’est une fosse pleine qui scande leur nom à leur arrivée. Et comme on n’est pas là pour ça, le groupe monte sur scène avec un fond de scène toujours aussi simpliste, le même qu’au Hellfest 2012. Pas question de décor superflu, ce qui compte ce sont les riffs « made in Bay Area ». Autrement dit : ça envoie du gros thrash. Rob Dukes donne tout ce qu’il a, montant sur l’estrade de la batterie, entraînant un public aux anges, grattant les cordes de son guitariste pendant un solo… Le groupe n’oublie pas non plus de rendre hommage à leur vieux copain, le regretté Jeff Hanneman de Slayer entre deux morceaux, tout en lui dédiant le suivant.
Et tout finit en un « Strike Of The Beast » très agressif, avec un frontman qui ne lâche toujours rien alors que le solos déferlent les uns après les autres. Le public aussi met toute son énergie dans ce final comme si ce devait être leur dernier concert. Mais pas trop non plus, s’il vous plaît : Exodus vous conseille aussi d’aller voir Orange Goblin à côté.
23h59 : Ambiance enfumée, lumières oranges et bleues, Orange Goblin donne tout de suite le ton avec un de leurs tubes aux riffs infectieux. Le son est massif, la basse sismique. Ben Ward, dont la carrure impressionnante n’a d’égal que son charisme, secoue son pied de micro comme un dingue, notamment sur un extrait très punk de l’album Coup de Grace. Après une tournée avec Clutch, on peut dire que leur show est bien rôdé. Les Anglais sont partis pour un show explosif, sans temps morts, plein de rythmiques ou d’accélérations thrash, d’énormes riffs stoner ou de solos précis exécutés par Neil Kingsbury – remplaçant du malheureux Joe Hoare après que celui-ci se soit récemment rompu le tendon d’Achille (plus d’info ici).
Le courant passe très bien avec le public (même si une partie a préféré déclarer forfait, sans doute en raison de l’heure tardive et de la fatigue des trois jours) et le chanteur se montre généreux en émotion avec lui, lui criant : « France, you are beautiful ! », ou, après un « The Fog » de folie, en lançant un merci en français. Il en a aussi pour les collègues, remerciant Exodus et dédiant « Cities Of Frost » à Lemmy. Il rappelle en outre que c’est la dernière date de la tournée du groupe, alors c’est le moment de remercier le public français qui les a si bien accueillis et de se montrer reconnaissant : Orange Goblin est très touché d’être parmi les têtes d’affiche de ce fest. A la fin, le public (ou ce qu’il en reste), leur rendant la politesse, les applaudit chaleureusement. En espérant les retrouver vite, très probablement l’an prochain car un nouvel album est sur les rails et une sortie est prévue pour 2014…
02h00 : Du chant lyrique à la pelle, des costumes rococos, des solos ultra-heavy, oui, c’est bien Therion qui est chargé de cloturer cette édition 2013 du Motocultor. Certes, l’ambiance n’est pas aussi folle que pour Exodus ou Orange Goblin, mais le public reste très important et captivé par la prestation et la riche mise en scène du groupe suédois. celui-ci met comme à son habitude les petits plats dans les grands et gâte ses fans.
Therion communique très bien avec la foule et parcourt sa discographie sans oublier son dernier opus Les Fleurs du Mal. Une bien jolie fin.
Tom DoctorMiltron n’a décidément pas les couilles d’afficher son vrai pseudo ! Et décidément, celui qui se dit journaliste sans diplôme ni même reconnaissance du milieu, se plaint d’être payé au SMIC pour ses articles fleuves dignes de Voici ! Encore heureux qu’il ne trouve pas de travail dignement payé, il ne manquerait plus que ça !
Autant se planquer derrière un pseudo afin de digérer le fait que PERSONNE ne lui accorde une ONCE de reconnaissance !
Lui qui crache sur tout ce qui passe, même sur un certain François Montupet avec qui il est sensé être collègue et ami sur le Motocultor, en déclarant, à qui veut l’entendre, que « François ne mérite pas sa place au Motocultor tant son travail est amateur ! »
Autre petite correction, Decrepit Birth a bien joué « The Infestation » et non « The Inferno » 🙂 D’ailleurs j’étais vachement déçu qu’ils partent au bout de 35 minutes de set alors que 55 minutes étaient prévues… Enfin bon, un concert où le chanteur demande de l’herbe à son public, je sais pas trop à quoi je m’attendais :p
C’est un nouveau batteur qui a eu tout juste le temps d’apprendre un set de première partie de tournée US, donc 35 minutes avec la reprise de Death 😉
Si vous voulez de l’info et de l’explication journalistique faut aller la chercher ailleurs ^^
D’ailleurs il y a une autre boulette sur Orange Goblin, la trouverez-vous tous seuls ?
Je sais à quel point lorsque des erreurs s’immiscent dans nos papiers cela en fait jubiler certains, mais c’est encore, heureusement, assez rare si l’on considère la quantité d’articles rédigés pour ne pas trop en être inquiété. En revanche, je crois que certains n’ont pas compris qu’il ne s’agissait pas là d’un live report mais d’un fil rouge. Ce qui signifie que c’est un récit rédigé à vif par un rédacteur qui recevait, minute par minute des infos à mettre en forme de nos deux reporters présents sur place, qui à eux deux, outre les concerts, couvraient également les conférences de presse et des interviews (autant dire qu’ils ont couru tout le week end). Le but n’est donc pas ici, dans le cadre de l’exercice du fil rouge, de proposer des informations exhaustives mais de partager des ressentis à chaud pour faire vivre le festival en direct à ceux qui n’y sont pas. Et du fait des aléas dû au mode de communication ou qu’un reporter ne peut pas avoir en tête à tout instant tous des détails sur chaque groupe à l’affiche, il n’est pas exclu que des erreurs et des approximations apparaissent, sans compter les erreurs purement humaines (le reporter était persuadé d’avoir reconnu « Red Tide Rising » en ouverture du set d’Orange Goblin et s’il avait eu setlist.fm sous les yeux, justement, peut-être aurait-il questionné son jugement vu que toutes les setlistes d’août et juillet avaient ce titre à la fin, preuve que les accusations sont tirées par les cheveux, et tout ça sans compter qu’il est facile de faire une erreur sur un nom de chanson, ça arrive même aux meilleurs…). C’est l’exercice qui veut ça et c’est pour ça qu’en général on repasse dessus à posteriori pour faire les corrections qu’on trouve à faire. Même si, certes, plus de petites bourdes que d’habitude sont cette fois-ci passés à travers les mailles du filet et la rédaction s’en excuse bien évidemment. Le principal est que le ressenti y est et qu’il est sincère.
Après, il y a ceux qui se réjouissent des erreurs/oublis/approximations qu’ils trouvent dans ce genre d’article, en y voyant une occasion unique de mépriser une rédaction et son travail quotidien dans la globalité, et puis ceux qui comprennent – peut-être déçu que l’article ne soit pas à la hauteur de ce qu’ils avaient attendus de notre part, ça peut arriver, mais ça prouve au moins que notre travail quotidien a sut générer des attentes en terme de qualité – et se montrent constructifs…
Je sais très bien ce que c’est, c’était juste amusant de voir autant de conneries d’un coup venant du « média metal de référence ». Si vous avez pas la capacité de le faire correctement pourquoi vouloir le faire avec autant de trucs qui décridibilisent complètement votre rédaction ?
En l’occurrence ce n’était pas du troll gratuit (je vous aurais pas donné les infos mais je me serais juste bien foutu de votre tronche comme font certains), ni de la déception (je n’attends plus rien de qualité venant d’ici depuis longtemps), simplement de l’étonnement de voir autant d’aberrations venant d’une sommité comme Radio Metal.
M’enfin, chacun voit midi à sa porte, du moment que vous avez fait du clic tout va bien ! 😉
La rédaction est désolée de ces inexactitudes que vous soulignez en ce moment.
Le mode de fonctionnement en instantané du fil rouge provoque quelques mauvaises compréhensions / interprétations / ajouts générateurs d’erreurs.
Tout comme ce fil rouge sera enrichi a posteriori (comme indiqué en introduction), il sera aussi ajusté dès aujourd’hui, maintenant que nos reporters sont tous bien rentrés.
Merci de votre compréhension.
Ouais enfin sur Orange Goblin ça fait un peu « je vais voir setlist.fm (oui, Red Tide Rising est joué en premier 90% du temps, pas de bol) et je fais du name dropping pour faire semblant de bosser ». Bref, je n’aurais pas du vous le signaler histoire de voir au bout de combien de temps ça aurait été « enrichi ».
Sans rancune !
Dans la rubrique coquille, on peut citer Therion, qui n’a joué qu’un seul et unique titre des Fleurs du Mal …. Entre ça et le passage sur Orange Goblinn et celui sur Eluveitie du vendredi -qui n’a certainement pas joué tout Helvetios-, je ne sais pas vraiment quoi penser de ce report que je trouve décevant par rapport a ce que vous nous faites d’habitude tant il est truffé d’erreurs…-Je dis rien sur Ataraxie, j’y étais pas-
Soit vous connaissez pas les groupes en question et pas de pb, vous avez pas a tout connaitre, mais autant eviter de faire des affirmations dans ce cas, soit bin, vous étiez dans une réalité parrallèle :s
Flagrant délit pour Orange Goblin, soit vous vous avez écrit le report sans aller voir le show soit vous ne connaissez pas du tout le groupe… Alors, c’est quoi la vraie raison de cet enchaînement de coquilles énormes ? (Joe Hoare a quitté la tournée depuis 3 semaines avec le tendon d’achille pété, remplacé par son guitare tech, remercié et présenté par Ben Ward pendant le set, et Red Tide Rising a été joué en dernier, pas en ouverture…)
Bravo les mecs, entre ça et Ataraxie c’est déjà pas mal, la flemme de relever toutes les autres incohérences mais c’est du lourd ! (j’aime pas Bukowski mais il me semble que c’est Car Crasher et pas Car Crosser, m’enfin, si même sur les groupes parisiens commerciaux vous vous plantez…)
15h53 : Ataraxie, œuvrant dans un style proche d’AmenRa, mais avec un chanteur plus mou, a eu l’air d’ennuyer le public, à part quelques fans dans les premiers rangs. Quoiqu’au point musicalement, c’est un peu laborieux, plus lent que lourd même pour du doom. »
Clap clap clap ! Bravo, on vous sent du niveau des journalistes de M6 quand on lit ça… Ataraxie c’est du doom / death, autrement dit rien a voir avec amenra (plutôt proche de la scène postcore a la neurosis/isis), et plutôt à rapprocher d’une scène datant du début des années 90s. Ha mais suis-je bête: cette scène la n’a jamais été hype…
« Ataraxie, œuvrant dans un style proche d’AmenRa »
Heuuu, sans vouloir brandir des étiquettes à tout prix, les 2 groupes me semblent plutôt très différents.
Si on voulait à tout prix comparé le doom d’Ataraxie (que je découvrais au Motocultor), c’est plutôt à Abandon que de nombreux passages m’ont fait penser.