Cinquante ans de carrière, ce n’est pas rien. Rares sont les groupes à avoir tenu aussi longtemps avec si peu d’interruptions. Alors, oui, en un sens, Deep Purple triche un peu dans la mesure où ses innombrables remaniement de line-up – il en a existé huit différents – en ont fait à certaines époques un tout autre groupe. C’était le cas par exemple des versions Mark III et Mark IV avec Glenn Hughes et David Coverdale. Pour autant, il est étonnant de voir que la formation soit toujours retombée sur ses pattes, en particulier après les difficiles dernières années avec l’emblématique Ritchie Blackmore.
En cela, l’arrivée de Steve Morse fut une vraie bénédiction. Son talent, sa personnalité humaine et musicale en or et son enthousiasme – il suffit de le voir la banane accrochée au visage à chaque concert – ont offert une nouvelle jeunesse et une nouvelle inspiration à Deep Purple. A cet égard, Purpendicular, sorti en 1996 est un album particulièrement remarquable et frais. Depuis, Deep Purple reste solide comme un roc – même s’il a perdu Jon Lord en cours de route – prenant un plaisir évident dans ses tournées. A tel point que le quintette en a quelque peu oublié le chemin des studios depuis Rapture Of Deep en 2005…
Aujourd’hui Deep Purple revient enfin avec Now What?!, un album ambitieux et en phase avec le goût pour l’improvisation dont témoigne ses prestations. Nous avons eu l’occasion d’en parler avec le très agréable et loquace Ian Gillan. Un chanteur qui ne cache pas son enthousiasme vis-à-vis de ce nouvel album mais qui fait également preuve de fermeté lorsqu’il s’agit d’évoquer l’intégrité du groupe.
« [Le producteur Bob Ezrin] nous a rappelé que nous étions avant tout un groupe de musiciens, composant de la musique, et non pas des chansons. »
Radio Metal : Votre nouvel album, Now What ?! va bientôt sortir : peux-tu nous raconter son écriture et son enregistrement ?
Ian Gillan (chant) : Tout d’abord, deux ou trois membres du groupe ont commencé à écrire en Allemagne en mai 2012 pendant quelques jours. Le disque a ensuite été écrit aux États-Unis, à Nashville, dans le Tennessee. Cela a pris environ quatre semaines. Le dernier disque date de quelques années, mais l’atmosphère était fantastique et les circonstances super. Nous n’étions pas vraiment pressés de faire un autre album : cela a changé lorsque nous avons soudainement pris conscience de là où nous voulions aller. Notre producteur, Bob Ezrin, nous a mentalement préparés à l’enregistrement. Il est venu nous voir en concert au Canada en février 2012 et nous a rappelé que nous étions avant tout un groupe de musiciens, composant de la musique, et non pas des chansons. Ils nous a dit que nos premiers disques comportaient seulement sept chansons et que c’était bien de faire des chansons d’une durée de six, sept, huit, neuf, ou dix minutes, parce que c’était ce que nous faisions. On a pensé « Ha oui, bien sûr ! » et nous avons réalisé que la formule intro – deux couplets – refrain – solo de guitare était peut-être devenue un peu trop ennuyeuse et qu’il n’y avait plus ce côté aventureux dans nos chansons. Comme Bob vit à Nashville, on a commencé à travailler là-bas avec ces ingénieurs dans son studio qu’il connaît très bien. La température était étouffante – il faisait 45 degrés – et l’atmosphère super : tout le monde était vraiment excité ! Depuis notre dernier disque, on a constamment travaillé, ce qui est bien, car le groupe est encore plus soudé et nos improvisations que l’on fait chaque soir en concert deviennent presque une seconde nature. On ne sait jamais ce qui peut arriver, mais il y a une sorte d’empathie entre nous.
Avez-vous, d’une certaine manière, essayé de retrouver cette liberté musicale que vous aviez dans les années 70 ?
Oui, c’était inhérent à l’atmosphère du studio. Il n’y avait aucune règle. On est parti de rien, à part cette bonne attitude, c’est tout. Chaque jour, c’était la même routine : les gars venaient au studio à midi et nous travaillions l’écriture des chansons jusqu’à six heures du soir. On s’arrêtait juste à trois heures pour prendre un thé. Après six heures du soir, on rentrait, on prenait une douche, on dînait et on allait se coucher assez tôt, même si je suis toujours debout au milieu de la nuit, pour écrire des paroles. On débute à 10 heures le matin suivant lorsque nous enregistrons. Mais l’écriture, c’est toujours de midi à six heures. Au début il n’y a rien. Ian (NDLR : Ian Paice, le batteur de Deep Purple) et Roger (NDLR : Roger Glover, bassiste de Deep Purple) commençaient à jammer et à jouer pendant une heure non-stop afin d’essayer des grooves et certains rythmes. Ils s’arrêtaient et disaient : « Non, ça, c’est pas bon » et ensuite commençaient autre chose et disaient : « Souviens-toi de ça, on essaiera à nouveau et peut-être que ça fera une chanson. » Tout a découlé de ces sessions de jam.
Il semble que tout ce que vous avez écrit a été instinctif…
C’est toujours comme cela. Les compositions, ça a toujours été décontracté. Mais en ce qui concerne les arrangements, peut-être sommes-nous tombés dans le piège, ces dernières années, d’être trop prévisibles. Maintenant, nous avons une complète liberté autant sur la musique que les arrangements. Lorsque j’écris une chanson, cela me rend parfois dingue, car c’est comme monter un cheval sauvage sans savoir où il va. Je dis : « Pourquoi cette mesure et demi supplémentaire ici ? Et ce changement de tonalité ? Pourquoi cette tonalité qui n’a rien à voir ? Comment pourrais-je chanter si ce n’est pas normal ? Bien sûr, nous ne voulons pas être normaux, d’accord… » Je m’adapte comme je peux et reprends sur la version suivante et d’une certaine manière ça fonctionne. Sur Now What ?!, cela a été fantastique, mais il est certain qu’il y a eu un changement dans la manière d’arranger la musique.
« Quand je suis rentré dans le studio, le premier matin, après le sound-check, j’ai presque pleuré : c’était si extraordinaire. »
Combien de chansons furent écrites pour le disque ?
Probablement 30 ou 40. Toutes n’ont pas été finies car elles n’étaient pas toutes satisfaisantes ou assez bonnes. On espérait en finir neuf ou dix, car elles étaient longues. Quand l’époque du vinyle a pris fin, le temps optimum pour avoir la meilleure qualité c’était 38 minutes, ceci pour des raisons techniques. Quand les CD sont arrivés, tu pouvais mettre une heure ou plus de musique. Et tout le monde disait : « Je veux une heure de musique ! Je veux en avoir pour mon argent ! » Et parfois, la quantité prévalait sur la qualité. Nous avons seulement mis sur le disque les chansons répondant aux critères de qualité.
Quel est le sens derrière ce titre, Now What ?!
Le sens premier, c’est « Pourquoi m’interromps-tu ? Tu veux quoi, maintenant ? » C’était le sens, vraiment, derrière ce titre. On était heureux de tourner, on s’éclatait : c’était le paradis, car on n’arrêtait pas de faire des concerts, sans être dérangés par notre management ou la maison de disques. Et un jour, le téléphone sonna : « Et maintenant quoi ?! » OK, les gars, on va faire un disque ! On a parlé à Bob, et tout s’est bien passé.
Est-ce que ces points d’exclamation et d’interrogation sont une manière de vous adresser à tous les gens qui, d’une certaine manière, ont douté de vos capacités à faire un nouveau disque et apporter quelque chose de neuf ?
C’est intéressant comme idée, car avec un titre aussi court, cela peut vouloir dire plein choses pour nous et pour toi. Mais à la base, c’est plus une sorte de question bougonne : « Mais qu’est-ce que tu veux ? Laisse-moi tranquille ! ».
Bob Ezrin, un des plus grands producteurs de la scène rock mondiale, a travaillé avec beaucoup de groupes sur de nombreux disques qui sont devenus de véritables classiques du rock…
Et de la musique classique et du jazz. C’est un touche-à-tout. C’est un super producteur…
Penses-tu que Now What ?! réclamait un nom aussi prestigieux ?
Majoritairement, le disque réclamait une chose : un bon son. En ce qui me concerne, nous n’avons jamais pu atteindre, en termes de qualité de son, ce que nous aurions dû atteindre. La musique, les paroles, les chansons, les solos, la manière de jouer, c’est une autre histoire et ça a toujours été satisfaisant. L’idée de travailler avec Bob Ezrin, un véritable pro en son genre, c’était fantastique pour moi. Quand je suis rentré dans le studio, le premier matin, après le sound-check, j’ai presque pleuré : c’était si extraordinaire. J’étais si content d’entendre clairement cette puissance, mais aussi cet équilibre parfait entre la guitare et l’orgue Hammond, qui ont toujours représenté le son caractéristique de Deep Purple. Il y a une partie du spectre sonore dans lequel les deux se chevauchent beaucoup et ça a toujours été un problème car tu te retrouves avec de la distorsion par exemple. Les deux se battent l’un contre l’autre afin d’occuper leur espace : donc, tu dois soit baisser l’un afin de donner à l’autre plus de présence, soit les séparer grâce à la stéréo ce qui te fait perdre du punch et de la puissance. Je ne sais comment, il a réussi à régler ces problèmes. C’est pourquoi il est un expert en production et son studio est si merveilleux. Il a obtenu la séparation et la puissance. C’était exactement ce dont j’avais toujours rêvé. A partir de ce moment-là, on a eu entièrement confiance en lui. Le nom de Bob Ezrin parle bien sûr pour lui-même, car il a eu beaucoup de succès. Il est évident que les gens sont fascinés par son passé. Mais encore une fois, c’était à la base principalement une question de son.
« Le maire de Moscou nous a offert une fortune pour que tous les anciens membres du groupe jouent lors d’un concert sur la Place Rouge. […] C’est une belle idée mais lorsque tu fais de la musique, tu dois être intègre. »
La chanson “Vincent Price” parle d’un célèbre acteur de film d’horreur. C’est probablement la plus sombre de l’album et aurait pu être enregistrée par Alice Cooper. Est-ce un essai afin d’écrire une chanson d’horreur ?
Je pense que tu pourrais l’appeler une comédie humoristique. Quand j’ai eu cette idée, je travaillais avec Roger sur cette chanson. On avait ce titre de travail, « Vincent Price », car la chanson sonnait comme une B.O de film, sans la voix. Elle était très sombre, alors j’ai dit : « Imagine que tu sois un réalisateur de film d’horreur dans les années 60, travaillant avec Vincent Price, quelles sont les ingrédients que tu voudrais mettre dans ton film ? » Tu voudrais des portes qui grincent, des chaînes, des vampires, des chiens qui hurlent, des filles nues, des zombies, des autels à sacrifices, du tonnerre et des éclairs : ce sont les paroles de la chanson ! (rires) On a juste établi une liste de tout ce que tu voudrais trouver dans un film d’horreur : c’est simplement une comédie, dans le sens satirique. Et puis nous connaissions tous Vincent Price. On l’a rencontré, donc c’est aussi un peu personnel.
“Above And Beyond” est dédiée à Jon Lord. Avez-vous écrit cette chanson avant ou après sa mort ?
Je l’ai écrite entièrement avant qu’il ne meure, à l’exception d’une phrase : “Souls having touched are forever entwined” (NDLR : « les âmes qui se sont touchés sont pour toujours liées »). Ian Paice est venu au studio un matin, apportant la nouvelle de la mort de Jon. On s’y attendait mais on a quand même tous été très choqués. Et donc, on a été silencieux pendant un moment, puis on a commencé à parler du bon vieux temps et d’anecdotes très drôles se rapportant à Jon. L’atmosphère était très légère et non triste. L’esprit de Jon remplissait la pièce et nous pouvions sentir sa présence. C’est à ce moment là que j’ai ajouté une ligne à un couplet. « Above and Beyond » parle de départ physique et spirituel, mais avant, je n’avais pas d’idée précise sur ce qu’était ce « départ ». Soudainement, en ajoutant cette ligne, j’ai réalisé que tout tournait autour de la mort et tout le reste de la chanson tombait sous le sens. Tout d’un coup, c’était Jon Lord qui nous chantait la chanson. C’était absolument parfait.
Deep Purple est connu pour avoir traversé différente périodes. Serait-il totalement inconcevable pour toi de chanter des chansons de périodes où tu n’étais pas dans le groupe, comme par exemple celle avec Glenn Hughes et David Coverdale ?
Non. Je ne pourrais leur faire honneur. Cela ne sonnerait pas bien et je ne les aime pas non plus, donc à quoi bon ? (rires) Je ne cherche pas à être méchant en disant cela, c’est juste qu’elles ont été composées pour une autre voix. Nous sommes très égoïstes : quand nous étions jeunes, nous jouions pour nous faire plaisir. Nous jouons ce qui nous rend heureux. Par exemple, nous ne voulions pas jouer « Hush », qui a été le premier hit de Deep Purple aux États-Unis en 1968. C’est Steve Morse (NDLR : le guitariste de Deep Purple) qui nous a forcés à la jouer et maintenant c’est devenu une merveilleuse chanson. Simplement, nous aimons jouer ce qui nous plaît et tout le monde dans le groupe doit se sentir bien par rapport à la chanson choisie. Je n’ai d’ailleurs jamais pensé à ça.
Serait-il envisageable d’organiser un concert de Deep Purple, avec tous les anciens membres ?
Pour quelle raison ? Ce serait pour de l’argent et pas pour la musique. On nous a déjà offert des millions et des millions pour faire exactement ça. Par exemple, le maire de Moscou nous a offert une fortune pour que tous les anciens membres du groupe jouent lors d’un concert sur la Place Rouge. Nous lui avons immédiatement répondu : « Non, merci. » Ce serait comme du cirque. Personne dans le groupe n’est intéressé. C’est une belle idée mais lorsque tu fais de la musique, tu dois être intègre.
« Nous avons survécu car nous sommes une famille et nous ne nous moquons pas des gens en faisant des numéros de cirque. »
Est-il difficile de remplacer dans la tête des gens l’image classique de Deep Purple avec Ritchie Blackmore ?
Il a quitté le groupe il y a vingt ans. On jouait à cette époque devant 2000 personnes par soir : le groupe était en chute libre, c’était un véritable désastre. Rien ne se passait, nous étions proches de la fin. Jon Lord, Ian Paice, Roger Glover étaient tous tristes. Je me battais avec Ritchie chaque soir : il avait l’habitude de quitter la scène en plein milieu du show et donc de moins en moins de gens venaient nous voir. Quand il est parti, la pluie s’est arrêtée, les nuages ont disparu et le soleil est apparu enfin. Jon Lord s’est relevé et son aura revint, Ian Paice recommença à plaisanter et à correctement jouer de la batterie, la personnalité de Roger Glover émergea de nouveau : nous étions en paix et c’était le début d’une nouvelle chance. Donc je pense que peu de gens souhaiteraient revenir à cette époque et quand bien même, ça n’arriverait jamais. Nous avons survécu car nous sommes une famille et nous ne nous moquons pas des gens en faisant des numéros de cirque. Nous ne suivons également aucune des lois du business. Nous ne sommes pas tentés par l’argent. Nous sommes en bonne santé et le groupe est en forme, en faisant de la bonne musique. Je ne crois pas que beaucoup de gens trouveraient ça de bon goût de faire revenir Ritchie.
Après plus de cinquante ans de carrière, quel futur vois-tu pour toi et le groupe ?
Je n’ai jamais, au cours de ma vie, pensé au lendemain en ce qui concerne ma carrière professionnelle. Je pense à demain, parfois, mais pas à la semaine prochaine. On ne sait pas ce qui va arriver. Même si, lorsque tu es jeune, le physique l’emporte, car tu te crois immortel, le spirituel domine lorsque tu vieillis, car tu te rapproches de la mort, la fin arrivera quoiqu’il arrive un jour. Une personne mourra ou ne sera plus capable de jouer : tu dois donc donner le meilleur de toi-même. Je ne pensais pas encore être dans Deep Purple aujourd’hui. Mes hobbies, en dehors de Deep Purple, c’est l’écriture et ce qui s’y rapporte. Si je ne suis plus capable d’assurer physiquement, j’arrêterai. Mais heureusement, ce ne devrait pas être avant encore un an ou deux !
Existe-t-il encore des territoires que tu aimerais explorer artistiquement ?
Cela ne sert à rien de refaire toujours la même chose. Nous n’avons pas fait de nouvel album pendant plusieurs années pour cette raison. Quelquefois, une porte s’ouvre et tu fais : « Ha… c’est intéressant ». C’est important de sortir des sentiers battus et de ne pas suivre la foule. Je n’ai aucune frustration, même si je suis trop vieux pour jouer au foot avec les Queen’s Park Rangers ! Il y a des choses que je ne peux plus faire car je suis trop vieux. Mais j’écris mieux qu’auparavant. Aussi, je crois n’être plus aussi agressif que je l’ai été. Je suis une personne plus apaisée. J’espère être plus équilibré.
Interview réalisée en face-à-face le jeudi 18 avril 2013 par Chloé
Intro et fiche de questions : Spaceman
Retranscription et traduction : Jean Martinez – Traduction(s) Net
Site internet officiel de Deep Purple: www.deep-purple.com
Album Now What?! sortie le 29 avil 2013 chez ear Music/Edel
j aime la premiere formation et les premiers album de deep purple depuis la mort de jhon lord et le depart de blackmore le groupe bien que toujours talentueux ne sera plus pareil les 8 premiers albums sont geant en studio mais celui qui restera graver dans ma memoire et qui restera l album en public le plus honnorable et celui ci * made in japan * oui le meilleur album public que je cesse pas d ecouter avec plaisir pour finir je dirais que c est le premier groupe hard rock que j ai connu quand j avais 11 ans aujourd huit j en ai 54 je terminerais en disant que sans blackmore sans john lord lorrsque ian paice ne sera plus dans le groupe alors le groupe perdra le plus talentueux des batteurs ian paice qui est depuis le debut de la formation 1968/2016………qui pour le remplacer cela va etre dur de remplacer un pilier comme lui voila ce que je voulais dire merci a tous de m avoir lu et continuer a ecouter DEEP PURPLE
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j aime la premiere formation et les premiers album de deep purple depuis la mort de jhon lord et le depart de blackmore le groupe bien que toujours talentueux ne sera plus pareil les 8 premiers albums sont geant en studio mais celui qui restera graver dans ma memoire et qui restera l album en public le plus honnorable et celui ci * made in japan * oui le meilleur album public que je cesse pas d ecouter avec plaisir pour finir je dirais que c est le premier groupe hard rock que j ai connu quand j avais 11 ans aujourd huit j en ai 54 je terminerais en disant que sans blackmore sans john lord lorrsque ian paice ne sera plus dans le groupe alors le groupe perdra le plus talentueux des batteurs ian paice qui est depuis le debut de la formation 1968/2016………
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l’inspiration en album c’était Blackmore/lord, depuis que Ritchie est parti je n’ai pas été revoir deep purple sur scène car musicalement parlant c’est nul…et pourtant ils sont passés plusieurs fois pas loin de chez moi !! alors que pour Blackmore chaque années je vais en Bavière….
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sans lod et blackmore ce nais pas deep purple
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sans lord et blackmore ce nais pas deep purple
sang Lord et Blackmore ce nez pas Deep Purple …
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Ian m’a toujours impressionné par sa voix et son Humour, qu’il soit meilleur ou non pour certains, qu’importe…Il est de toute façon une référence depuis les années 70 avec Robert Plant, les goûts et les couleurs…
Ils sont intègres, Tout le monde sait que Ritchie, malgré son talent exceptionnel (que je suis, dans sa carrière médiévale avec passion) à un caractère insupportable, c’est bien connu, il faut accepter les fait, Ian a je pense raison .
Longue Vie à Ian et Son groupe !!!
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’étais si content d’entendre clairement cette puissance, mais aussi cet équilibre parfait entre la guitare et l’orgue Hammond, qui ont toujours représenté le son caractéristique de Deep Purple. Il y a une partie du spectre sonore dans lequel les deux se chevauchent beaucoup et ça a toujours été un problème car tu te retrouves avec de la distorsion par exemple.
mon pt ga , ça c’était la magie entre lord et blackmore ! c’est pas ton truc tais toi , tu n’y connais rien ! deep sans ces deux là , c’est un très bon cobver band ! hypocrite !
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hush , ce n’est pas morse qui l’a remis au plateau , c’est blackmore dans l’album nobody’s perfect en 1986 , et il l’ont joué a chaque tournée depuis lors , c’est une graaaaaaaaande g…. ce gillan , il sait juste dire du mal de ritchie au pire de tout mensonge , un gamin !
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sans blackmore ils ont perdu toutes leurs créativités , improvisations , d’ailleurs il se mêle les pinceaux et l’admet sans le citer , ils ne savent jamais par où commencer en studio , ils sont sans idées , ils ont eu besoin de bob machin là , il remplace blackmore tout simplement, ritchie était avec jon lord , la base de chaque album !
il me fait ch… ce mec , un gamin !
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gillan a une grande gueulle , parle beaucoup pour ne rien dire !
je vais pas étaler , je n’ai pas a me justifier , les connaisseurs comprendrons ce que je veux dire , mais blackmore c’est autrechose que lui et morse ensemble !
Burn , il peut s’entrainer 10 ans , il sera incapable de le chanter,
coverdale et hugues sont nettement supérieur !
Qu il arrête d’être hypocrite et sans cesse décauser Blackmore ! ces 2000 personnes , il rêve ! c’était sold out partout ! j’ai jamais aimé ce mec , car il est manipulateur , depuis toujours ! ce qu’il voulait c’est être leader du groupe , point barre !
Et Lord est un très grand ami de ritchie , d’ailleurs ritchie lui écrit un hommage sur son nouvel album ; un truffions qui sait a peine chanter et qui ne sait absolument pas arranger musicalement ! il sait juste écrire des texte , ce n’est pas un musicien !
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Juste pendant que je passe par là : « les âmes qui se sont touchéEs sont pour toujours liées »… Voilà, je retourne d’où je viens :D.
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j’aime bien gillian j’aime bien morse et il aura beau dire ce qu’il veut,mer les fan les vrai sait que le clou du spectacle c’était blackmore.une légende.