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Sebastian Bach en Lady Gaga : voilà le résultat !


Sebastian Bach a des côtés insupportables parce qu’à la manière d’un Phil Anselmo (Down, ex-Pantera) on a parfois l’impression qu’il fait constamment tout pour qu’on parle de lui. Et ça en devient insupportable, évidemment, parce que ça marche. Se grimer en Lady Gaga pour interpréter le morceau « Bad Romance », comme sur la vidéo ci-dessus, participe sans conteste a ce grand édifice qu’est la communication de Bach ! Mais n’allons pas trop vite en besogne en lynchant sur la place publique cette icône du rock d’ailleurs attachante par bien des aspects, comme beaucoup de grandes gueules, car son naturel, son humour et son franc-parler font du bien. Surtout que, sur ce coup, Sebastian Bach a simplement repris un morceau de Lady Gaga dans le cadre d’une émission diffusée sur ABC où c’est justement le principe.

Le programme en question est Sing Your Face Off et a pour but de déguiser des personnalités pour que leurs physiques se rapprochent au plus près des pop stars dont ils doivent interpréter les chansons. Sebastian Bach fait partie des cinq candidats – il est en concurrence avec le basketteur Landry Fields, le comédien Jon Lovitz, la chanteuse China Anne McClain et l’actrice Lisa Rinna – qui se transforment, après des heures de maquillage et de cours particuliers avec des coachs réputés, en stars de la pop pour que leurs prestations soient notées par un jury composé notamment de Carmen Electra.

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Far Beyond Cooking


C’est fou comme le web peut parfois être inventif. Et ce pour le pire aussi bien que pour le meilleur ! Concernant notre domaine de prédilection, le metal, récemment on a par exemple assisté à l’éclosion de vidéos pédagogiques sur le style réalisé par des amateurs, mais avec une exigence professionnelle souvent gage de qualité, comme l’ont dernièrement prouvé les vidéos de ‘Enjoy The Noise’ ou ‘Metalliquoi?’. Etant comme vous le savez sûrement passionnés de cuisine, c’est avec un plaisir de fins gourmets que nous sommes tombés sur les vidéos ‘Cooking Hostile’ réalisées par Joey Siler. D’autant plus que, grâce à elles, c’est systématiquement l’occasion de se payer une bonne tranche de rigolade !

‘Cooking Hostile’ est une série animée qui met en scène Phil Anselmo, le charismatique chanteur de Down et Pantera, en train de cuisiner avec de la bonne musique en fond. Le programme prend des extraits de morceaux de Pantera et change les paroles pour les orienter vers le jargon de la cuisine. De quoi idéalement accompagner le livre de cuisine, intitulé « Drumming up an Appetite with Vinnie Paul » que l’ex-batteur de Pantera est de son côté en train de préparer…

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Si tu joues de la guitare, elle peut te casser le moral !


Même si ce genre de vidéos YouTube mettant en avant des petits surdoués de la musique peut vous faire du mal si vous avez mis des années avant de maîtriser convenablement votre instrument, notre staff remercie tout de même le site Guitar World de nous avoir fait découvrir la vidéo ci-dessus il y a de cela quelques jours.

Cette petite japonaise s’appelle Li-Sa-X, elle est âgée de 8 ans (!) et, comme vous pouvez le constater, elle fait du tapping. Même si les esprits chagrins ne manqueront pas de souligner quelques imperfections ici et là, vous noterez avec nous que la choupette est sacrément douée et s’en sort même haut la main avec cette interprétation à la guitare du morceau « Fives » de l’artiste Guthrie Govan, actuel guitariste de Steven Wilson.

On vous a cassé le moral ? Veuillez nous en excuser. Si on a des regrets ? Hmmm… non !



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Le crabcore : toujours là pour vous hanter


Inutile de passer par quatre chemin : le crabcore, c’est drôle. On s’en moque ouvertement (et à raison), facilement, à l’apéro, le cure-dent transperçant encore cette olive prête à être engloutie, l’arrière-train posé sur le sofa de votre hôte, chez qui, ce soir, c’est soirée entre amis à se réécouter du metal, le vrai, le séminal, de Zeppelin à Sabbath et pas au-delà. Au milieu de tout ça pointe – allez savoir comment – le crabcore. Lui qui est un peu comme l’alter-ego musical des blagues sur les Belges/blondes/lépreux (au choix) : à chaque soirée, ou presque, on y a droit ! Entre deux goulées de rouge qui font classe, on taille un costard au crabcore, épicé ou pas, c’est selon la bestiole que vous décortiquez. Dans le plus gentillet des cas, c’est Abbath (Immortal) qui prend. Mais bon, lui, au moins, c’est devenu un monument.

Sauf qu’en cette saison 2013-2014, pêcher du crabcore, c’est déjà gratter la poussière devenue moisissure des vieux bibelots trouvés dans le grenier de mémé. Pourtant, l’an dernier, le froid russe avait su conserver un exemplaire – collector – du genre avec Convicted Skies. Mais de là à en trouver (encore !) outre-Atlantique relève de l’inespéré. Iudicia, groupe de christian crabcore (« Rocking For Christ since 2009 ») originaire de l’Arkansas ne pouvait ainsi resté inconnu plus longtemps.

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Murp, déjà très « Roots »


Hier soir, 24 février, Sepultura (do Brasil !) faisait à Lyon sa première date en France de sa tournée européenne Mediatour. Et bien sûr, parmi le florilège de titres issus de la majeure partie de la discographie du groupe, au moins de Beneath The Remains jusqu’à leur petit dernier sorti il y a quelques mois, il ne pouvait manquer le classique parmi les classiques : « Roots Bloody Roots ».

Mais tout cela, nous vous en parlerons plus précisément plus tard dans un live report complet. Ce que vous pouvez déjà savoir, cependant, c’est que malgré son physique colossal et sa tête à pas donner envie de lui marcher sur les pieds, Derrick Green (chanteur) est un mec à l’air heureux, impressionnant mais pas inquiétant. Et même moins que l’expression de la petite Aaralyn, 7 ans, vocaliste du groupe Murp, dont l’actualité c’est un peu tassée depuis l’été dernier, quand elle reprend à sa façon la célèbre chanson des Brésiliens.

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Miley Cyrus immortalisée dans la neige


Ce qui est beau avec le caca, c’est de le transformer en compost et de voir croître dessus de vraies originalités amusantes, hilarantes ou navrantes (tout le charme du web, en somme). Donc, quand la base du délire c’est Miley Cyrus, son « Wrecking Ball » et le clip méga-classe qui va avec, déjà il y a de quoi faire pour (espérer) percer dans le gros tas de lisier qu’est par instant le Net. Mais alors quand Miley Cyrus devient un registre qui peut aussi, contre toute attente, très bien se marier au black metal alors là, il y a du souci à se faire… Avant de rire à grands éclats.

Cette rencontre, ce choc humoristique ici présent a donc fait se rencontrer l’ex-star Disney et Immortal dans une parodie savoureuse. Car parodier Immortal et ses clips (notamment le cultissime « Call Of The Wintermoon ») est chose aisée, mais ajouter à cela la pop star de tous les excès (pour le moment) au milieu et voilà deux mondes diamétralement opposés qui se chevauchent… comme une boule de démolition. Ça finit donc en slibard (puis tout nu !) contre un bonhomme de neige corpse-painté a chanté un « Wrecking Ball » ré-arrangé en « Winterball », plus obscur et encore plus tordant. Un reprise qui en a dans le slip quoi !

Alors, curieux ?



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Guns N’ Roses : Sweet Child O’ Nouvelle-Orléans


N’est-il pas plaisant de se laisser surprendre par la musique ? De se laisser avoir par celle-ci ? On a tous déjà été déconcertés par une approche artistique, en l’occurrence musicale, désarmante. Avec le Net, rien de plus simple : un clic et voilà une immense boîte de chocolats ouverte sous le nez de l’internaute. Et bien sûr, comme dirait la maman de Forrest : on ne sait jamais vraiment sur quoi on va tomber… Ne reste qu’à en piocher un, puis deux, puis trois, espérant toujours tomber sur meilleur que précédemment. Et donc là, le chocolat c’est du Guns N’ Roses. Pas dégueulasse comme gourmandise. Or, le voici fourré au blues et au vieux jazz, celui qui sent à plein poumon la fumée froide des cigares écrasés et le bourbon dans un jovial et dansant jazz-club de la Nouvelle-Orléans, à la fin des années 40.

Ici mené par la chanteuse blues Miche Braden, le Postmodern Juxebox – dirigé par le pianiste Scott Bradlee, dont le but est de détourner des titres pop et rock dans un registre ragtime, jazz ou swing – s’est donc attelé à ré-arranger la face d’Axl Rose et de ses comparses avec une reprise du ô combien classique « Sweet Child O’ Mine », transformé en ce qui pourrait-être le parfait fond sonore d’un cabaret américain, où l’on chante le blues en sirotant une boisson maltée dans son atmosphère embrumée. Sans être extraordinaire, c’est bougrement nostalgique et sensuel .

Vous voulez en savoir plus ?



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Ghost : Papa Emeritus II à visage découvert


Depuis leur apparition, et plus particulièrement depuis la sortie de leur Opus Eponymus fin 2010, un terme définit plus que tout autre Ghost : phénomène. Et un phénomène, ça se soigne, ça s’entretient, ça s’alimente comme un bon feu qui doit rester un phare toujours en vue, même du coin de l’œil. Pour cela, les Suédois enchainent tournées sur tournées (en 2013, ils n’ont pas passé un mois sans au moins un concert), ne s’arrêtant, très probablement (étant donné le secret entourant le groupe, leur agenda n’est pas rendu public, mais il y a quand même un vide d’info entre avril et août 2012), que pour enregistrer un nouvel album, et même un EP de reprises par dessus le marché, pour ne jamais disparaître de la vue et des oreilles d’un public désormais fasciné.

Mais voilà que le groupe devrait à nouveau s’effacer pendant deux mois. Au terme d’un tour d’Australie de deux semaines, qui fit une dernière escale le 2 février à Perth, et avant de revenir en avril pour une nouvelle tournée nord-américaine qui s’étendra jusque fin mai pour enquiller directement sur la saison des festival européens. Alors ils offrent quand même de quoi parler d’eux avec une performance live dans les studios de Music Feeds, à Marrickville, près de Sydney, pour laquelle, si les goules portent toujours le masque, Papa Emeritus II, lui, apparait sans fard.

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Chthonic fait du baby-sitting.


L’Européen est pour le moins habitué à voir débarquer de manière régulière de sacrés étrangetés venues du Pays du Soleil Levant. Ça explose toujours au visage et tente de vous enfiler des patates chaudes dans les oreilles ! Oui, ça n’a aucun sens. A croire que l’archipel japonais les fabrique à la chaîne ces produits, films, jeux, artistes complètement « What The Fuck?! » qui demandent systématiquement une minutieuse et microscopique analyse afin d’en comprendre l’utilité et surtout, le sens. Quand il y en a un et surtout quand le cerveau est apte à supporter le choc d’une confrontation si brutale et directe face à cette culture si particulière. Et donc, parmi les plus récentes étrangetés nippones, de celles qui parlent aux metalheads, se retrouve ce jeune trio de kawaï-metal : BabyMetal !

On ne présente plus le trio Su-Metal, YuiMetal et MoaMetal qui sortira le 26 février prochain son tout premier album via Toy’s Factory, réunissant tous leurs singles et quelques nouveautés. On ne fera plus part de notre étonnement quant à ce projet après avoir vu walls of death et circle-pits lors de lives du groupe. On ne sera pas surpris de voir les BabyMetal poser aux côtés de certains artistes majeurs de la scène metal, tel Matt Heafy de Trivium ou Kirk Hammet de Metallica. Et donc on sera juste étonné, tout au plus intrigué, par une collaboration sur scène entre les trois fillettes et les leaders du metal made in Taïwan : Chthonic.

Intrigués ?



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Bruce Springsteen reprend AC/DC : le Boss est Bon


On a rarement autant parlé de Bruce Springsteen (directement et non par petites références) dans ces pages – et probablement dans bien d’autres médias hard rock et metal en général – que depuis que Tom Morello fait partie de son E-Street Band. Évidemment, voir le guitariste de Rage Against The Machine faire résonner à nouveau sa six-cordes électrique, même pour autrui, en attendant d’entendre ce qu’il pourra bientôt faire pour lui-même, amène – peut-être pour la première fois – les regards et les oreilles de bien des headbangueurs à se tourner vers l’œuvre d’une des icônes du rock américain.

Mais ce que le Boss a fait la semaine dernière en Australie vaut bien l’attention de tous les amateurs de rock dur, secouant leur crinière (réelle ou rêvée) et moulinant des bras comme le guitar-hero que chacun aimerait être.

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