Cinq années séparent la sortie du précédent album d’Abinaya, Corps, de celle du nouvel opus Beauté Païenne. Igor Achard, guitariste/chanteur, explique cette période de cinq ans par un travail de perfectionnement du disque, passant notamment par une réflexion du groupe sur lui-même. Il était pour Abinaya hors de question de se répéter, tout comme il était inconcevable de remplir le disque avec ne serait-ce qu’un morceau en-dessous des autres. Les deux mots d’ordre pour ce disque, lors de son écriture, étaient « agressif » et « engagé ». Abinaya est tout simplement plus agressif vocalement, à tel point qu’on n’en reconnaît presque pas le chanteur aux premières écoutes. Igor avoue qu’avoir partagé la scène avec Vader et Benighted a certainement laissé des traces. Les riffs de guitare sont moins épurés que sur Corps, donnant au disque une couleur heavy plus dramatique. Malgré tout, ce qui fait le son de ce groupe, à savoir ce rock/metal tribal reste reconnaissable.
Quant à la volonté d’engagement, elle se traduit essentiellement par une volonté de « réveiller » l’auditeur par des textes très référencés historiquement (et malheureusement très actuels) ou des textes en hommages à certains personnages historiques tels que Jules Vallès. Igor développe longuement cette intention dans l’interview ci après, mais revient aussi sur le fonctionnement peu conventionnel du groupe lié à l’inclusion de percussions tribales, de danse sur scène ainsi qu’à ce qu’implique le fait de jouer avec un batteur non-voyant.
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