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Interview   

A Pale Horse Named Death : prophète des Enfers


Certains en sont persuadés : la fin des temps est proche. Ils ont même la bande originale du film : l’ex-Type O Negative et Life Of Agony Sal Abruscato avait déjà « prophétisé » le monde qui se défait, il y a deux ans et demi avec When The World Becomes Undone de son groupe A Pale Horse Named Death. Avec tout ce qui s’est passé ces derniers temps, la pandémie en tête, il n’y a clairement pas de quoi se réjouir, sauf peut-être pour l’inspiration que cela apporte à un tel artiste qui se nourrit à l’obscurité. Infernum In Terra, l’enfer sur terre en latin, tout est dans le titre. Sal Abruscato appuie sur la fibre doom, en s’inscrivant à la fois dans la continuité et dans la rupture.

Toujours aussi expansif, malgré ses côtés associable et maniaco-dépressif, il nous livre sa vision du monde actuel mais aussi de lui-même et de sa vie avec beaucoup de franchise. De quoi mieux comprendre la teneur d’Infernum In Terra. Entre expérience sous anesthésie et bienfaits de la Bible, il évoque également la marque indélébile qu’aura laissée sur lui le regretté Peter Steele, dont l’année 2020 marquait les dix ans de la disparition. A l’époque, Sal était en train de mettre les touches finales sur And Hell Will Follow Me, le premier album d’A Pale Horse Named Death…

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Interview   

A Pale Horse Named Death : Sal Abruscato reprend son oeuvre inachevée


Cinq ans qu’A Pale Horse Named Death, le « chapitre final » de Sal Abruscato, n’avait pas sorti d’album. En cinq ans, au-delà d’un monde dont il a observé le délitement, la vie lui a réservé bien des épreuves personnelles, touchant à sa famille et sa santé. Ayant claqué la porte de Life Of Agony avec fracas suite à des tensions internes, dont il nous dit tout sans filtre en fin d’entretien, il était maintenant libre de reprendre les choses où il les avait laissées avec Lay My Soul To Waste, avec forcément beaucoup de choses à dire et une lourde charge émotionnelle à évacuer.

Mais s’il est question de continuation, A Pale Horse Named Death a légèrement muté : Matt Brown, le guitariste-producteur et compère de Sal depuis le début, s’en est allé, et le projet est devenu désormais davantage un vrai groupe, en impliquant en studio les musiciens live. When The World Becomes Undone est l’œuvre résultante, voulue comme une expérience cinématographique, démontrant une fois de plus les qualités de compositeur de l’ancien batteur de Type Of Negative devenu frontman. Car en plus d’évoquer l’album, Sal Abruscato nous raconte, à la fois, à quel point son expérience auprès de Peter Steele fut enrichissante et comment être batteur a fait de lui un meilleur arrangeur.

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News Express   

Sal Abruscato aurait quitté LIFE OF AGONY


Le batteur Sal Abruscato (A PALE HORSE NAMED DEATH, ex-TYPE O NEGATIVE) aurait quitté LIFE OF AGONY « amicalement » rapporte le site américain Blabbermouth. En savoir plus…



Nouvelles Du Front   

Kill Devil Hill, A Pale Horse Named Death : imbroglio pour un batteur


La nouvelle fut pour le moins soudaine, le 10 mars dernier, lorsque Kill Devil Hill a dévoilé le départ de son batteur et membre fondateur Vinny Appice. Une nouvelle sans grandes explications dans les premières heures, si ce n’est un post Facebook annonçant que « la phase II de la révolution a[vait] commencé », et une pointe d’amertume quelques jours plus tard de la part d’un groupe soulignant que ce projet, son « bébé » est désormais du passé pour Appice, mais que cette séparation ne s’est pas faite autrement que d’un « commun accord » et de façon « très amicale ». Inutile de chercher midi à quatorze heures, pour Appice : « Cela a été une super aventure musicale depuis le début, mais le temps est désormais venu de prendre des chemins séparés et de continuer à faire la musique que l’on aime. » Et s’il faut retrouver le batteur quelque part, ce sera derrière les fûts de WAMI, une nouvelle formation regroupant Doogie White (ex-Rainbow) et Marco Mendoza (Black Star Riders) qui sortira son premier album au printemps prochain.

Une phase deux s’ouvre donc pour Rex Brown et ses comparses de Kill Devil Hill. Et celle-ci débute avec un nouveau cogneur : Johnny Kelly, ancien batteur de Type O Negative et membre actuel de A Pale Horse Named Death (avec Sal Abruscato, autre ex-Type O), Danzig et Seventh Void (avec Kenny Hickey, encore un ancien de Type O). Un homme au planning chargé, de toute évidence. Et avec un tel agenda, la confusion a très vite pointé le bout de son nez : Johnny Kelly restera-il membre de ces autres formations ou devient-il un membre permanent de Kill Devil Hill, en faisant de celui-ci son seul et unique projet ? Pour Kill Devil Hill, c’était apparemment le cas. Mais Sal Abruscato, leader de A Pale Horse Named Death, avait une vision tout autre de la chose.

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Interviews   

A Pale Horse Named Death: Sal Abruscato’s last chapter


When Sal Abruscato felt the end of Life Of Agony – the second project of his drumming career, after a brief spell behind the drums for Type O Negative – was near, he finally decided to step into the spotlight as a singer, guitarist and composer with his very own band. Thus A Pale Horse Named Death was born, and this year marks the release of the band’s second album, Lay My Soul To Waste, which goes even farther than the first one in terms of gothic doom, with rock, heavy and grunge orientations. Sal Abruscato confessed how happy he was with this band that took years in the making, and that he would not have created without the necessary experience. He describes himself laughingly as a tortured and depressed man, and talks about the darkest aspects of the world in a cynical way. According to him, the world is a horror movie whose soundtrack he delights in writing, happy to have left the drumsticks behind to take the reins of his musical destiny.

The frontman of A Pale Horse Named Death has but one fear now: that his project should not work as he intends, even if he’s highly satisfied with the way things are going on at the moment. Because, as he points out bitterly, the older you get, the fewer opportunities to start over you have. And Sal could well see A Pale Horse Named Death as a last, triumphant chapter.

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Interview   

A Pale Horse Named Death : l’ultime chapitre de Sal Abruscato


Quand Sal Abruscato a senti venir la fin de Life Of Agony, le second projet de sa carrière de batteur, après avoir été un temps derrière les fûts de Type O Negative, il a enfin envisagé passer sur le devant de la scène en tant que chanteur, guitariste et compositeur, avec une nouvelle entité entièrement façonnée par lui-même. A Pale Horse Named Death est ainsi né, et voit fleurir sur son flanc livide cette année un second album, Lay My Soul To Waste, qui pousse plus loin le doom gothique entrevu avec le premier opus, dans des directions rock, heavy et grunge. Sal Abruscato nous a confié le plaisir qu’il prend avec ce groupe qu’il a mis des années à mûrir et qu’il n’aurait pas monté avant d’avoir eu l’expérience nécessaire pour le faire, rit en se définissant comme torturé et déprimé, décrit d’un œil désabusé les tortueux recoins obscurs de ce monde. Le monde est selon lui un film d’horreur dont il se délecte d’en écrire la bande son, ravi d’avoir lâché les baguettes pour enfin prendre les commandes de son destin musical.

Le frontman d’A Pale Horse Named Death redoute surtout une chose aujourd’hui, c’est que son projet ne fonctionne pas de la manière dont il l’entend, même s’il est hautement satisfait de la façon dont les choses se passent. Car comme il nous le dit avec amertume, avec l’âge s’en vont les possibilités de tout recommencer. Et Sal verrait bien A Pale Horse Named Death comme un ultime chapitre triomphant.

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Nouvelles Du Front   

Life Of Agony ne veut plus se forcer


Ce n’est pas la première fois que Life Of Agony se lasse de lui-même. Le batteur Sal Abruscato et le chanteur Keith Caputo, tous deux membres emblématiques de la formation, l’avaient déjà quittée par le passé, notamment pour cause de lassitude musicale. La reformation du line-up originel en 2003 avait jusqu’à aujourd’hui abouti à de nombreux concerts mais à un seul album studio, Broken Valley, sorti en 2005. Puis, fin 2010, le groupe annonce que le processus d’écriture a repris. Une annonce très mesurée, où Sal insiste sur l’expression « baby steps » (« pas à pas » en français) et « nous allons voir où ça nous mène, si nous réussissons à écrire une bonne chanson de Life Of Agony. Deux, avec de la chance ».

Nous sommes en 2012, rien n’est sorti, tandis que Sal Abruscato a lancé son projet A Pale Horse Named Death et que Keith ‘Mina’ Caputo (NDLR : l’homme a changé de sexe durant l’été) travaille sur son disque solo. Il était donc plus qu’évident que, si ses musiciens restent des forces créatrices, le groupe en lui-même ne s’inspire plus.

Ce weekend, Sal l’a avoué, confirmant une déclaration similaire de Keith de juin 2011.

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Live Report   

A Pale Horse Named Death : Un cheval nommé désir


Le poète a dit : « Quand ton corps sur mon corps, lourd comme un cheval mort… ». Eh bien, on peut légitimement se dire qu’il avait bougrement raison parce que, en ce soir du dimanche 5 février, ce Cheval Nommé Mort est lourd. Infiniment lourd. Eh oui, dans ces conditions, une charogne, ça peut être beau. Le petit club du Garage, à Saarbrücken, recevait le groupe de Brooklyn A Pale Horse Named Death, né du cerveau visiblement malade et torturé de Sal Abruscato (Type O Negative, Life Of Agony…) avec l’aide de son comparse Matt Brown.

– 16°C ce dimanche soir à la frontière franco-allemande. Un temps à ne pas mettre un fan de Lady GaGa dehors. La tâche qui attend les New-Yorkais semble insurmontable : séparer les 70 courageux qui sont venus à leur rencontre de leurs blousons, écharpes, gants et autres bonnets.

Méticuleusement, Sal (Abruscato), Matt (Brown), Eddie (Heedles), Johnny (Kelly) et Eric (Morgan) viennent préparer leur champ de course. Attention, on ne parle pas d’un hippodrome de 40000 places. Le petit club du Garage (Kleiner Klub), c’est une scène d’une dizaine de mètres carré, un bar très bien fourni et de la place pour 150 personnes maximum. Précisément le genre d’endroit où l’on sait que la soirée va être intense autant qu’intime. Eau, bière, pédales, fatras de câbles et de jacks. Des guitares, ça et là. Soundcheck. Lights OK. En selle, gentlemen.

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Nouvelles Du Front   

AU ROYAUME DES GRANDS


[Loin de nous l’idée de rendre tous les jours des hommages à ceux qui ont franchi le Styx. Soyez rassurés, votre site préféré d’informations ne va pas devenir une rubrique nécrologique. Mais bon, évoquer Peter Steele et l’interview de Sal Abruscato est logique et parler ici du mythique John Lennon (The Beatles) l’est tout autant par l’influence majeure que constituent les fab four sur le rock en général. Peter Steele, justement, n’arrêtait pas de parler des Beatles dans ses interviews et a fait nombre de reprises du groupe au cours de sa carrière. Et puis arrêtez, de toute façon j’ai pas besoin de me justifier !!!

Si vous aimez les Beatles et John Lennon cliquez sur la mention « Lire la suite » ci-dessous. Par contre si vous aimez le rn’b, les filles en petite tenue et les danseuses aguicheuses, vous pouvez aussi cliquer là . Mais bon vous revenez vite sur le site de Radio Metal après hein ?

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Nouvelles Du Front   

PETER STEELE : L’HEURE DU SOUVENIR


Peter Steele nous a quittés le 14 avril dernier. Tous les départs sont tristes, peut-être, mais celui-là l’est particulièrement. Car Peter était une personnalité hors norme, hors catégorie, hors tout. Son physique impressionnant n’avait d’égal que son incroyable gentillesse. Sans oublier un humour très personnel, décapant et pour le coup irrésistible.

Aujourd’hui Sal Abruscato (photo), batteur originel du groupe Type O Negative, s’exprime dans les médias. Il nous donne l’occasion de repenser avec le sourire à Peter, ce génie de la composition qui est parvenu avec brio à mettre en musique des sentiments profonds, enfouis, mélancoliques et incontestablement dépressifs de l’être humain. Type O Negative : c’était l’art du triste.

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