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Interview   

The Dead Daisies : l’éveil dans la lumière


Apporter la lumière aux gens. Telle est la conception qu’a Glenn Hughes du rock ou, en tout cas, la mission qu’il s’est donnée depuis 1992 à la sortie du centre de désintoxication Betty Ford. La lumière, justement, comme son titre l’indique, est au cœur de Radiance, le nouvel album de The Dead Daisies – la lumière au sens à la fois de réconfort et d’éveil spirituel, dont le besoin se fait clairement ressentir aujourd’hui, notamment après deux années et demie de pandémie. C’est d’ailleurs durant cette dernière que l’album a été conçu, empêchant le groupe de retourner au studio La Fabrique où avait été conçu Holy Ground (2021). Radiance est en conséquence une expérience différente de son aînée, à la fois dans sa réalisation qui fut plus difficile et dans son écoute en raison de morceaux globalement plus heavy.

Glenn Hughes étant enfin remis du Covid-19 qui l’a empêché de terminer la récente tournée européenne, nous avons échangé avec lui mais aussi Doug Aldrich pour qu’ils nous parlent de leur expérience à créer Radiance, du message qu’ils souhaitent véhiculer et du renouveau qu’apporte le chanteur au groupe, autant que du renouveau qu’apporte le groupe au chanteur…

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Interview   

The Dead Daisies : nouveau départ


Un an que The Dead Daisies attend patiemment que son nouvel album Holy Ground sorte, essayant de s’occuper et d’occuper ses fans par le biais des réseaux sociaux, et ce sera chose faite dans quelques jours. Pas sûr que le quatuor pourra reprendre la route aussi vite qu’il l’aurait espéré pour défendre l’opus, mais au moins la musique sera lâchée dans la nature, à disposition de qui voudra s’en délecter. Car force est de constater que l’arrivée de Glenn Hughes au chant et à la basse (cf. interview avec David Lowy) a donné un bon coup de fouet à The Dead Daisies. Pas que John Corabi et Marco Mendoza aient démérité, très loin de là, mais l’ex-Deep Purple apporte un vent de fraîcheur et de renouveau au groupe, à la fois par sa culture musicale british, sa voix ayant marqué l’histoire du rock et sa basse qui n’aura jamais été aussi généreuse.

Le guitariste Doug Aldrich, qui après seulement cinq ans au sein du groupe fait paradoxalement déjà partie des meubles, nous en parle, non sans admiration pour son nouveau frontman qui a, lui aussi, dans un temps lointain, côtoyé un certain David Coverdale dans un groupe réputé pour ses turnovers de musiciens – comme quoi le monde est petit. Il nous parle également de la marque qu’a laissée sur lui Eddie Van Halen, qui nous a quittés décidément trop tôt, et de son expérience lorsqu’il a auditionné pour Kiss alors qu’il n’avait encore aucune expérience.

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Interview   

Whitesnake : plaisir et vitalité


David Coverdale, prendre sa retraite ? Certainement pas ! Et s’il a pu avancer l’idée il y a quatre ans, on ne l’y reprendra plus. Même si sa santé a fait des siennes ces dernières années, avec une arthrose dégénérative lui ayant valu une opération des deux genoux, le frontman nous revient en pleine forme avec un douzième album de compositions originales sous la bannière Whitesnake, intitulé Flesh & Blood, et il est prêt à repartir sur les routes. A l’écoute du seul single « Shut Up & Kiss Me », délicieusement eighties, festif, sexy, et à la vue du clip où il ressort sa vieille veste bleue et la mythique Jaguar, on le croirait presque avoir retrouvé sa jeunesse.

Certes, le guitariste Doug Aldrich, qui avait relancé le Serpent Blanc de la plus belle des façons dans les années 2000, n’est plus de la partie, mais s’arrêter là serait oublier que toute la carrière de Whitesnake a été marquée par un défilé de guitaristes tous plus talentueux les uns que les autres. Avec Joel Hoekstra, qui a déjà fait ses armes sur The Purple Album, et le désormais vétéran Reb Beach qui prend le lead, nul doute que Whitesnake est entre de bonnes mains. Nous en parlons ci-après avec David Coverdale.

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News Express   

BURNING RAIN (avec le guitariste Doug Aldrich) : les premiers détails du nouvel album Face The Music


BURNING RAIN, le groupe de hard/blues fondé par le guitariste Doug Aldrich (THE DEAD DAISIES, ex-WHITESNAKE), sortira son quatrième album, intitulé Face The Music, en mars 2019 via Frontiers Music Srl. En savoir plus…



Interview   

The Dead Daisies brûle d’envie


Décidément, la ronde des musiciens se poursuit chez The Dead Daisies, avec cette fois-ci le départ du batteur Brian Tichy et l’arrivée de Deen Castronovo. Mais malgré tout, ce que l’on remarque est que non seulement le groupe tend à se solidifier mais également, en dépit du prestige des musiciens, reste plus que jamais une bande de potes soudée et sachant mettre à contribution les talents de chacun. Combien de groupes aussi actifs que The Dead Daisies peuvent se targuer d’avoir de telles pointures entièrement dévouées à leur cause et où règne une telle camaraderie ? Car l’énergie et l’implication dont fait preuve le quintette en live – leur véritable terrain de jeu – ne trompent pas.

Ainsi The Dead Daisies revient cette année avec un quatrième album : Burn It Down. Un disque conçu dans des conditions relativement similaires à Make Some Noise, à ceci près que le producteur Marti Frederiksen a cette fois-ci chapeauté le projet de A à Z à la manière des grands producteurs de l’histoire du rock. En résulte un album assurément heavy mais aussi un peu plus ouvert et dynamique, dont le guitariste Doug Aldrich et le chanteur John Corabi nous parlent ci-après.

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Interview   

The Dead Daisies : copains d’avant et d’aujourd’hui


The Dead Daisies 2016

Il aura fallu attendre pas loin de quarante ans pour que le chanteur John Corabi et le guitariste Doug Aldrich, vieux copains depuis que ce dernier était en seconde, se retrouvent enfin ensemble dans un groupe ! Il faut dire que leurs carrières ont été bien remplies, entre The Scream, Union ou un passage chez Môtley Crûe pour l’un, Bad Moon Rising, Dio ou Whitesnake pour l’autre. Il est clair que leur pedigree, en soi, rend leur réunion des plus alléchantes, mais c’est surtout pour leur amitié et le talent de The Dead Daisies dans son ensemble qui fait que ça fonctionne comme en atteste le troisième album de la formation, Make Some Noise. Le combo n’étant pas en manque de jus créatif, l’opus voit le jour tout juste un an seulement après Revolución.

Nous avons profité du passage du groupe au Wacken Open Air pour tailler le bout de gras avec John – qu’on prend plaisir à retrouver – et Doug, qui font preuve d’une réelle complicité et camaraderie. Les deux acolytes nous parlent donc de leur amitié et de ce retour rapide en studio mais aussi de la conception même des musiques, de leur état d’esprit pendant celle-ci et l’apport du prestigieux producteur Marti Frederiksen qui a été jusqu’à intégrer le processus de composition.

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Glenn Hughes en quête de bonheur


Glenn Hughes liveIl est certain que les séparations successives, en seulement deux ans, de Black Country Communion puis California Breed, deux groupes talentueux en lesquels il plaçait à juste titre beaucoup d’espoir, ont été des douches froides pour le chanteur-bassiste Glenn Hughes ; ça lui a même brisé le cœur, à deux reprises coup sur coup, explique-t-il. Il revient là-dessus dans l’entretien qui suit et nous en dit plus notamment sur la fin de California Breed. Un sujet sur lequel il s’était encore assez peu exprimé jusqu’à présent.

Mais pas question pour Glenn Hughes de se morfondre ou ruminer une quelconque rancœur. Sa mission : la recherche du bonheur en tant qu’artiste, acceptant les nouvelles règles du jeu de l’industrie musicale actuelle, très différentes de celles qu’il a pu connaître par le passé. C’est pourquoi il revient aujourd’hui avec sa carrière solo, sept ans après l’avoir laissée avec l’album First Underground Nuclear Kitchen. Mais pas question non plus d’abandonner tout de suite le rock pour le voir retourner à son amour pour la funk, et c’est pour cela qu’on le verra dès octobre dans une tournée en Europe – dont un passage au Divan Du Monde à Paris – accompagné du très talentueux et prestigieux ex-Whitesnake Doug Aldrich à la guitare.

Et des guitaristes de talents Hughes a pu en connaître dans sa carrière, dont un certain Tommy Bolin dont les quarante ans de l’album Teaser seront célébrés en septembre avec une réédition spéciale. L’occasion de parler de ce regretté guitariste disparu trop tôt et de dévier sur d’autres sujets tels que le guitariste Ritchie Blackmore ou The Purple Album de Whitesnake sorti récemment.

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Interviews   

When the white snake puts on its purple coat


David Coverdale - Whitesnake by Mark Weiss“Non, je ne regrette rien”, as Édith Piaf would put it. Now those lyrics apply to David Coverdale, who went back to his distant past to put together The Purple Album, Whitesnake’s latest record, made up of covers from his era in Deep Purple. It is with unmitigated pleasure that we listen to him talk about the surprising genesis of this project, but also about his memories from the years 1973-1976, his relationship with Ritchie Blackmore and the late Jon Lord, everything the experience has brought him, and his genuine, never-ending gratitude. Now, in the 2010s, Coverdale has the same passion for music and the idea of creating it that he had at the time – even if he’s aware that time does fly, and if it’s obvious he’s wondering what the future will be made of. The Purple Album could be his last rock record, he confesses, without too much confidence.

At any rate, it is the first album since the departure of guitarist Doug Aldrich, who rekindled the fire in Whitesnake’s music in the space of two records. Consequently, it’s also the first with his new guitarist, Joel Hoekstra, whose talent as a classical musical never ceases to amaze him. It might also be a good opportunity to start considering a more acoustic and intimist music. But he’ll tell you that himself, too.

With David Coverdale, questions are almost unnecessary; they’re merely prods for him to keep telling his story, with all the detours and deviations that go with it. An interview with him also implies a healthy dose of honesty, elegance (when he talks about other people), and humor (particularly when he goes all Columbo and talks about his wife, who seems to matter an awful lot to him). And this time, the poet trades Häägen-Dazs for little blue birdsto kick off his tale…

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News Express   

Doug Aldrich (ex-DIO, ex-WHITESNAKE) rejoint Glenn Hughes en solo


Le guitariste Doug Aldrich (membre actuel de REVOLUTION SAINTS et ancien WHITESNAKE, DIO, BAD MOON RISING, etc.) rejoint le chanteur Glenn Hughes (ex-DEEP PURPLE, ex-BLACK COUNTRY COMMUNION, etc.) pour sa tournée solo européenne automnale. Ce dernier y passera en revue toute sa carrière : TRAPEZE, DEEP PURPLE, BLACK COUNTRY COMMUNION, CALIFORNIA BREED et, bien entendu, ses chansons solo. En savoir plus…



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Whitesnake : quand le serpent blanc revêt son manteau pourpre


David Coverdale - Whitesnake by Mark Weiss« Non, rien de rien, non, je ne regrette rien » chantait Édith Piaf, et chante aujourd’hui David Coverdale après s’être replongé dans son passé lointain pour assembler The Purple Album, le nouvel album de Whitesnake constitué de chansons de Deep Purple, de l’époque où il y officiait, revisitées par son talentueux groupe. C’est donc avec un plaisir non feint qu’on l’écoute nous parler de la genèse étonnante de ce disque mais aussi de ses souvenirs de l’époque 1973-1976, de ses relations avec Ritchie Blackmore et feu Jon Lord, de ce que tout ceci lui a apporté, de sa sincère et éternelle reconnaissance… Quarante ans après, Coverdale reste passionné comme au premier jour par la musique et l’idée de créer. Ce même s’il a conscience que le temps file et qu’on devine qu’il se pose aujourd’hui des questions par rapport à ce dont son avenir devra être fait. Il est probable que ce Purple Album soit son dernier album rock, nous avoue-t-il, sans toutefois se montrer bien sûr de lui.

En tout cas, c’est là son premier opus depuis le départ du guitariste Doug Aldrich qui avait ré-embrasé le feu dans la musique de Whitesnake le temps de deux albums, le premier avec son nouveau guitariste Joel Hoekstra dont il s’émerveille des talents de musicien classique, y voyant, peut-être, une ouverture vers une musique plus acoustique et intimiste. De tout ça, il nous en parle aussi.

Avec David Coverdale, les questions sont superflues ou presque, elles ne sont que prétextes pour le relancer pendant qu’il nous conte son histoire, faite de détours et déviations, avec une bonne tranche de franchise, d’élégance envers ceux dont il parle et d’humour, et faisant ressortir de temps à autre son côté Columbo en nous parlant de sa femme qui semble beaucoup compter pour lui. Et pour amorcer le récit, le poète ne nous parle cette fois-ci pas d’Häägen-Dazs mais de petits oiseaux bleus…

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    Metallica @ Saint-Denis
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