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News Express   

Un nouveau titre du projet Allen / Lande est en écoute


Le nouvel et quatrième album, intitulé The Great Divide, du projet commun aux chanteurs Russell Allen (SYMPHONY X, ADRENALINE MOB) et Jorn Lande (ex-MASTERPLAN, ex-YNGWIE MALMSTEEN, ex-ARK) sortira le 17 octobre prochain en Europe. Le morceau « Lady Of Winter » s’écoute ci-dessous. Ecouter le titre.



Interviews   

Halestorm: for the stage


With Halestorm, everything’s about the live performance. Because the band is always on the road, but also because that’s what they think about when they write their music. The artistic purpose of a Halestorm song is to perform it on stage and their albums are written with that in mind. In one of his sketches, the French comedian known as Comte de Bouderbala laughed about American’s nearly-constant enthusiasm, as opposed to the cold attitude of the French. There is some of that enthusiasm in Lzzy Hale, Halestorm’s frontwoman. And one must admit that it’s effective, because that candid joy that could be annoying is actually communicable.

Because Halestorm, in the beginning, was a story about kids aged 10 to 13 years old who decided to form a band and who were, for years, encouraged by their parents: “No one is calling anybody and saying ‘You should cut your hair and get a real job!’” says Lzzy Hale. This invaluable luck has continued to shine upon Halestorm time after time, from Atlantic Records falling in love with their music, the love they get from their fan-base or countless opportunities such as the use of one of their songs in the TV series Glee. The band has indeed forced this luck through years of hard work which has paid back: life is smiling at Halestorm and Halestorm gives back with all its enthusiasm and its catchy, sweet and spirit-lifting music. Their path has also had its share of mistakes, which Lzzy easily admits, such as the overthinking of their first album, for example, having spent too much time thinking about how to write catchy songs that would please their audience.

In this interview with Lzzy, we have covered all sides of an already rich – though young – career. An over-40-minutes interview, rich with anecdotes not to be missed, and – as a result – essential for anyone interested in the band.

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Interview   

Halestorm : pour la scène


Chez Halestorm, tout gravite autour de la scène. Parce que le groupe passe son temps à tourner, mais aussi parce c’est à cela que le quatuor pense quand il compose. La finalité artistique d’une chanson de Halestorm, c’est son exécution sur scène et leurs albums sont écrits en fonction de cela.

Dans un de ses sketches, l’humoriste connu sous le pseudonyme de Comte de Bouderbala s’amusait de l’enthousiasme quasi-permanent des Américains, l’opposant à l’attitude froide des Français. Il y a de ça chez Lzzy Hale, frontwoman de Halestorm. Et il faut admettre que c’est efficace car cette joie de vivre presque enfantine et qui pourrait agacer est au contraire contagieuse.

Parce que Halestorm, c’est au départ une histoire de gamins âgés de 10 à 13 ans qui décidèrent de monter un groupe et qui furent des années durant soutenus activement par leurs parents : « Personne n’appelle personne pour dire ‘Tu devrais aller chez le coiffeur et trouver un vrai travail !' » confie Lzzy Hale. Une chance inestimable, qui a continué de sourire à Halestorm à de multiples reprises, que ce soit par le coup de cœur d’Atlantic Records, l’amour peu commun que lui voue sa fan-base ou diverses opportunités telles que l’utilisation d’un titre dans la série Glee. Une chance que le groupe a bien entendu su provoquer à force de travail et qui porte ses fruits : la vie sourit à Halestorm et Halestorm nous le rend bien avec son enthousiasme et sa musique percutante, sucrée et qui met de bonne humeur. Un parcours ayant également son lot d’erreurs, que Lzzy admet volontiers en avouant, par exemple, que le groupe a manqué de spontanéité sur son premier disque, se demandant bien trop comment écrire des titres au potentiel vendeur.

Dans cette interview, nous avons couvert avec Lzzy tous les pans d’une carrière, certes naissante, mais déjà riche.

Un entretien fleuve ayant duré plus d’une quarantaine de minutes, riche en anecdotes à ne pas rater, et donc absolument indispensable pour qui s’intéresse au groupe.

Cliquez ici pour découvrir cette interview…



Interviews   

Symphony X: all prog and no headlock


Without being a concept album, Symphony X’s new album, Iconoclast, deals with the interaction between man and machine – or rather, with the fight between man and machine. “Nothing original here”, is probably what you’d tell Michael Romeo if you could, you big-mouthed metalheads. And the guitarist would answer very simply: “It’s probably really tough to find anything that hasn’t been done. But we’ll do it our own way. We just tried to find something that would allow us to push the music somewhere where we haven’t really been before.” There’s no hidden message or particular intention behind the music; there’s only spontaneity, a desire to make cool music with cool lyrics.

Music seems to be the band’s only real concern. In other words, these guys don’t care about what might be at stake when it comes to releasing a single or double album, and won’t communicate on anything that doesn’t pertain to their work. And this music is something Michael and his pals cannot write while on tour or when they go back to their families to recharge their batteries, which is why they’d rather take their time to compose an album.

Interview with Michael Romeo.

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Interview   

Symphony X : du prog’ sans prise de tête


Iconoclast, le nouvel album de Symphony X, sans être un concept album, a pour thématique globale l’interaction voire la lutte de l’homme contre la machine. “Pas très original”, diriez-vous à Michael Romeo, si vous l’aviez en face, grandes gueules que vous êtes. Et celui-ci, bonne pâte, vous répondrait le plus simplement du monde : “Ça doit être très difficile de trouver un sujet qui n’ait pas encore été abordé, mais on le fait à notre façon. Nous avons essayé de trouver quelque chose qui nous permette de nous diriger dans une direction que nous n’avions pas encore vraiment explorée.”. Pas de message caché ni d’intention particulière derrière la musique, simplement de la spontanéité, de quoi faire de la musique cool avec des paroles qui vont avec.

La musique semble d’ailleurs l’unique véritable préoccupation du groupe, qui se fiche donc des enjeux promotionnels liés au fait de sortir un album simple ou double et qui se refuse de communiquer sur quoi que ce soit d’autre que ses oeuvres. Une musique que Michael et ses collègues ne peuvent écrire dans les conditions de tournée ou quand ils rentrent se ressourcer auprès de leur famille, raisons pour lesquelles ils préfèrent prendre leur temps.

Entretien avec Michael Romeo.

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Live Report   

Symphony X ou la démonstration de force


« De toute façon, c’est vendredi, demain personne ne bosse ! ». Saluons cette invitation de René Pedersen, chanteur de Mercenary, à savourer cette dense soirée de concerts, comme l’on savourerait de se réveiller en pleine nuit, paniqué à l’idée d’être en retard au travail avant de réaliser qu’il est dimanche matin. Une déclaration qui s’imposait, afin de profiter pleinement de l’affiche sans s’inquiéter, même inconsciemment, de l’heure tardive à laquelle la soirée (00h30) se terminerait.

C’est avec plaisir que nous constatons également une affluence respectable pour cette affiche de puristes. On pouvait en douter, compte tenu de la tendance qu’a Symphony X à disparaître totalement de l’espace médiatique entre deux albums. Cependant, pour le lot de curiosités (la reformation de Psychotic Waltz, la présence rare de Nevermore en France…) qu’elle proposait, cette affiche avait, avec le recul, tout pour attirer du monde.

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Interview   

Arjen Lucassen, un véhicule immatriculé 01011001


A l’origine, j’avais des questions à poser à Arjen Lucassen. Mais sachez qu’avec cet animal, on ne fait pas une interview. Avec Arjen, on bavarde, comme au collège ou en fin de soirée. Vous savez, ce genre de discussion qui, à l’instar d’un champignon hallucinogène hawaïen, d’un enseignant frustré de sciences politiques ou d’une conversation de rencard, vous fait digresser de sujet en sujet sans que vous ne vous en rendiez compte. Partis des dernières réalisations d’Arjen, à savoir Guilt Machine et Star One, nous avons réussi à en arriver à parler du prochain Symphony X, de laxatif intergalactique et… des Dents de la Mer ! Nous avons tenu à vous présenter cette interview de la manière la plus brute possible, afin de vous présenter le personnage et de vous montrer à quel point l’échange avec lui est facile, agréable et fluide.

Arjen Lucassen est un personnage ambitieux, mais pas égocentrique pour autant ! C’est avec une honnêteté déconcertante qu’il confesse ses fautes, ses redondances musicales et qu’il parle, presque gêné, de ses défauts. Avec un sens de l’autodérision certain, il rira de son incapacité à écrire des albums dépouillés de claviers ou à ne pas faire appel à des chanteurs. A ce titre, il déclare solennellement qu’il travaille sur un album solo et qu’il en sera l’unique vocaliste ! Un entretien sans fards et bourré d’anecdotes qui, j’en mets ma main à couper, ravira le fan d’Arjen Lucassen. Autant que moi-même j’ai pu l’être en y participant.

En fin d’interview, alors que je m’apprête à raccrocher, une évidence me saute aux yeux. Arjen, ça ressemble drôlement à Aryen ! En voilà un prénom qui doit susciter la controverse. Arjen Lucassen me raconte alors l’histoire d’un fan d’Ayreon dont la voiture, dont la plaque portait le nom du groupe, a été vandalisée par des individus persuadés que le groupe avait des affinités avec l’idéologie du IIIème Reich. Le fan en question avait envoyé la plaque à Arjen pour le souvenir. Vautour de journaliste que je suis, je lui demande s’il l’a encore. Quelques secondes plus tard, je trouve dans ma boîte mail cette photo collector.

Cliquez ici pour l’interview



Titre À Titre   

En Avant, Asia !


Il faut se méfier des séances de pré-écoute exclusives. L’excitation de la nouveauté, la rareté intrinsèque du fait de ne pas réellement avoir accès à l’objet, ont tendance à fausser les émotions et vous font idéaliser le moment.

Surtout avec un album aussi dense que ce nouvel Avantasia. Pour cet ultime opus, Tobias Sammet ne souhaitait avoir aucun regret et a tout donné. L’accomplissement de toute une vie, comme il nous l’avouera plus tard en interview, triste et heureux à l’idée de tourner cette page et quelque peu inquiet de ne pas savoir quoi faire après. The Wicked Symphony/Angel Of Babylon se veut donc comme un festival, compilant toutes les facettes musicales de la saga depuis 10 ans. Si vous souhaitez ne pas gâcher la surprise, ne cliquez surtout pas sur ce lien (Spoiler inside).



News From The Front   

Do not read this article !


It’s always wise to be wary of pre-listening exclusive events. The excitement of hearing something new and the intrinsic rarity of having access to an object that is not yet available, can often create falsify your emotions and make you idealise the moment more than necessary.

This is especially the case with an album as dense as Avantasia’s new album. For this latest release, Tobias Sammet didn’t want to have any regrets and he gave it his all. As he admitted in the interview taking place afterwards, this album represents the greatest accomplishment of his life, despite appearing somewhat sad and happy at the fact of turning a new page, yet slightly worried about not knowing what to do next. Wicked Symphony/Angel Of Babylon is like a festival, compiling all musical aspects of the saga for the past 10 years. If you don’t want to ruin the surprise, do not click on this link (Spoiler inside).



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