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Interview   

Arch Enemy tombe le masque


Arch Enemy est un groupe que l’on peut, sans trop exagérer, qualifier de très, très chanceux. Lorsque Angela Gossow remplace le chanteur d’origine Johan Liiva en 2000, la popularité du combo grimpe en flèche. En 2014, avec l’arrivée d’Alissa White-Gluz, sa renommée atteint des niveaux stratosphériques. Un changement de front(wo)man validé quasi instantanément par les fans, c’est assez rare pour être mentionné – deux, c’est carrément du jamais-vu ! En 2020, alors que l’apocalypse s’abat sur la planète et que la plupart des groupes doivent remiser leurs projets de tournée pour les presque deux ans à venir, Arch Enemy a déjà remballé le tour bus depuis quelques mois et planche sur ce qui deviendra son onzième album studio, Deceivers. Cauchemar évité de justesse, donc, et un coup de chance de plus à mettre au crédit d’un groupe désormais international.

Mais après tout, comme le dit l’adage, la fortune sourit aux audacieux – ou, du moins, à ceux qui osent sortir des sentiers battus en matière de promotion et dont la très énergique frontwoman n’hésite pas à faire passer la satisfaction du public avant sa propre santé. On discute de tout cela – et de quelques notions de technique vocale – avec les deux têtes pensantes et compositeurs de la formation, Michael Amott et Alissa White-Gluz.

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Interview   

Arch Enemy : le goût du triomphe


Arch Enemy a bien grandi. Le cycle de tournée pour War Eternal (2014) semble avoir transformé le groupe, plus que jamais figure de proue du death mélodique. On pouvait s’en douter avec l’arrivée d’Alissa White-Gluz, désormais véritable bête de scène. Toutefois, avec plus de 300 concerts donnés, personne ne pouvait prévoir l’ampleur du phénomène : Arch Enemy est désormais grand et semble le gérer sans complexe, avec humilité.

Ainsi tout le monde attendait de pied ferme Will To Power, le nouvel opus du groupe, le premier avec le guitariste Jeff Loomis en studio. Sûr de sa recette et avec une volonté d’apporter de nouveaux éléments, Arch Enemy a conscience d’être dans une dynamique extrêmement positive et semble prêt à franchir une nouvelle étape : l’effet boule de neige nous dit-on… Entretien avec le guitariste compositeur Michael Amott et la frontwoman Alissa White-Gluz, aussi détendus qu’alertes quant à la notoriété croissante du groupe.

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Interview   

Arch Enemy : une flamme plus vive que jamais


Un changement de vocaliste dans un groupe est toujours une épreuve un peu délicate. Déjà pour trouver la bonne personne avec qui l’alchimie se fera, mais aussi et surtout pour faire accepter celui ou celle qui incarnera le visage et la voix du groupe à une fan base toujours méfiante et frileuse face aux changements. La carrière d’Arch Enemy avait pris un vrai tournant avec Angela Gossow, les risques en lui trouvant une remplaçante suite à son départ n’en étaient que plus grands. Pourtant, non seulement le passage de témoin au sein du groupe s’est fait de façon on ne peut plus fluide, mais en plus, là où de nombreux groupes se sont cassé les dents sur les avis mitigés des fans, Arch Enemy a carrément vu sa côte de popularité monter en flèche ! Michael Amott, dans l’entretien qui suit, semble lui-même bien incrédule devant ce constat.

Et c’est bien en raison de ce succès que le combo suédo-canadien a décidé d’en laisser un témoignage live avec As The Stages Burn, qui immortalise l’impressionnant show de tête d’affiche donné par le groupe au Wacken Open Air 2016. Nous avons donc parlé avec le guitariste de la bande, l’occasion d’en savoir plus sur son approche de l’exercice live, mais aussi sur le nouvel album à venir et le groupe Black Earth qui a vu, le temps de sept dates au japon, revivre le vieux line-up d’Arch Enemy de 1999, avec le premier chanteur Johan Liiva et le frangin Christopher.

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Interview   

Christopher Amott (Armageddon, ex-Arch Enemy) n’est captif de rien


Si on l’oublie souvent au profit de son frère Michael avec qui il formait un remarquable duo de guitaristes, Christopher Amott n’en a pas moins marqué de manière indélébile l’histoire, la musique et l’ascension d’Arch Enemy. Il était parti une première fois en juin 2005 pour revenir en mars 2007, puis repartir en mars 2012, et même aujourd’hui, alors qu’Arch Enemy vient de sortir son premier album sans lui, Christopher ne semble jamais bien loin, revenant aider son frère et ses amis le temps de quelques concerts suite au départ précipité de son remplaçant Nick Cordle, et avant que l’ex-Nevermore Jeff Loomis ne prenne la relève. « C’était marrant de traîner avec les gars à nouveau » nous raconte-t-il à ce sujet, « Alissa [White-Gluz] est une fille sympa. Honnêtement, j’ai l’impression que rien n’a changé. C’était comme si je n’étais jamais parti. C’était pareil. Donc c’était cool. Rien d’étrange ou quoi que ce soit. » Si ce n’est effectivement le changement de frontwoman suite au départ d’Angela Gossow, fait qui ne l’as pas étonné : « Je m’étais bien rendu compte qu’elle n’était plus motivée lorsque j’étais dans le groupe, elle n’aimait pas vraiment les tournées. [Le changement] s’est fait après mon départ du groupe, mais ça ne m’a pas vraiment surpris. » Et puisqu’on est sur le sujet d’Arch Enemy et des départs, connait-il la raison de celui de Cordle ? « Oui je la connais, mais je ne vais pas te dire [rires]. C’était juste des différents personnels. Parfois les gens ne s’entendent pas, tu sais. »

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Interviews   

Arch Enemy: Big debriefing with Michael Amott and Alissa White-Gluz


The last time we spoke to Michael Amott and Angela Gossow, in April 2011, to talk about Khaos Legions (a long and rich interview which we still recommend to this day), we would never have thought that a tsunami would hit Arch Enemy three years later. Nothing in those interviews ever suggested the emblematic screamer would just up and leave. And yet, Amott now mentions “heralding signs”, “changes in her attitude” that “everybody in the band noticed”. Sometimes, when the passion is gone, change is the only solution left.

After all, change turned out to be a good thing for the band in the early 2000s. But the context is different: this time, Arch Enemy lost a face and a voice that everybody knew. Unruffled, and with the help of their now ex-frontwoman, the band has arranged a smooth, meticulously orchestrated transition. After keeping the news secret for months, they have finally revealed the name of their new voice: Alissa White-Gluz, of The Agonist fame, will step into Angela’s shoes on ten out of thirteen songs on Arch Enemy’s new album, War Eternal.

We talked to guitarist Michael Amott about this transfer of power, the replacement of his brother Christopher by Nick Cordie (the second big change on War Eternal, which makes the band’s leader surprisingly “happy”), and the album itself, from the artwork to the unusual orchestrations. Directly after that, you’ll find the complete transcript of the live interview vocalist Alissa White-Gluz gave us last April, which you can still listen to in the original Quebecois French.

After reading this complete debriefing, War Eternal will have no secrets for you.

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Interview   

Arch Enemy : grand débriefing avec Michael Amott et Alissa White-Gluz


La dernière fois que nous avons parlé à Michael Amott et Angela Gossow, en avril 2011 pour la promotion de l’album Khaos Legions (un entretien long et riche que nous vous conseillons encore aujourd’hui), bien malin celui qui aurait pu prédire le séisme qui a touché Arch Enemy trois ans plus tard, soit aujourd’hui, avec le départ de la hurleuse emblématique, car rien ne laissait le présager dans leurs mots. Pourtant, Amott parle aujourd’hui de « signes précurseurs », de « changement dans son attitude » et que « tout le monde s’en est rendu compte dans le groupe. » Et lorsque l’envie n’y est plus, il n’y a parfois d’autres choix que le changement.

Après tout, le changement a déjà été favorable au groupe à l’entame des années 2000. Mais le contexte est différent : Arch Enemy perd aujourd’hui un visage et une voix connus de tous. Pas démonté, aidé par leur ex-frontwoman, le combo a opéré une transition fluide et méticuleusement orchestrée, dévoilant sa nouvelle voix après avoir tenu le secret pendant des mois, une voix déjà appréciée au sein de The Agonist, celle de la montréalaise Alissa White-Gluz que tout le monde pourra entendre sur dix des treize plages que compte War Eternal, le nouvel album d’Arch Enemy.

Nous nous sommes entretenus avec le guitariste Michael Amott, pour en savoir plus sur cette passation de pouvoir, sur l’arrivée de Nick Cordie remplaçant son frère Christopher – on oublie souvent que War Eternal marque également cet autre changement pour lequel le leader se dit étonnamment « heureux » -, mais aussi sur l’album, de son illustration jusqu’au travail d’orchestration inédit chez Arch Enemy. Enchaîné directement à cet entretien, nous vous proposons également la retranscription complète de celui que nous avons eu en direct à la radio avec la chanteuse Alissa White-Gluz en avril dernier (en conservant ses charmantes « québécoiseries » et petits anglicismes), encore disponible à l’écoute ici.

C’est donc un débriefing très complet que vous trouverez dans ces colonnes, après la lecture duquel War Eternal n’aura plus, ou presque, de secret pour vous.

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Nouvelles Du Front   

Arch Enemy : passation de pouvoir


S’il y a bien un combo, quand on évoque les groupes de metal extrême menés par une chanteuse, auquel on pense instinctivement c’est les Suédois d’Arch Enemy. La popularité du groupe n’est plus à démontrer, et cette réussite revient en bonne partie à l’apport d’Angela Gossow, son emblématique frontwomam, particulièrement appréciée (et respectée) des metalheads, qui a posé ses bagages chez Arch Enemy après que ces derniers aient remercié Johan Liiva en 2000.

Mais voilà, une page se tourne : « Après 13 ans de pur metal, 6 albums studio et un nombre incalculable de tournées sur cinq continents », hier 17 mars, Angela Gossow annonçait quitter son poste de chanteuse, officiellement récupéré par Alissa White-Gluz des Montréalais The Agonist. La blonde allemande affirme ressentir « le besoin d’entrer dans une nouvelle phase de [sa] vie, d’être avec [sa] famille et de poursuivre d’autres centres d’intérêt. » Toutefois, si Gossow n’assurera plus sur le devant la scène, elle restera proche du groupe, dans l’ombre, s’occupant essentiellement de son management, tâche qu’elle assurait déjà jusque là, et son héritage pour le groupe ne cessera de perdurer comme le souligne Michael Amott, pilier du combo : « Nous serons éternellement reconnaissants envers Angela pour toute sa passion, son travail acharné et son talent. Son héritage est immense et sera toujours une grande partie de l’histoire de la bande. Nous nous sentons très fiers de ce qui a été accompli dans le passé, mais aussi impatients de nouveaux combats et de nouvelles victoires. »

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Interview   

Kayser : un alliage fait pour durer


Christian Sjöstrand, alias Spice, avait pris son monde par surprise en 2006 en sortant Frame The World… Hang It On The Wall avec son groupe Kayser. Un album où l’ex-Spiritual Beggars partait se ressourcer dans un power thrash aux riffs à se damner, mais fusionné avec son sens mélodique et ses affinités pour les musiques stoner. Une formule détonante qui a tout de suite placé le combo au-dessus du lot. Puis quelques années sont passés, ceux qui se sont délectés de ce second album ont commencé à s’inquiéter, voyant le chanteur revenir avec deux albums successifs dans le stoner qu’on lui connait (Spice And The RJ Band et Band Of Spice), semblant avoir mis de côté Kayser. Mais il n’en est rien, Kayser est bel et bien de retour cette année avec Read Your Enemy, son troisième album. Même s’il n’égale pas son imposant prédécesseur, pas question de passer cette sortie sous silence. On a pris notre téléphone pour joindre Spice et le questionner sur le sujet.

« Ça a beaucoup à voir avec notre précédente maison de disque, des questions politiques et des merdes dans le genre », explique-t-il pour donner la raison des sept ans d’écart entre Read Your Enemy et son prédécesseur. Il poursuit : « Il a fallu que nous changions notre contrat avec notre précédente maison de disques avant de pouvoir sortir celui-ci chez Listenable Records. » « Mais nous sommes de retour pour de bon maintenant ! », rassure-t-il en ajoutant « nous avons déjà commencé à écrire de nouvelles chansons. »

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Interviews   

Jeff Walker isn’t done gnawing on his good old Carcass


For a band to get back together and produce a new album seventeen years after its split is hardly ever dreamed of! Regardless, this is what Carcass managed to accomplish in a beautiful way. Indeed, whereas time passing by usually intensifies the doubts concerning the capacity of a band to honour its work, the English came back with a genuine Carcass album, almost unanimously greeted by the critics and the fans along. So what’s the secret behind this achievement? Not thinking too much, doing what they felt like doing and being aware of their past and their own story. The bassist and singer Jeff Walker, interviewed below, even admits how much it was important that drummer Ken Owen be a part of this, despite unfortunately not able to hit the drums anymore.

With kindness and sincerity, Walker tells us the secrets of this honest and authentic new album. It should be noted that the following interview will also tackle topics regarding Whitesnake, Trivium, Michael Amott (Arch Enemy) and grindcore music.

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Interview   

Jeff Walker n’a pas fini de ronger sa bonne vieille carcasse


Se reformer et produire un nouvel album dix-sept ans après, c’est presque inespéré ! Et c’est pourtant ce que Carcass a fait, de la plus belle des manières puisque, là où le temps qui passe accroît généralement les doutes sur la capacité d’un groupe à honorer son œuvre, les Anglais eux sont arrivés avec un album de Carcass pur jus, presque unanimement salué par la critique et les fans. Le secret de cette réussite ? Ne pas trop réfléchir, faire ce qu’ils ont envie faire et avoir conscience de leur passé, de leur histoire. Le bassiste chanteur Jeff Walker, interviewé ci-après, nous avoue même à quel point il était important que le batteur Ken Owen, malheureusement plus en mesure de frapper les fûts, soit de la partie.

Un album honnête et authentique dont Walker, à la fois sympathique et faisant preuve de franc-parler, nous livre les secrets. A noter que dans l’échange qui suit il sera également question, pêle-mêle, de Whitesnake, de Trivium, de Michael Amott (Arch Enemy) et de grindcore.

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  • Red Hot Chili Peppers @ Lyon
    Queens Of The Stone Age @ Lyon
    Kiss @ Lyon
    Skid Row @ Lyon
    Hollywood Vampires @ Paris
    Depeche Mode @ Lyon
    Scorpions @ Lyon
    Thundermother @ Lyon
    Ghost @ Lyon
    Spiritbox @ Lyon
    Metallica @ Saint-Denis
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