On peut dire que Jeff Waters a passé deux dernières années mouvementées : il a quitté son Canada natal pour traverser l’Atlantique et venir s’installer en Angleterre. Un chamboulement de vie qui explique une annulation de tournée et un retard dans le planning habituel de sortie d’album. Ironiquement, c’est à cette période où il se trouve déraciné dans sa vie que Jeff Waters décide de revisiter ses racines musicales avec le nouvel album d’Annihilator, Ballistic, Sadistic. Une manière de trouver du réconfort dans la nostalgie, peut-être. Un exutoire pour évacuer le stress, surtout.
Dans l’entretien qui suit, Jeff Waters nous parle donc de la direction musicale entreprise sur Ballistic, Sadistic. Un album qui, plus qu’un retour aux sources, est surtout un hommage à une musique qu’il lui est aujourd’hui – et il en a conscience – impossible à reproduire. Son old school et retour à une composition en tandem avec le batteur, l’entreprise fait forcément remonter quelques souvenirs, que le musicien partage avec nous pour mieux comprendre ses origines et son évolution. Avec une petite pensée pour le chanteur Randy Rampage qui a chanté sur le classique Alice In Hell (1989) et qui nous a quittés il y a un an et demi.
The Dead Daisies – Holy Ground
Marko Hietala annonce son départ de NIGHTWISH
LIQUID TENSION EXPERIMENT dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « The Passage Of Time »
SOULFLY est entré en studio
Steven Wilson : artiste sans frontière
U.D.O. dévoile la vidéo live de la chanson « Man And Machine »
Jon Schaffer (ICED EARTH, DEMONS & WIZARDS) a été arrêté
FUATH (avec Andy Marshall de SAOR) dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « Prophecies »
PRINCESSES LEYA : les détails du premier album L’Histoire Sans Fond
Dooweet est au service des artistes