Les bassistes seraient-ils des mal-aimés parmi les musiciens de metal ? Le mythe veut qu’ils soient sous-mixés dans les albums ou relégués au fond de scène au profit des guitaristes qui récolteraient tous les lauriers. Mais l’histoire du rock, du hard rock et du heavy metal est truffée de bassistes qui se sont imposés comme des forces motrices voire des leaders : Steve Harris, Geddy Lee, Geezer Butler, Nikki Sixx, Roger Waters, etc. Et à discuter avec Mike Lepond, le discret bassiste de Symphony X qui propose cette année son premier album solo Silent Assassins, on se rend compte que si le bassiste n’est peut-être pas le premier musicien à attirer les regards, c’est aussi à lui de savoir s’imposer, se démarquer entre la guitare et la batterie et assumer son rôle en apportant son « plus » à l’instar de n’importe quel musicien.
Lepond nous parle évidemment de cette échappée solo, de l’idée à la conception, mais aussi, donc, plus largement de la basse, cet instrument qui se veut être, soit disant, de l’ombre mais non moins indispensable à l’articulation des chansons rock et metal voire propice à la virtuosité, comme le prouve certaines fulgurances qui ont fait la réputation de notre interlocuteur.
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