BLACK SABBATH sortira la réédition de son quatrième album Vol. 2 paru en 1972, dans une édition intitulée Vol. 4 : Super Deluxe Edition, le 12 février 2021 via BMG. En savoir plus …
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Le groupe BLACK SABBATH sortira un nouveau coffret de son album Paranoid, à l’occasion des 50 ans de ce dernier, le 2 octobre 2020. En savoir plus …
L’orchestre arménien NAREGATSI a récemment repris « She’s Gone » de BLACK SABBATH, présent sur l’album Technical Ecstasy (1976). En savoir plus…
Il y a vingt ans, un Max Cavalera tout juste remis d’une dépression suite à son départ de Sepultura sortait le premier album de son nouveau groupe : Soulfly. Obligé de tout recommencer et de remonter pas à pas la pente, n’ayant rien à perdre, s’offrant toutes les libertés, il s’engouffre corps et âme dans la brèche du metal tribal qu’il avait lui-même ouverte quelques années plus tôt. Vingt ans plus tard, Max Cavalera et Soulfly font plus que jamais partie des incontournables dans le paysage des musiques extrêmes. Le groupe a évolué pour réintégrer le thrash dans son équation et mettre en pratique l’amour du frontman pour la brutalité. Après trois albums où la facette tribale avait presque totalement disparu, le temps est venu pour une forme de synthèse.
Max Cavalera parle de « death tribal » pour qualifier Ritual, nouvel album qui regarde autant l’avenir que le passé, remontant jusqu’aux influences primordiales de Motörhead et des débuts de Sepultura. Surtout, grâce au concours du producteur et fan Josh Wilbur, Soulfly retrouve en partie le sens du groove tribal qui a fait son succès. Ainsi, ci-après, Max Cavalera nous parle de sa démarche. Mais pas uniquement, puisque nous discutons également de rituels, de spiritualité et même de son penchant masochiste !
Quiconque a déjà vu Clutch en concert sait à quel point l’atmosphère devient électrique aux premiers grooves de Jean-Paul Gaster ou dès que Neil Fallon éructe de sa voix chaude. Clutch est avant toute chose un groupe de live, et c’est en toute logique que le quatuor cherche à retrouver ce son, cette folie, dans ses enregistrements studio. Et en la personne du producteur Vance Powell, pourtant davantage habitué aux artistes country et blues, il semblerait que le combo du Maryland ai trouvé une âme sœur. Le résultat de la collaboration est l’album Book Of Bad Decisions – titre autant humoristique que philosophique – où le groupe se présente dans son jus le plus pur, à l’ancienne, jusque dans le matériel utilisé, nous permettant tantôt de nous délecter d’un jam, d’un funk endiablé à coups de cuivres ou encore du sens de la poésie très personnelle de Neil Fallon.
C’est justement avec ce dernier que nous nous sommes longuement entretenus afin d’en savoir plus sur cet opus et la collaboration avec Vance Powell. Nous revenons également sur le sens de certains textes, nous menant à évoquer autant Donald Trump que la première fois de Neil avec Black Sabbath. Il est également question des débuts jonchés de galères et mauvaises décisions de Clutch, mais ayant façonné le groupe qu’ils sont devenus, indépendant en musique comme en business.
Dee Snider est insatiable. A peine Twisted Sister jetait définitivement l’éponge, qu’on l’a vu embrayer sans temps mort sur sa carrière solo, la comédie musicale Rocktopia et une multitude d’autres projets dans des domaines créatifs divers (radio, cinéma…). Dee Snider est un homme du présent qui agit et ne se repose pas sur ses lauriers. Et quand Jamey Jasta (Hatebreed) lui lance un défi, celui de créer un album de metal contemporain, il n’a pas fallu s’y reprendre à deux fois avant qu’il n’accepte et honore sa parole. For The Love Of Metal est le résultat, un album à la conception collaborative et orchestré par Jasta et son équipe (les frères Bellmore à la basse, batterie et coproduction), démontrant à quel point celui qui fut une des grandes figures des années 80 est loin d’être un des has-been de 2018, et sa voix puissante et mélodique fait toujours office de référence.
Nous avons joint Dee Snider par téléphone pour nous en parler : de l’importance de Jamey Jasta dans le projet jusqu’au décès de sa mère en pleine conception de l’album, en passant par son amour inconditionnel du metal. Snider parle avec humilité, étant bien conscient que tout peut s’écrouler du jour au lendemain, à l’instar de la traumatisante descente aux enfers qu’il a vécu au début des années 90. Car le chanteur n’hésite pas à se confier et se dévoiler, que ce soit en évoquant l’une de ces « stars laides et horribles » qu’il aurait pu devenir si justement il n’avait pas connu l’échec, son rapport à ses parents quand il était enfant, ou encore sa condition physique qui l’empêche désormais de se donner comme il voudrait sur scène. Un homme passionnant, intelligent et extrêmement amical, comme le démontre sa vision des Français qu’il partage avec nous dans un dernier échange impromptu…
Orange Goblin en a gros. A la fois contents d’une situation où ils sont en mesure de faire vivre le groupe sans avoir à trahir leurs principes et céder aux pressions, mais aussi forcément un peu déçus que la tentative de vivre du groupe ces dernières années ait échouée. Surtout un peu frustrés, comme le répète le frontman Ben Ward, de ne pas avoir encore obtenu la reconnaissance qu’ils estiment mériter. Sans même parler d’une exaspération certaine face à l’évolution du monde. Voilà pourquoi avec leur nouvel album The Wolf Bites Back, Orange Goblin montre les crocs !
Un album qui se veut sombre et agressif, mais surtout tâtant différents terrains où le groupe montre un bel éventail de couleurs, avec toujours en ligne de mire son espace de prédilection : la scène. Voilà de quoi nous parle le loquace et passionné Ben Ward, mais pas que, puisque nous discutons également des maîtres parmi les maîtres : Motörhead et Black Sabbath. Deux influences majeures dont Orange Goblin devient le direct héritier depuis leur disparition du paysage, et au sujet desquels il partage quelques anecdotes.
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