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Interview   

Paul Gilbert : la voix de Dio


Cela fait treize ans que Ronnie James Dio nous a quittés mais son œuvre et son génie restent toujours aussi vivants et vibrants. Les « Heaven And Hell », « Stargazer », « Holy Diver » et même « Love Is All » (de Roger Glover) n’ont pas pris une ride. Il y a même quelque chose de réconfortant à écouter du Ronnie James Dio, un artiste qui parle à notre instinct de vie et nous donne de la force, et, à la fois, nous permet de nous évader des tracas quotidiens. C’est d’ailleurs ainsi, par ce qu’évoquait pour lui ces trois lettres – DIO – inscrites sur une casquette, que Paul Gilbert a eu envie de rendre hommage à l’elfe, mais aussi aux trois guitaristes principaux qui ont accompagné et contribué à ses plus grands moments : Tony Iommi, Ritchie Blackmore et Vivian Campbell.

Plus que ça encore, The Dio Album, est une continuation de l’exploration de l’expressivité vocale à la guitare, puisque le guitariste de Mr. Big et Racer X reprend une poignée de classiques de Black Sabbath, Rainbow et Dio… en instrumental. Tout le défi était d’étudier dans les moindres détails les lignes de chant de Ronnie et de les reproduire le plus fidèlement à la six-cordes. Paul nous raconte ainsi, dans l’entretien qui suit, son rapport à l’œuvre de Ronnie James Dio, son regard de professeur de guitare et son propre apprentissage.

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Interview   

Deep Purple : explorateur du rock


Ce qu’il y a de bien avec les musiciens de rock ayant une cinquantaine d’années de carrière, c’est qu’ils ont vécu tant de choses qu’ils peuvent parler des heures sans qu’on s’ennuie une seule seconde. Don Airey, claviériste de Deep Purple, qui a pris la suite de Jon Lord lorsque ce dernier a pris sa retraite du groupe en 2002, électron libre à la carrière bien fournie, ayant travaillé avec Black Sabbath, Rainbow, Gary Moore, Ozzy Osbourne (pour qui il a créé la mythique intro de « Mr. Crowley » il y a tout juste quarante ans), Michael Schenker, etc., en est un exemple.

Don Airey a si souvent croisé le chemin de membres de Deep Purple qu’avec le recul, sa présence depuis près de vingt ans dans le groupe semble aujourd’hui être une évidence. Et s’il a fallu qu’il s’adapte au début à une marque de fabrique parmi les plus reconnaissables du rock, il a su se faire sa place et apporter sa personnalité, comme en atteste le nouvel album Whoosh! particulièrement marqué par sa créativité. Un album presque inespéré, d’ailleurs, tant on avait cru qu’Infinite serait un adieu…

C’est donc d’abord pour parler de cette vingt et unième œuvre studio, et troisième en collaboration avec le formidable producteur Bob Ezrin, que nous avons eu Don Airey au téléphone, et ensuite pour l’écouter religieusement partager avec nous ses nombreuses anecdotes, son regard sur les collaborateurs et expériences qu’il a connus et ses éclairages sur le métier de musicien professionnel.

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Interview   

Ronnie Romero à l’école du classic rock


Ça ne fait que six ans qu’on entend parler de Ronnie Romero, depuis qu’il a sorti le premier album de Lords Of Black, groupe qu’il a fondé avec le guitariste Tony Hernando, et pourtant l’expérience acquise durant ces six années a de quoi impressionner. Appelé par Ritchie Blackmore en 2015 pour remettre le légendaire Rainbow sur les planches, il a ensuite collaboré avec Leo Leoni de Gotthard dans le projet CoreLeoni, a été appelé en renfort par Michael Schenker pour son Michael Schenker Fest et c’est naturellement vers lui que l’ex-Whitesnake Adrian Vandenberg s’est tourné pour remettre sur pied le groupe Vandanberg. Mais il suffit de l’entendre chanter seulement quelques secondes pour comprendre pourquoi tous se l’arrachent : Ronnie Romero est de la trempe des Ronnie James Dio, David Corverdale ou Steve Lee.

Nous avons profité de la sortie de 2020, le nouvel album de Vandenberg, pour comprendre le « phénomène » Ronnie Romero et revenir sur sa courte mais déjà prolifique carrière, qu’il gère à sa façon et qui a explosé depuis qu’il a quitté le Chili pour s’installer en Europe. Il évoque avec nous ses influences, sa relation aux guitaristes emblématiques qu’il a côtoyés et ce que toutes ces expériences ont déjà pu lui apporter.

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Interview   

Joe Stump : lumière sur le Shredlord


Tout juste avons-nous raccroché avec Graham Bonnet que nous enchaînons directement avec Joe Stump, qui tuait le temps sur sa guitare en attendant notre appel… Comme toujours ! Cet amoureux de la six-cordes a toujours à portée de main ou entre les mains une de ses Stratocaster (ou ESP imitation) et c’est d’ailleurs comme ça qu’il est parvenu à devenir l’un des shreddeurs les plus talentueux de sa génération. C’est aussi le meilleur conseil que cet enseignant au prestigieux Berklee College Of Music puisse donner à ses élèves : jouer, jouer et encore jouer. Et peut-être regarder une ou deux vidéos de Ritchie Blackmore, Yngwie Malmsteen ou Michael Schenker… Car c’est bien en marchant dans les pas de ces derniers qu’il s’est construit son style metal néoclassique, agrémenté de nervosité blues. Pas étonnant qu’on le retrouve aujourd’hui aux côtés de Graham Bonnet, justement, pour ressusciter Alcatrazz.

C’est donc pour nous parler de sa rencontre avec les historiques d’Alcatrazz, de son rapport au groupe – et à ses anciens guitaristes – et du nouvel album Born Innocent que nous l’avons joint, mais aussi et surtout pour faire plus ample connaissance avec celui qui se fait appeler le Shredlord. Entre influences européennes versus américaines et art du shred, voici un tour d’horizon de qui est Joe Stump.

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Interview   

Adrian dépoussière Vandenberg


Il y a presque quelque chose d’irréel dans le fait de revoir l’iconique logo Vandenberg apposé sur un nouvel album studio en 2020. Il faut dire que la dernière fois où c’est arrivé, c’était en 1983, sur l’album Heading For A Storm – le troisième album, Alibi, qui sonnait le glas du groupe, l’avait déjà abandonné. Mais revoir ce logo en gros, stylisé en metal brillant mais légèrement usé, c’est forcément un signal fort, le gage de retrouver un Vandenberg à la fois marqué par les années d’expérience et respectueux de ses racines.

Il faut dire qu’Adrian Vandenberg ne voulait pas faire les choses à moitié. Certes, le groupe n’a plus rien à voir avec celui qui comprenait en son sein le chanteur Bert Heerink, mais le guitariste, comme il a pu le prouver tout au long de sa carrière, sait s’entourer. C’est du côté du Chilien Ronnie Romero qu’il s’est notamment tourné. Un chanteur élevé à l’école des Ronnie James Dio ou David Coverdale, prisé par les grands guitaristes de rock comme Ritchie Blackmore qui l’a embarqué pour sa reformation de Rainbow, une voix idéale pour donner corps à la vision plus intense et hard qu’Adrian avait pour Vandenberg en 2020.

Dans l’entretien qui suit, le guitariste nous narre en détail les tenants et aboutissants de ce retour près de trente-cinq ans après la fin du Vandenberg originel, justifiant la direction musicale entreprise, donnant les clés pour comprendre qui est Adrian Vandenberg en 2020 et faisant quelques détours sur son passé et celui de son groupe emblématique.

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La révélation selon Michael Schenker


Ex-Scorpions. Ex-UFO. Ex-M.S.G. La liste des projets prestigieux auxquels Michael Schenker a participé (et aurait pu participer) est longue, et il l’assume pleinement, tant dans ses propos que dans son apparence. Les badges cousus sur sa veste et qui le proclament fièrement « ex » ne sont pas là uniquement pour rafraîchir la mémoire de ceux qui auraient oublié son glorieux CV – ils rappellent également à l’artiste lui-même que cette période de sa vie est révolue et que seul compte désormais l’avenir.

Car s’il y a bien un écusson que Michael Schenker ne pourra jamais ajouter à sa veste, c’est celui d’ex-légende. Indissociable de l’histoire du hard rock, le guitariste continue d’y contribuer cinquante ans après ses débuts de « wunderkind », dans le cadre d’un Michael Schenker Fest qui semble lui avoir donné une nouvelle jeunesse. Enthousiaste, volubile et perpétuellement souriant, l’ex-presque-tout nous a accordé une longue interview dans laquelle il revient sur sa carrière, ses errements et la vraie « révélation » que constitue son nouveau projet.

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Interview   

Craig Goldy : gardien du temple de Dio


A bien des égards, le guitariste Craig Goldy semble avoir pris à bras-le-corps la tâche de gardien du temple de Ronnie James Dio, son ami, père spirituel et mentor, depuis que celui-ci nous a quittés le 16 mai 2010 ; celui qui lui a apporté du réconfort durant une enfance difficile, puis une carrière et des leçons de musique et de vie inestimables. Goldy s’attelle à sa tâche de mettre en pratique ce que le maître lui a appris, que ce soit au sein de Dio Disciples ou Dream Child, encaissant parfois les coups avec philosophie et diplomatie, parce que « les gens qui nous détestent pour l’hologramme et ce que nous faisons, ça vient aussi de leur amour pour Ronnie ».

Mais au-delà de faire vivre les manières de Ronnie James Dio, son rapport aux fans, sa manière de composer et son éthique de travail, la mission de Dream Child, nouveau groupe composé de trois ex-membres de Dio, c’est surtout de « re-capturer une vieille époque qu’on pensait perdue à jamais », en cherchant à faire revivre le génie de Rainbow et autre Deep Purple, deux groupes de sa principale influence en matière de guitare : Ritchie Blackmore.

Voilà ce qu’explique Craig Golgy dans l’entretien d’une heure et demie qui a été retranscrit ci-après, partageant avec nous de nombreux moments de vie dans sa carrière, y compris, évidemment, aux côtés de Ronnie James Dio.

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Interview   

Deep Purple : l’infini et au delà


Avant d’interviewer un groupe de la stature de Deep Purple on peut s’imaginer tout un tas de choses à leur sujet, et notamment avoir une forme d’appréhension face à, compte tenu de leur place dans l’histoire du rock, ce que l’on peut considérer comme des superstars. Mais en réalité, pas de diva aux exigences extravagantes, pas d’égo surdimensionné. Face au dictaphone se tiennent des hommes simples, humbles, réfléchis, mûrs, pleins d’humour. Ce serait donc ça, le secret de leur longévité : la simplicité. Eux-mêmes ne se considèrent pas comme des stars, et sont visiblement heureux d’échapper à ce statut !

Conscients de la force que leur confère leur expérience, sans pour autant pêcher par excès de confiance, le combo s’apprête à sortir un vingtième album studio, Infinite, qui a fait couler beaucoup d’encre quant au possible sens caché de ce titre et à l’avenir du groupe. Roger Glover et Ian Paice, qui forment la célèbre section rythmique du combo, eux, s’en tiennent aux précautions d’usage, le conditionnel et le « peut-être » sont de mise quand on évoque avec eux le futur de Deep Purple, et surtout il font bien comprendre que la passion brûle plus fort que jamais.

Mais pour l’heure, cet Infinite vient avec un vent de fraîcheur sur la musique du quintette, et ça ne vient pas uniquement de la glace sur la pochette de l’album. Les deux britanniques nous expliquent dans cet entretien combien le producteur Bob Ezrin leur a, à nouveau, insufflé confiance et audace pour ce nouvel opus.

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News Express   

RITCHIE BLACKMORE’S RAINBOW dévoile la vidéo live de la chanson « Spotlight Kid »


RITCHIE BLACKMORE’S RAINBOW sortira son nouvel album live, intitulé Memories In Rock – Live In Germany, le 18 novembre. Voir les détails…



News Express   

Ritchie Blackmore pourrait faire plus de concerts rock dans le futur


Dans le cadre d’une nouvelle interview accordée à Rich Davenport, le guitariste Ritchie Blackmore affirme que ses prochains concerts de rock prévus en 2016, où il interprétera les chansons de RAINBOW et DEEP PURPLE, pourraient en annoncer d’autres dans le futur. « Si ça marche nous ferons évidemment plus de dates dans le futur » révèle le musicien.

Pour l’instant trois concerts ont été officialisés : le 17 juin au Monsters Of Rock de Loreley (Allemagne), le lendemain à Bietigheim-Bissingen et le 25 juin à la Genting Arena de Birmingham (Angleterre).



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