Décidément, à l’approche de ses soixante ans, Yngwie Malmsteen est en pleine forme. Il n’a pas perdu son bagou, ni de son énergie. En témoignent d’ailleurs son vingt-deuxième album Parabellum et son déluge de notes dans la plus pure tradition néoclassique qui a fait la réputation du guitariste virtuose. Un album conçu en pleine période de pandémie : pas de quoi l’arrêter. Tout le contraire même, puisqu’il a tiré profit du temps que l’impossibilité de tourner lui a offert pour peaufiner son œuvre. Mais attention, pas question de compromettre sa spontanéité, principe fondamental de sa créativité. De même, fidèle à son approche depuis Spellbound (2012), il s’est chargé de tout lui-même – guitare, basse, voix… -, tout juste assisté d’un ingénieur (son bassiste live Emilio Martinez) pour exécuter ses ordres, car comme il l’explique, il sait précisément ce qu’il veut, où il va, et souhaite ne pas altérer la pureté de son inspiration.
C’est en substance ce qu’Yngwie nous explique dans l’entretien qui suit, répondant aux critiques, notamment sur son choix de chanter lui-même, et faisant des parallèles avec des grands maîtres de la musique et de la peinture pour exposer sa philosophie artistique. Il revient également sur ses premiers pas en tant que guitariste et remet les pendules à l’heure concernant Alcatrazz.
ECLIPSE : les détails du nouvel album Megalomanium ; clip vidéo de la chanson « The Hardest Part Is Losing You » dévoilé
Def Leppard – Drastic Symphonies
CAVALERA dévoile la lyric vidéo de la nouvelle version de la chanson « Morbid Visions »
Ghost – Phantomime
Immortal – War Against All
Ghost reste impérial
KORITNI dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « No Strings Attached »
Metallica @ Stade de France, Saint-Denis, France – 17/05/2023
Le Muscadeath dévoile la programmation de son édition 2023
PARADISE LOST va proposer une version réenregistrée de son album Icon