Le guitariste Wes Borland (LIMP BIZKIT) sortira prochainement son nouvel album solo, intitulé Astral Hand. En savoir plus…
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Le guitariste Wes Borland (LIMP BIZKIT) sortira prochainement son nouvel album solo, intitulé Astral Hand. En savoir plus…
Le guitariste Wes Borland (LIMP BIZKIT) sortira le nouvel album de son projet BIG DUMB FACE le 1er novembre prochain. En savoir plus…
Le guitariste Wes Borland (LIMP BIZKIT) indique sur Instagram qu’il va sortir un nouvel album de son projet BIG DUMB FACE le 1er novembre prochain. Il succédera à l’album Duke Lion Fights The Terror sorti en 2001.
Wes Borland, le guitariste de LIMP BIZKIT, a répondu aux questions de Stereogum. Dans cet entretien le musicien explique notamment son rapport au metal et sa vision de LIMP BIZKIT dans les années 90. Lire sa déclaration.
Black Light Burns is Wes Borland’s breath of fresh air, away from all the equivocation, conflicts and torments caused by Limp Bizkit’s heavy exposure. It’s an opportunity to be an artist in his own right, and to practice the many arts he masters, from singing to artwork, costume and stage-setting-making, and from keyboards to, obviously, guitar.
Borland’s playing is experimental and unconventional; it has allowed Limp Bizkit to enjoy killer riffs, aerial ambiences and psychedelic textures. Black Light Burns is a different deal entirely: The Moment You Realize You’re Going To Fall, released at the end of last year, is an industrial record that sees Wes Borland experimenting in a Nine Inch Nails-ish universe served with a punk dressing.
Wes Borland was in Paris on the occasion of the band’s European tour for this album. It was a good opportunity to talk to him about the record, rather different from Black Light Burns’ first effort, about his artistic vision as a whole, but also about Limp Bizkit’s eagerly anticipated new album and his relations with three of the main people behind this release no one believed in anymore: producer Ross Robinson, long-time-no-see DJ Lethal, and of course he who generally causes scandal, Fred Durst.
Black Light Burns est la bouffée d’air frais de Wes Borland, loin des tergiversations, conflits et autres tourments dus à la forte médiatisation de Limp Bizkit. C’est finalement son opportunité d’être un artiste à part entière et de s’exercer à la pléiade d’arts qu’il maîtrise, du chant à la création d’artworks et de costumes ou peintures de scène, en passant par le clavier, et évidemment ses pérégrinations guitaristiques.
Le style de jeu de Borland est expérimental et non-conventionnel ; il a permis à Limp Bizkit de bénéficier à la fois de riffs destructeurs, d’ambiances aériennes et de textures psychédéliques. La donne est différente dans Black Light Burns : The Moment You Realize You’re Going To Fall, sorti à la fin de l’année dernière est un brûlot industriel où Wes Borland expérimente dans un univers proche de Nine Inch Nails revisité à la sauce Punk.
Wes Borland passait par Paris à l’occasion de la tournée européenne du groupe pour défendre cet opus. Il était donc temps de parler avec lui de cet album plutôt différent du premier opus de Black Light Burns, de sa vision d’artiste en général, mais également du très attendu nouvel album de Limp Bizkit et de ses relations avec trois des acteurs principaux d’un opus auquel on ne croyait plus : le producteur Ross Robinson, le revenant DJ Lethal et bien sûr celui par qui le scandale arrive généralement, Fred Durst.
Vous savez, à Radio Metal, il y a UN sujet de discorde. Ce ne sont pas les poubelles qui traînent, ni même le lavabo en permanence rempli de vaisselle sale. Ce n’est pas non plus le tupperware tapissé de moisissure verdâtre et dans lequel Metal’O Phil, notre Darwin en herbe, espère bien refaire le cycle de la vie et voir une nouvelle forme d’intelligence s’y développer. Ce pourrait être les débats pour savoir « qui sera l’heureux pervers qui aura le droit d’ouvrir à la voisine lorsqu’elle viendra chercher le colis que le facteur a déposé », mais non.
Ici on se met sur la gueule pour une raison : Limp Bizkit. Rien que pour cette propension à pousser les gens les uns contre les autres, ce groupe devrait faire l’objet d’un suivi par la DGSE. Car, si un jour Radio Metal venait à disparaître, probablement que Fred Durst et sa bande en seraient la cause.
Certains ne voient en ce groupe qu’un néant intersidéral, si ce n’est la baffe compulsive et irréfléchie qui les démange en apercevant son frontman, et puis d’autres… D’autres y voient un peu plus, voire une certaine forme primaire de talent. Un talent – non je ne le répéterai pas une troisième fois – que ceux-ci estiment même digne d’être défendu.
J’avoue être perplexe devant la passion de certains membres de notre équipe vis-à-vis du groupe floridien, devant leur acharnement pour me faire céder, en tant que responsable des programmes de cette radio, dans mon simili-boycott. J’avoue m’être dit « et si c’était moi qui déconnait ? Et si je ne voyais/entendais pas ce que les autres voient/entendent ? » Car même si je crois fermement en ce que je ressens – autant le dégoût que l’extase – je n’en accorde pas moins le bénéfice du doute à ceux qui ne ressentent pas comme moi, mais qui ressentent tout de même quelque chose de fort.
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