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Interview   

White Stones ou la danse des genres


Cela fait vingt-quatre ans que Martin Mendez officie au sein d’Opeth, devenant ainsi le deuxième membre le plus ancien du groupe. S’il est plutôt discret et n’a jamais composé pour le groupe, il brille par ses lignes de basse chaleureuses et parfois jazzy qui s’accommodent parfaitement avec l’écriture de Mikael Åkerfeldt. 2020 a été un jalon important pour le bassiste uruguayen : il a profité du projet White Stones fraîchement formé et d’un premier album Kuarahy pour s’affirmer en tant que compositeur. Renouant avec un death metal sophistiqué aux multiples facettes, il transforme l’essai cette une année avec un second album, Dancing Into Oblivion, qu’il a réalisé dans la foulée en se nourrissant de la pandémie et en étant dans l’impossibilité d’emmener sa formation sur les planches comme prévu.

Nous avons joint Martin Mendez pour qu’il nous parle de White Stones et de ce nouvel album, mais aussi pour en savoir plus sur lui, son histoire et sa vision de la musique, ainsi que sur sa place au sein d’Opeth. On évoque d’ailleurs avec lui deux albums charnières du groupe, qui fêtent respectivement leurs dix et vingt ans : Heritage et Blackwater Park. Le premier parce qu’il a été le point de départ d’une nouvelle ère, et l’influence du bassiste n’y est pas étrangère. Le second parce qu’il s’agit de l’album le plus emblématique du groupe et celui de la professionnalisation de ce dernier.

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