Après un arrêt d’activité de neuf ans et alors que l’on pensait – y compris le leader même du groupe Justin K. Broadrick – que ce serait définitif et qu’il serait impossible pour Godflesh de se reformer, ce n’est pas quelques rouages qu’il a fallu changer, mais bien toute la machine qu’il a fallu remettre en marche.
L’album A World Lit Only By Fire n’est donc pas juste un disque qui prolonge une dynamique de carrière. Il est, après avoir trempé un orteil dans l’eau avec l’EP Decline & Fall, le premier long témoignage d’une alchimie artistique qui était, jusque là, en état de sommeil. Pour ce nouveau départ, Godflesh a du prendre son temps, puisque ce disque sort près de quatre ans plus tard.
Il était donc nécessaire, de faire avec Justin Broadrick la chronique de cette reformation afin de mieux comprendre ce qui avait engendré ce disque : les retrouvailles avec son acolyte GC Green, les premières répétitions, les premiers concerts, la réflexion autour du son de Godflesh, etc.
Pour en savoir plus, découvrez notre interview.
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