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Interview    Tribune   

Loudblast : sublime carrière


Si aujourd’hui Gojira est l’égérie par excellence du metal français, y compris à l’étranger, il est quand même difficile d’ignorer Loudblast et l’apport considérable des Lillois à la scène extrême hexagonale et à son rayonnement dans le monde. Pour la bande à Stéphane Buriez, tout débute en 1985 avec une série de démos et un split EP en compagnie d’Agressor, jusqu’à Sensorial Treatment « le premier album de metal extrême qui sort en France ». En plus de trente ans, Loudblast a enchaîné les brûlots, tels que Disincarnate (1991), Sublime Dementia (1993) ou Burial Ground (2014), a connu moult remous de line-up et a dû s’imposer quelques pauses, mais à ce jour, il est toujours fidèle au poste, plus fort que jamais, comme le démontre Manifesto (2020), son dernier album en date.

C’est d’ailleurs à l’occasion de la sortie de ce dernier que nous avons profité d’avoir Stéphane sous la main pour retracer l’histoire de Loudblast. L’actualité chargée des sorties ayant été ce qu’elle a été, il a fallu finalement attendre un an pour en publier le résultat, mais nous pensons que ça en valait la peine ! Dans cette maxi-rétrospective, « le dernier des Mohicans », comme il aime bien s’appeler, partage avec nous ses souvenirs et anecdotes, revenant sur chaque album et les événements qui les ont entourés, en passant par l’épisode Clearcut.

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Interview   

Loudblast : une renaissance perpétuelle


Loudblast a la foi. Son nouvel album Manifesto est un miracle. Changement de line-up, un genou cassé pour le batteur Hervé Coquerel juste avant les préproductions, un confinement décrété en plein enregistrement suite à la pandémie de Covid-19… Il y avait de quoi en décourager plus d’un, mais pas les nordistes qui ont plus que jamais la niaque. A croire que trente-cinq ans de carrière, ça forge le caractère.

Le résultat, le bien nommé Manifesto, est une synthèse, un condensé de ce que Loudblast a fait de mieux, allant piocher autant dans le death metal iconique de Sublime Dementia (1993) que dans la noirceur Celtic Frostienne de Burial Ground (2014), et bénéficiant de l’expertise du coproducteur HK Krauss du Vamacara Studio grâce à qui le groupe n’aura jamais sonné aussi puissant. En 2014, Stéphane qualifiait le line-up d’alors de renaissance ; force est de constater que six ans plus tard, il est en train d’en vivre une nouvelle.

Nous avons longuement échangé avec Stéphane Buriez et Hervé Coquerel pour qu’ils nous disent tout sur ce nouveau méfait qui fera date dans la carrière de Loudblast, pour sa musique, mais aussi pour son histoire singulière, entre un Kévin Foley appelé en renfort et le chaos d’une pandémie, en passant par quelques secrets de fabrication.

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Interview   

Sinsaenum : faire dégueulasse mais faire bien


Sorti de nulle part, Sinsaenum semble faire partie de cette vague de groupes nous ramenant aux bases du death metal : une musique crue et sans artifice, un exutoire pour déverser sa haine. Et pour sortir une telle musique c’est un plateau de choix que l’on nous remet, car il s’agit aux commandes de Frédéric Leclercq (Dragonforce) qui revient à la guitare, son premier amour (comme nous en parlions déjà la fois précédente), accompagné de Stéphane Buriez (Loudblast), du duo de chanteurs Attila Csihar (Mayhem) et Sean Zatorsky (Dååth), du bassiste Heimoth (Seth), et derrière la batterie : Joey Jordison (ex-Slipknot). Des musiciens qu’on ne présente plus et qui n’ont plus à faire leurs preuves.

Et malgré les emplois du temps de ministre qu’ont chaque membre du groupe, ils ont réussi à trouver le temps depuis 2016 pour sortir deux albums et un EP, et ils s’apprêtent à s’élancer dans leur première tournée sous la bannière Sinsaenum. Nous avons rencontré les deux guitaristes français en amont de la sortie de Repulsion For Humanity, pour discuter (sans langue de bois) de ce deuxième essai, qui voit à la fois la musique du groupe et son travail collaboratif évoluer, de la mise en retrait temporaire d’Attila, des influences du combo et de son avenir.

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Interview   

Les Tambours Du Bronx, metal au propre comme au figuré


Mais évidemment, qu’on l’attendait ce projet. Sans le savoir, peut-être, mais on l’attendait. Voilà plusieurs années maintenant que, à chaque fois que l’on parle des Tambours Du Bronx dans la sphère rock, on évoque leur collaboration avec Sepultura. Et il n’y a pas que le public, le groupe lui même espérait qu’une telle expérience se reproduise. C’est pourquoi, l’embryon même de ce nouveau spectacle Weapons Of Mass Percussion a suffi pour convaincre rapidement une équipe de se former. Il n’est pas anodin que Reuno (Lofofora), au planning pourtant déjà plein à craquer, se soit plié en quatre afin de se rendre disponible : « Quand on te propose un truc comme ça, il faut être le roi des nazes pour refuser, même si je lui ai dit que la raison voudrait que je dise non, parce que j’avais déjà trop de projets en route et que je n’avais pas le temps du tout pour faire ça. Mais je ne pouvais absolument pas dire non ! » nous disait-il récemment. Il en va de même pour Stéphane Buriez (Loudblast) et Franky Costanza (Blazing War Machine), dont on se demandait pour quel projet d’envergure internationale il jetterait son dévolu après sa séparation avec Dagoba.

Car l’idée que les Tambours soient rejoints, le temps d’une tournée, d’un album, voire d’un bout de carrière, par un groupe de metal coulait tellement de source que l’on s’étonnerait même que cela ne se soit pas fait plus tôt. Car les Tambours Du Bronx ne sont pas qu’un groupe de percus, c’est un groupe de metal à part entière, au sens propre comme au figuré.

Entretien avec Dom qui délaisse son bidon pour retrouver sa guitare sur ce spectacle, Stéphane et Franky, qui partagent avec nous leur enthousiasme vis à vis de cette aventure et se confient quant aux challenges personnels et collectifs qu’elle représente.

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Interview   

Sinsaenum : la ligue des black et death metalleux extraordinaires


Joey Jordison é Frédéric Leclercq - SinsaenumL’annonce de l’existence du super groupe Sinsaenum avait pris tout le monde par surprise et avait même un quelque chose d’improbable, de part son line-up constitué de Frédéric Leclercq (Dragonforce) et Stéphane Buriez (Loudblast) aux guitares, Sean Zatorsky (Dååth) et Attila Csihar (Mayhem) aux chants, Joey Jordison (Vimic, ex-Slipknot) à la batterie et Heimoth (Seth) à la basse. Mais qu’on ne s’y trompe pas – et ils insistent bien là-dessus – Sinsaenum n’est pas qu’un simple projet mais bel et bien un groupe qui les réunit dans l’amour du black metal et du death metal. Et lorsque l’on entend Frédéric Leclercq, l’initiateur du projet, et Joey Jordison nous parler du premier album Echoes Of The Tortured, tout tombe sous le sens.

Les deux musiciens semblent, dans l’entretien qui suit, habités par leur projet, Jordison martelant sans cesse que s’il est là pour promouvoir l’album, s’il a fait le déplacement jusqu’à Paris, c’est pour clamer personnellement haut et fort que c’est du sérieux. Nous avons donc abordé avec eux la genèse de ce groupe, leurs choix artistiques – comme le fait d’avoir deux chanteurs ou que l’album soit jonché d’interludes – mais aussi leur passion pour le bon vieux black et death metal comme, d’après eux, on n’en fait plus.

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Interview    Radio Metal   

Veillée funèbre avec Stéphane Buriez (Loudblast)


Mardi 25 mars, nous recevions en direct à l’antenne de Radio Metal un invité de marque en la personne de Stéphane Buriez, le chanteur/guitariste de Loudblast. Groupe pionnier de la scène thrash/death française qui fêtera d’ailleurs ses 30 ans d’existence l’année prochaine, Loudblast s’apprête à sortir Burial Ground chez Listenable Records. Un album particulièrement sombre qui succède à un Frozen Moments Between Life And Death largement salué par la critique et les fans, prévu pour le 28 avril prochain et dont la pochette a été dévoilée il y a quelques jours.

Bien évidemment, Stéphane évoque dans notre entretien ce très attendu septième opus ainsi que de la tournée « Brutale Coalition » effectuée en compagnie de Benighted qui vient juste de se terminer. Figure majeure de la scène metal française, Stéphane Buriez est aussi revenu au micro d’Anarchy X sur ses autres activités. Ingénieur du son, producteur artistique et animateur de l’émission UneDose2Metal sur l’Enôrme TV qui se déroule les jeudis à partir de 21H, cette interview a été l’occasion de faire le point avec Stéphane sur son actualité personnelle.

Réécouter l’interview :

[audio:podcasts/Interview-stephane-buriez-loudblast.mp3|title=Interview Stephane Buriez (Loudblast)]


Interview   

Dans les secrets de la création de Destinity


Destinity a toujours été très régulier et rapide pour ses sorties studio. Depuis le virage thrash/death mélodique amorcé par l’album Synthetic Existence et la signature trois ans plus tard chez le label allemand Lifeforce Records, le groupe monte en puissance en termes de popularité et de notoriété, multiplie les affiches prestigieuses et ne perd pas l’intensité de son rythme entre tournées et disques. Très rapidement, après avoir écrit un disque, le groupe est déjà en train de faire des pré-prod pour la suite. Les membres de Destinity, invités dans les studios le 12 novembre 2012, nous ont longuement parlé du fonctionnement du groupe en termes de composition, de travail et d’écriture, évoquant notamment les vertus des pré-prod, tant pour la prise de décision quant à la musique que le choix de la production.

L’album Resolve In Crimson représente une suite logique aux trois précédents par son sens du dosage entre riffs puissants, rythmiques (très) enlevées, mélodie et orchestrations. Là où le précédent, XI Reasons To See, était particulièrement intense, Destinity revient cette fois avec un opus beaucoup plus tourné vers la mélodie, pour ne pas dire le plus mélodique de sa carrière. A nouveau produit par Jacob Hansen, il propose notamment un featuring avec Stéphane Buriez, que le groupe a longuement côtoyé au cours de sa tournée commune avec Loudblast en 2011. On ne change pas une équipe qui gagne, ce n’est pas le chanteur Mick, grand passionné de football, qui nous contredirait pour cette métaphore sportive.

Le groupe étant lors de cette interview réuni au complet, il a été possible d’explorer la genèse du disque et le fonctionnement interne du groupe avec précision, d’aller au fond des choses lors d’un entretien fleuve et franc avec, sans surprise, son lot de vannes. Nous avons par conséquent choisi de retranscrire pour vous l’interview de la manière la plus fidèle à l’atmosphère de cette conversation.

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Nouvelles Du Front   

Metal XS mérite votre attention


Au sein du milieu metal français, la concurrence n’a pas (plus) lieu d’être. Notamment pour nous tous : les médias. Car le « marché » de la musique (au sens large) est en train de littéralement voler en éclats. Les faits sont ce qu’ils sont mais nous aurons l’occasion, dans les toutes prochaines heures, d’approfondir ce sujet.

En tout cas, de notre point de vue, tous les médias metal français gagneront à fonctionner dans le futur comme le font les médias web américains aujourd’hui. Ces médias américains (Metal Sucks, Metal Insider, Metal Injection etc.) n’hésitant pas à se renvoyer la balle ponctuellement quand l’un d’entre eux sort une information qui mérite un relai. De notre côté, nous tentons d’agir de la sorte régulièrement sur le site ainsi que sur les réseaux sociaux car notre équipe est convaincue que la solidarité entre médias participe au développement du metal. Que ce soit en France comme ailleurs.

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CR De Festival   

Hellfest 2012 : fil rouge de la journée du vendredi 15 juin


Suivez dès maintenant via nos trois plate-formes éditoriales – le site de Radio Metal, notre page Facebook et notre compte Twitter – pour savoir tout du Hellfest 2012 et obtenir nos impressions à brûle-pourpoint. Nous vous conseillons de recharger cette page régulièrement car nos informations sont mises en ligne en temps réel. Par ailleurs, sachez que les live reports de ce fil rouge seront enrichis quelques jours après le festival et nous vous proposerons également, a posteriori de l’événement, des galeries photos entièrement consacrées aux prestations des artistes.

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Interview   

L’avenir d’AqMe


« AQME EST BIEN VIVANT ! » était la conclusion du communiqué publié par AqMe à la suite du départ, aussi inattendu pour les fans que pour le groupe lui-même, du chanteur Thomas. Un départ qui s’est fait sans animosité de la part des deux parties, juste après l’enregistrement du nouvel album du groupe Épithète, Dominion, Épitaphe sorti le 10 avril. Les fans n’entendront donc pas Thomas interpréter ces nouveaux titres en live. Bien que sa passion pour le tatouage l’emporte pour le moment sur la musique, Thomas insiste : « Je suis extrêmement fier de notre nouvel album ‘Épithète, Dominion, Épitaphe’ dans lequel j’ai tout donné, aussi bien d’un point de vue créatif que physique. Je sais, sans aucune hésitation, que c’est ce que nous avons fait de mieux ensemble ».

Mais, avec des majuscules et des points d’exclamation, AqME tape du poing et crie son enthousiasme sur les toits. S’il partage avec Thomas l’enthousiasme à propos de ce nouveau disque, le groupe ressent néanmoins de la rancune à son égard. Etienne, batteur du groupe et Vincent, le nouveau chanteur, étaient invités de l’émission Anarchy X du 10 avril pour un entretien complet, franc et décontracté. La notion d’humanité et de créativité (par opposition à l’aseptisation et la course à la perfection à laquelle on assiste depuis quelques années) était notamment au centre de cette interview.

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    Metallica @ Saint-Denis
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