Armored Saint n’a qu’une mission : faire de la bonne musique. Trivial, vous dites ? Peut-être pas tant que ça, à en croire l’expérience de Joey Vera, son bassiste et principal compositeur, qui se souvient des pressions directes et indirectes qui, d’une manière ou d’une autre, ont pu influer sur le groupe. Mais tout ceci est révolu depuis au moins dix ans : Armored Saint est un groupe libre, qui n’a de comptes à rendre à personne ; il ne veut même pas se sentir obligé de faire de la musique. La musique est une affaire d’expression sincère, presque impulsive tant elle a tendance, pour lui, à s’écrire toute seule par effet boule de neige.
C’est ce que nous raconte Joey Vera dans l’entretien qui suit à l’occasion de la sortie du nouvel album Punching The Sky, avec lequel il s’est lancé le défi de réduire les longueurs sans perdre en éloquence. Il nous invite parfois à rentrer dans ses mécanismes de composition, jamais les mêmes, aboutissant à une variété de chansons ayant toutes, peu importe la forme, pour objectif de sonner épique et de mettre en valeur la voix de son acolyte John Bush.
Le bassiste, qu’on retrouve en sus sur le nouvel album de Fates Warning (avec un beau solo jazzy en prime !) et qui a été appelé en renfort pour la reformation de Mercyful Fate (sans avoir encore eu l’occasion de jouer avec le groupe à cause de la crise sanitaire), revient également sur deux albums qui fêtent respectivement leurs vingt et dix ans, Revelation et La Raza, et sur la notion toute relative du succès.
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