Après bientôt trente ans de carrière, Moonspell commence déjà doucement à songer à la fin. Pas qu’elle soit nécessairement pour tout de suite, ni pour presser les gens à acheter leur nouvel album qui, avec un peu de chance, malgré les circonstances difficiles actuelles, ne sera pas leur dernier. Non, ils y songent juste pour se préparer au moment où il faudra se retirer du tumulte de cette vie publique. Ce qui nous amène à Hermitage, un album qui questionne notre monde moderne hyper connecté mais dans lequel, paradoxalement, on est de plus en plus seuls – par la force des choses ou par égocentrisme – et à la fois loue les vertus de l’ermitage comme moyen de rupture avec ce monde et de prise de recul.
Un album également qui prend le contrepied de l’imposant 1755, en délivrant une musique globalement plus posée, langoureuse voire atmosphérique, en partie inspirée de Pink Floyd et du space rock. Une fois encore Moonspell surprend et s’attend à susciter l’incompréhension de certains fans. Il en a l’habitude, c’est même pour eux la preuve qu’ils ont fait leur boulot. Afin de mieux comprendre la démarche artistique dans laquelle se sont engagés les Portugais et leur réflexion sur la thématique de la solitude, qui prend évidemment un sens exacerbé à l’heure du Covid-19, nous avons échangé avec le chanteur-parolier Fernando Ribeiro, qui aborde toujours les sujets en profondeur et apporte des réponses détaillées.
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