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Hell ain't a bad place to be    Tribune   

Dropkick Murphys : Boston ain’t a bad place to be


Bienvenue à bord d’Hell Ain’t A Bad Place To Be, la rubrique qui vous fait voyager aux quatre coins du globe pour découvrir le lieu fétiche d’un artiste de la scène. Au programme, pour inaugurer la rubrique, Ken Casey, bassiste, chanteur et fondateur de Dropkick Murphys, nous embarque à Boston, dans l’Etat américain du Massachusetts. Sa ville de naissance et de cœur sent fort le punk rock, l’Irlande, le baseball… Mais pas que.

Note : Article paru initialement dans le numéro 12 (novembre / décembre / janvier) du magazine Radio Metal. Celui-ci est toujours disponible en commande dans notre shop.

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Interview   

Dropkick Murphys : l’esprit du passé


Il faut parfois un genre d’accident pour que des artistes prennent le temps de faire un pas de côté dans leur carrière, pour se donner le droit de tenter autre chose, parce qu’après tout, on n’a qu’une vie, et qu’une discographie en forme de long fleuve tranquille, c’est un peu ennuyeux.

Pour les Dropkick Murphys, l’accident, c’est Al Barr, chanteur du groupe, qui s’est provisoirement mis en retrait pour s’occuper de sa mère souffrante. Ses comparses en ont profité pour faire un disque différent, qui leur trottait dans la tête depuis fort, fort longtemps. A l’intérieur, on trouve les textes de Woody Guthrie, un chanteur contestataire des années 1940-1950, sur de la musique originale en format acoustique. Les gars de Boston se sont lancés à fond dans le projet, avec pour obsession de rendre hommage à ce punk avant l’heure sans renier leur approche musicale. A l’occasion d’une visio entre deux dates de tournée, emmitouflé dans un épais manteau et coiffé d’un chapeau de trappeur molletonné, Ken Casey, chanteur du groupe et préposé aux interviews, nous invite dans l’univers de cet album hors norme.

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Interview   

Dropkick Murphys : vacciné au punk


Et de dix albums ! Un nombre tout à fait respectable pour le groupe de punk celtique qui a acquis en plusieurs décennies de carrière une stature internationale. Cependant, les kids de Boston n’ont pas renié leurs origines et restent fidèles à leur bonne ville du Massachussetts. Figure de proue et l’un des membres fondateurs du groupe, Ken Casey est l’incarnation parfaite de la philosophie du groupe, engagé dans sa communauté à travers plusieurs œuvres de charité notamment. Il est aussi très différent de l’image et des thèmes que renvoient les chansons de Dropkick Murphys. Si ces dernières peuvent glorifier d’une certaine façon les cuites au bar entre potes ou les bonnes bastons sur fond de sport, Ken Casey est rangé des voitures, sobre et clean depuis des années. Mais l’esprit de camaraderie est plus fort que ça, et voilà pourquoi le groupe sort Turn Up That Dial.

Turn Up That Dial est dans le plus pur esprit des DKM : celtique (what else ?), rock, entraînant et parfois légèrement subversif, même si la politique n’est pas le cheval de bataille du groupe. Non, dans cet album, il s’agit de jouer collectif, de rester soudés et de s’enjailler en attendant des jours meilleurs. À la faveur d’une sympathique session Zoom, Ken Casey nous parle de ce nouvel album, du changement de line-up consécutif à son accident il y a deux ans et de la façon dont le groupe traverse à sa manière la pandémie.

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