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Interview   

Hangman’s Chair trace sa route


Depuis la sortie de A Loner, leur sixième album, il y a environ un an (interview avec Mehdi Thepegnier toujours dispo ici), les membres de Hangman’s Chair n’ont pas chômé : c’est sur la route qu’ils sont allés défendre cet hymne à la solitude, que ce soit en tant que tête d’affiche, sur les scènes de grands festivals européens, ou en première partie des Anglais de Paradise Lost. Et le quatuor ne compte pas s’arrêter en si bon chemin : il va reprendre la route dès ce mois de mars en compagnie d’Igorrr, Amenra et Der Weg Einer Freiheit. De quoi faire découvrir son doom mélancolique teinté de cold wave au-delà des frontières de la France, où en près de vingt ans de carrière, Hangman’s Chair a eu le temps de faire ses preuves.

À l’occasion de cette nouvelle tournée, le groupe propose un petit documentaire qui revient sur sa genèse et celle de son dernier album. Un portrait aux allures d’introduction réalisé par Kendy Ty, à qui l’on doit le clip de « Loner », l’un des extraits du dernier album, qui retrace le chemin qui a mené les musiciens de la grisaille et de l’ennui de la banlieue parisienne aux scènes de toute l’Europe. Nous en avons profité pour faire le point avec Julien Chanut, le guitariste du groupe, qui revient sur le parcours de Hangman’s Chair, et sur et les joies et les déboires de la vie sur la route…

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Interview   

Hangman’s Chair : de l’autre côté du périph


Hangman’s Chair n’y va jamais par quatre chemins : si le titre de leur album précédent, This Is Not Supposed To Be Positive, en disait long sur leur vision du monde sombre et pessimiste, celui de leur dernier opus, Banlieue Triste, a lui aussi valeur de manifeste, et annonce d’entrée de jeu les kilomètres de goudron suintant de mélancolie d’où il émerge. Les Parisiens – faut-il préciser les banlieusards ? – ont au fil des années peaufiné un style et une esthétique uniques. Tenant autant du sludge que du grunge, empruntant volontiers ses atmosphères glacées à la cold wave, leur musique est le son des bas-fonds, des tours vétustes et des cités-dortoir minées d’angoisse et d’ennui. « C’est notre vie », nous a expliqué Julien Chanut, guitariste du groupe : Hangman’s Chair revendique sa transparence tout comme son idiosyncrasie.

En effet, lors d’une discussion qui aborde autant l’évolution du groupe que ses racines, Julien évoque la genèse de Banlieue Triste et le vécu qui s’y est retrouvé cristallisé. Une fois de plus, ce n’est pas censé être positif…

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Hangman’s Chair : le spleen de Paris


Hangman's Chair

Les Parisiens de Hangman’s Chair semblent être résolument dans une phase ascendante : après un dernier album très remarqué fin 2015, This Is Not Supposed To Be Positive, le groupe a enchaîné les lives et on le retrouve à l’affiche de nombreux festivals prestigieux, allant du Hellfest au Desertfest (édition belge) en passant par le Roadburn aux Pays-Bas. Venant du milieu hardcore – le combo s’est formé sur les cendres d’Es La Gerilla et partage des membres avec, entre autres, L’Esprit Du Clan et Arkangel –, le quartet est parvenu à imposer sa rugosité et sa mélancolie très urbaines dans la scène doom/sludge grâce à un son lent tout en clair-obscur qui emprunte autant à Saint Vitus ou Type O Negative qu’à Acid Bath ou Alice In Chains.

C’est au Roadburn justement, Mecque européenne du doom, que nous avons eu l’occasion de discuter avec Julien (guitare), Medhi (batterie) et Clément (basse), peu après leur set dans un Extase plein à craquer. L’occasion pour nous de faire le point sur le dernier album en date, mais aussi plus généralement sur leur carrière, passée et à venir ; sur leurs inspirations et collaborations musicales, esthétiques et amicales ; bref, de les laisser mettre à jour un univers unique, sombre et éminemment parisien.

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    Metallica @ Saint-Denis
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