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Interview   

Adrian dépoussière Vandenberg


Il y a presque quelque chose d’irréel dans le fait de revoir l’iconique logo Vandenberg apposé sur un nouvel album studio en 2020. Il faut dire que la dernière fois où c’est arrivé, c’était en 1983, sur l’album Heading For A Storm – le troisième album, Alibi, qui sonnait le glas du groupe, l’avait déjà abandonné. Mais revoir ce logo en gros, stylisé en metal brillant mais légèrement usé, c’est forcément un signal fort, le gage de retrouver un Vandenberg à la fois marqué par les années d’expérience et respectueux de ses racines.

Il faut dire qu’Adrian Vandenberg ne voulait pas faire les choses à moitié. Certes, le groupe n’a plus rien à voir avec celui qui comprenait en son sein le chanteur Bert Heerink, mais le guitariste, comme il a pu le prouver tout au long de sa carrière, sait s’entourer. C’est du côté du Chilien Ronnie Romero qu’il s’est notamment tourné. Un chanteur élevé à l’école des Ronnie James Dio ou David Coverdale, prisé par les grands guitaristes de rock comme Ritchie Blackmore qui l’a embarqué pour sa reformation de Rainbow, une voix idéale pour donner corps à la vision plus intense et hard qu’Adrian avait pour Vandenberg en 2020.

Dans l’entretien qui suit, le guitariste nous narre en détail les tenants et aboutissants de ce retour près de trente-cinq ans après la fin du Vandenberg originel, justifiant la direction musicale entreprise, donnant les clés pour comprendre qui est Adrian Vandenberg en 2020 et faisant quelques détours sur son passé et celui de son groupe emblématique.

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Interview    Titre À Titre   

David Coverdale présente Flesh & Blood


A plus de quarante ans, le grand serpent blanc n’a pas dit son dernier mot. Soutenu par une fine équipe – Reb Beach et Joel Hoekstra aux guitares, Michael Devin à la basse, Michele Luppi aux claviers et le vétéran Tommy Aldridge à la batterie –, David Coverdale tient la forme et nous revient aujourd’hui en chair et en os – ou plutôt en chair et en sang – avec Flesh & Blood. Un treizième album hard, bluesy, soul, et même parfois folk ou épique. Le cœur souvent romantique, quelques fois élégamment lubrique. Mais le rock toujours dans la peau.

On vous en a parlé avec la chronique de l’album, on l’a questionné lors d’un entretien. Désormais David Coverdale vous propose son titre à titre de chaque chanson, avec au programme commentaires, détails de conception, anecdotes, etc. De quoi en savoir plus et mettre en perspective les chansons pendant qu’elles vous font vibrer les tympans…

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Interview   

Whitesnake : plaisir et vitalité


David Coverdale, prendre sa retraite ? Certainement pas ! Et s’il a pu avancer l’idée il y a quatre ans, on ne l’y reprendra plus. Même si sa santé a fait des siennes ces dernières années, avec une arthrose dégénérative lui ayant valu une opération des deux genoux, le frontman nous revient en pleine forme avec un douzième album de compositions originales sous la bannière Whitesnake, intitulé Flesh & Blood, et il est prêt à repartir sur les routes. A l’écoute du seul single « Shut Up & Kiss Me », délicieusement eighties, festif, sexy, et à la vue du clip où il ressort sa vieille veste bleue et la mythique Jaguar, on le croirait presque avoir retrouvé sa jeunesse.

Certes, le guitariste Doug Aldrich, qui avait relancé le Serpent Blanc de la plus belle des façons dans les années 2000, n’est plus de la partie, mais s’arrêter là serait oublier que toute la carrière de Whitesnake a été marquée par un défilé de guitaristes tous plus talentueux les uns que les autres. Avec Joel Hoekstra, qui a déjà fait ses armes sur The Purple Album, et le désormais vétéran Reb Beach qui prend le lead, nul doute que Whitesnake est entre de bonnes mains. Nous en parlons ci-après avec David Coverdale.

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News Express   

David Coverdale envisage d’arrêter WHITESNAKE en 2017


David Coverdale envisage d’arrêter WHITESNAKE en 2017, année qui fêtera les 30 ans de la sortie de l’album 1987 de son groupe. En savoir plus…



Interview   

The Night Flight Orchestra : voyage à travers le classic rock


The Night Flight Orchestra - David & BjornLa mode aujourd’hui dans le rock est clairement au rétro, avec pléthore de groupes proposant leur propre tentative de retour à l’esprit des « seventies » voire des « eighties », avec plus ou moins de succès. Mais The Night Flight Orchestra, lui aussi un groupe au son rétro totalement assumé, a ce on ne sait quoi qui les démarque nettement de la masse et donne l’impression qu’ils évoluent en marge de cette mode. Et l’entretien qui suit donne des éléments de réponse à ce ressenti : tout d’abord l’expérience des musiciens qui leur permet à la fois une maîtrise intuitive de leur musique et d’adopter le panel complet du classic rock, pour une musique qui varie les plaisirs avec un naturel déconcertant. Mais surtout, The Night Flight Orchestra évite élégamment de tomber autant dans le pastiche des années 70 que dans l’ironie envers les années 80. Leur musique se veut authentique, passionnée et pleine de joie de vivre. Tout ceci étant mis en avant dans leur nouvel et second opus Skyline Whispers que nous ne cesserons de vous recommander.

Nous nous sommes longuement entretenus avec les deux compères à l’initiative de ce projet classic rock parmi les plus palpitants de ces dernières années : le chanteur Björn « Speed » Strid et le guitariste David Andersson, tous deux connus pour officier dans Soilwork, un autre groupe très différent mais également réputé pour son talent.

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Interview   

Glenn Hughes en quête de bonheur


Glenn Hughes liveIl est certain que les séparations successives, en seulement deux ans, de Black Country Communion puis California Breed, deux groupes talentueux en lesquels il plaçait à juste titre beaucoup d’espoir, ont été des douches froides pour le chanteur-bassiste Glenn Hughes ; ça lui a même brisé le cœur, à deux reprises coup sur coup, explique-t-il. Il revient là-dessus dans l’entretien qui suit et nous en dit plus notamment sur la fin de California Breed. Un sujet sur lequel il s’était encore assez peu exprimé jusqu’à présent.

Mais pas question pour Glenn Hughes de se morfondre ou ruminer une quelconque rancœur. Sa mission : la recherche du bonheur en tant qu’artiste, acceptant les nouvelles règles du jeu de l’industrie musicale actuelle, très différentes de celles qu’il a pu connaître par le passé. C’est pourquoi il revient aujourd’hui avec sa carrière solo, sept ans après l’avoir laissée avec l’album First Underground Nuclear Kitchen. Mais pas question non plus d’abandonner tout de suite le rock pour le voir retourner à son amour pour la funk, et c’est pour cela qu’on le verra dès octobre dans une tournée en Europe – dont un passage au Divan Du Monde à Paris – accompagné du très talentueux et prestigieux ex-Whitesnake Doug Aldrich à la guitare.

Et des guitaristes de talents Hughes a pu en connaître dans sa carrière, dont un certain Tommy Bolin dont les quarante ans de l’album Teaser seront célébrés en septembre avec une réédition spéciale. L’occasion de parler de ce regretté guitariste disparu trop tôt et de dévier sur d’autres sujets tels que le guitariste Ritchie Blackmore ou The Purple Album de Whitesnake sorti récemment.

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News Express   

DELTA DEEP (avec Phil Collen de DEF LEPPARD) propose un nouveau titre en écoute


DELTA DEEP, le projet blues du guitariste de DEF LEPPARD Phil Collen dont le premier album sortira le 23 juin chez Mailboat Records, propose en écoute la chanson « Private Number », avec le chanteur de WHITESNAKE David Coverdale en invité. Ecouter la chanson…



Interviews   

When the white snake puts on its purple coat


David Coverdale - Whitesnake by Mark Weiss“Non, je ne regrette rien”, as Édith Piaf would put it. Now those lyrics apply to David Coverdale, who went back to his distant past to put together The Purple Album, Whitesnake’s latest record, made up of covers from his era in Deep Purple. It is with unmitigated pleasure that we listen to him talk about the surprising genesis of this project, but also about his memories from the years 1973-1976, his relationship with Ritchie Blackmore and the late Jon Lord, everything the experience has brought him, and his genuine, never-ending gratitude. Now, in the 2010s, Coverdale has the same passion for music and the idea of creating it that he had at the time – even if he’s aware that time does fly, and if it’s obvious he’s wondering what the future will be made of. The Purple Album could be his last rock record, he confesses, without too much confidence.

At any rate, it is the first album since the departure of guitarist Doug Aldrich, who rekindled the fire in Whitesnake’s music in the space of two records. Consequently, it’s also the first with his new guitarist, Joel Hoekstra, whose talent as a classical musical never ceases to amaze him. It might also be a good opportunity to start considering a more acoustic and intimist music. But he’ll tell you that himself, too.

With David Coverdale, questions are almost unnecessary; they’re merely prods for him to keep telling his story, with all the detours and deviations that go with it. An interview with him also implies a healthy dose of honesty, elegance (when he talks about other people), and humor (particularly when he goes all Columbo and talks about his wife, who seems to matter an awful lot to him). And this time, the poet trades Häägen-Dazs for little blue birdsto kick off his tale…

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Interview   

Whitesnake : quand le serpent blanc revêt son manteau pourpre


David Coverdale - Whitesnake by Mark Weiss« Non, rien de rien, non, je ne regrette rien » chantait Édith Piaf, et chante aujourd’hui David Coverdale après s’être replongé dans son passé lointain pour assembler The Purple Album, le nouvel album de Whitesnake constitué de chansons de Deep Purple, de l’époque où il y officiait, revisitées par son talentueux groupe. C’est donc avec un plaisir non feint qu’on l’écoute nous parler de la genèse étonnante de ce disque mais aussi de ses souvenirs de l’époque 1973-1976, de ses relations avec Ritchie Blackmore et feu Jon Lord, de ce que tout ceci lui a apporté, de sa sincère et éternelle reconnaissance… Quarante ans après, Coverdale reste passionné comme au premier jour par la musique et l’idée de créer. Ce même s’il a conscience que le temps file et qu’on devine qu’il se pose aujourd’hui des questions par rapport à ce dont son avenir devra être fait. Il est probable que ce Purple Album soit son dernier album rock, nous avoue-t-il, sans toutefois se montrer bien sûr de lui.

En tout cas, c’est là son premier opus depuis le départ du guitariste Doug Aldrich qui avait ré-embrasé le feu dans la musique de Whitesnake le temps de deux albums, le premier avec son nouveau guitariste Joel Hoekstra dont il s’émerveille des talents de musicien classique, y voyant, peut-être, une ouverture vers une musique plus acoustique et intimiste. De tout ça, il nous en parle aussi.

Avec David Coverdale, les questions sont superflues ou presque, elles ne sont que prétextes pour le relancer pendant qu’il nous conte son histoire, faite de détours et déviations, avec une bonne tranche de franchise, d’élégance envers ceux dont il parle et d’humour, et faisant ressortir de temps à autre son côté Columbo en nous parlant de sa femme qui semble beaucoup compter pour lui. Et pour amorcer le récit, le poète ne nous parle cette fois-ci pas d’Häägen-Dazs mais de petits oiseaux bleus…

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Nouvelles Du Front   

Ritchie Blackmore prêt à refaire chauffer sa strat ?


Ritchie BlackmoreJoe Lynn Turner, et maintenant David Coverdale, les deux chanteurs témoignent que des choses sont en train de se tramer du côté de Ritchie Blackmore pour un retour sur le devant de la scène rock…

Cela fait maintenant presque 20 ans, depuis 1997, que l’ancien Deep Purple et Rainbow, et l’un des guitaristes les plus influent qui soit, Ritchie Blackmore a abandonné le rock électrique au profit de sérénades inspirées de la musique médiévale et largement acoustiques avec sa femme Candice Night dans son projet Blackmore’s Night, ayant déjà sorti pas moins de neuf albums. Certains l’ont suivi dans cette aventure d’un autre genre (quoi que l’influence de la musique folk a toujours fait partie de la palette de Blackmore), d’autres regrettent encore l’ostracisme que le guitariste semble s’être imposé vis-à-vis du rock et voient ça comme un gâchis. Et Blackmore n’est pas prêt de lâcher la mandoline tant cela semble lui convenir, tant il semble s’épanouir auprès de sa dulcinée, tant Blackmore’s Night jouit d’une constance que n’a pas connu ses précédents groupes. Pourtant, les choses semblent bouger depuis quelques temps, et les signes concordent de plus en plus vers un retour du prodige et son emblématique Stratocaster dans le bon vieux rock avec lequel il a tant fait rêver.

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    Metallica @ Saint-Denis
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