« Plus de tout ». Une formule extrêmement simple pour résumer l’approche de The Crown à l’origine de Royal Destroyer, leur dixième album studio. The Crown a dépassé les trente années de carrière et n’a toujours pas renoncé aux vestes en cuir et aux regards de loubards, à raison. Le groupe est devenu l’une des valeurs sûres du death/thrash suédois, ayant défriché toutes les variantes de la musique extrême au long de sa carrière. Le chanteur originel avait fait un retour remarqué sur un Death Is Not Dead (2010) en forme de renaissance, confirmé par Cobra Speed Venom (2018), rappelant à tous l’importance du groupe pour la scène. Insuffisant pour étancher la soif de The Crown, désireux d’embrayer via une recette : la même chose, en montant les curseurs. Royal Destroyer a un objectif : il doit incarner la carrière entière de The Crown, il doit « tout avoir ».
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