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CR De Festival    Live Report   

Le Motocultor 2017 : l’édition des fans !


Le Motocultor est l’un des festivals metal les plus importants de France. Sa notoriété ne cesse de grimper et les affiches deviennent de plus en plus alléchantes. Cette année fêtait le dixième anniversaire du festival, néanmoins cette affiche a failli ne pas voir le jour. En effet, le festival a du mettre en place un système de financement participatif afin d’assurer l’édition 2017. L’appel a été entendu car plus que ce qui était nécessaire a été récolté, en conséquence le fest a pu se tenir. Et l’organisation ne s’est pas moquée de son public avec The Devin Townsend Project, Kreator, Opeth, Candlemass, 1349 et tant d’autres groupes pour trois jours de beau temps. Affrontant le froid de la nuit et la chaleur du jour, enchaînant les concerts sous les tentes, on a vécu un magnifique Motocultor avec des moments uniques.

La première journée de cette dixième édition ouvre sur un groupe que l’on aura le plaisir de voir régulièrement dans nos salles : Aluk Todolo. La formation de Grenoble nous avait déjà impressionné en première partie d’Oranssi Pazuzu en avril dernier et on les retrouvera en décembre en première partie de Wolves In The Throne Room. Toujours dans son optique de jouer leur album Voix en entier, l’ambiance du concert est hypnotique et la musique unique. Même si, c’est un fait, on était tout de même mieux dans l’obscurité d’une salle plutôt que sous un simple chapiteau à midi en Bretagne ! L’expérience dans une salle est en fait bien plus marquante que toutes autres expériences, même si dans les yeux du batteur et le jeu du guitariste on retrouve la même passion, les mêmes mouvements du corps et les yeux révulsés.

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Live Report   

Devin Townsend transcende Paris


Les amoureux du prog ont été servis le lundi 31 janvier au Bataclan. Car en effet, non content de programmer monsieur Townsend et sa bande, ce ne sont rien de moins que Leprous et Between The Buried And Me qui l’accompagnent sur la tournée. Alors tous les « poozers » se sont précipités dans cette belle salle pour assister à un show de qualité, plein d’humour, d’amour, et de prog.

Et cela fait plaisir de voir que la salle affichait quasiment complet, et ce dès l’ouverture des portes où l’on sent que le public est également présent pour les premières parties, ce qui semble normal étant donné le calibre de ces groupes dans la nouvelle scène du metal prog. Certains ont attendu dès 14h devant les portes du Bataclan, et on sait que lorsqu’on va rentrer avec le sourire aux lèvres, on ressortira avec un sourire encore plus grand.

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Interview   

Devin Townsend : la sagesse du fou


« Sage » n’est pas le premier mot qui vient à l’esprit lorsqu’on parle de Devin Townsend. On aurait tous le réflexe d’utiliser des adjectifs tels que « excentrique », « déjanté », voire même fou. Et ce serait bien légitime, car excentrique, sa musique, à bien des égards, l’est incontestablement.

Humble comme il est, il pourrait vous le dire lui même : Devin Townsend est quelqu’un comme les autres, avec des idées parfois bizarres comme on en a tous, à l’exception près qu’il les assume pleinement. Il y a une différence entre être fou et avoir un goût prononcé pour l’excentricité. Une excentricité que Devin décrit comme étant simplement de l’honnêteté. Une honnêteté qui dérange non pas parce qu’elle est marginale mais peut-être bien parce qu’elle nous rappelle cette « folie » que nous avons tous en nous et que la société nous apprend à réfréner ou bien, de manière générale, certaines vérités que nous refusons d’admettre. A ce titre, Devin Townsend n’est ni fou, ni incohérent, ni en marge de la société.

Ce qu’il est par dessus tout, c’est extrêmement sage. Une sagesse qui s’exprime à chaque instant dans cette interview, comme dans les autres. La sagesse de la retenue, la sagesse d’ignorer – non sans la respecter – l’opinion d’autrui, ou encore la sagesse suprême de profiter du moment présent en sachant oublier que tout cela peut un jour s’arrêter ; même si, pour ce dernier point, par exemple, ça n’a pas toujours été le cas, car tout ceci se fait en prenant en compte la part de flou et d’instabilité inhérente au fait d’être humain.

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Metalanalyse   

Devin Townsend, indissociable de ses opposés


Devin Townsend est un touche-à-tout, un hyperactif et un musicien de talent. Un homme avant d’être un artiste mais, qui grâce à son statut d’artiste, arrive à transmettre à autrui ce qui fait l’essence même de l’Homme, à savoir : ses sentiments et émotions. Ainsi, chaque album de l’homme résulte d’un état d’esprit singulier, d’un besoin émotionnel particulier et c’est donc en toute logique que l’on peut aujourd’hui se demander quel vecteur émotionnel a conduit Townsend jusqu’à ce Epicloud ? Quel besoin, quel message doit-être véhiculé par ce nouvel opus ? Car, si Deconstruction apparaît comme une mise à l’épreuve introspective pour Townsend, Epicloud semble au contraire profiter – tout du moins en apparence – de la part de naïveté de son géniteur.

« Pour moi, mes chansons sont aussi parfaites que je puis les faire, mais si quelque chose est parfait, la personne qui l’a faite l’est aussi. C’est donc impossible, n’est-ce pas ?! » nous disait Devin en interview l’an passé. Puis, récemment sur son compte Twitter, suite à la finalisation d’Epicloud : «Epicloud est terminé et j’en suis très heureux. Il n’est pas parfait, mais il est aussi bon que possible du fait de mes capacités techniques». Un album qui, a priori, avant toute première écoute, respire déjà la sincérité.

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Vide(o)rdure   

Plus fort que les nains de jardin : Devin Townsend


Au milieu des années 1990, Devin Townsend a été lancé en étant le chanteur de Steve Vai, une expérience qui n’a pas duré, le Canadien ne pouvant, à ce poste, développer son univers propre. Récemment, le site The Quietus a demandé à Vai de citer ses treize albums préférés et, après Captain Beefheart, Matt Rescinoff et Queen, il place, vraisemblablement sans hésitation, l’album Alien (2005) de Strapping Young Lad, tout en ayant ces mots pour son ancien acolyte : « Je vais utiliser le mot en ‘G’ ici… Je pense que c’est un génie, vraiment, je le pense. Il est tellement passionné, tellement intense et – parfois – tellement tourmenté, mais il se rachète par la profonde, profonde beauté de tout ce qu’il fait. Je pense que dans le futur, quand les gens évolueront, s’ils se retournent et écoute vraiment les musiciens du passé, en arrivant au metal, il devrait être le numéro 1. Il y a des choses dans son œuvre vers lesquelles nul autre n’aurait eu les couilles de s’aventurer. »

Comme dans son jardin, à Vancouver, pour nous improviser une danse suant la conviction dans l’absence de conviction dans ce qu’il fait, pour cette vidéo « non-officielle » de « Lucky Animals », premier titre extrait d’Epicloud, son nouvel album « pop » (qui a surtout de pop le talent incontestable de rentrer dans la tête pour y rester). Décrire ce que vous allez voir serait vous gâcher le bonheur que va vous procurer cette vidéo.

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Nouvelles Du Front   

La quintescence de l’annonce par Devin Townsend



Un artiste qui annonce un concert, c’est bien. Devin Townsend – LE Devin Townsend – qui annonce un concert, ça peut prendre une dimension monumentale.

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Vide(o)rdure   

Devin Townsend : union avec un fantôme


Devin Townsend était à Londres le week-end dernier pour, comme vous devez le savoir, y interpréter, chaque soir du 10 au 13 novembre, en concert, un des quatre albums de sa tétralogie Ki-Addicted-Deconstruction-Ghost. Le dimanche 13, il jouait à guichet fermé (le concert étant sold-out depuis belle-lurette) son dernier album Ghost qui est la face claire de Deconstruction sorti lui aussi en juin dernier. Tout cela avait lieu à l’Union Chapel d’Islington, au nord de Londres ; le lieu de culte servant aussi, en certaines occasions, de salle de concert.

Bien sûr, aujourd’hui on le sait bien, rares sont les concerts dont on ne trouverait quelques jours plus tard, des vidéos amateurs sur YouTube, le plus souvent d’une qualité voguant entre le dégueulasse et le moyen mais sans plus, avec un son ultra saturé et un cadrage réalisé à la force du poignet qui vous file rapidos le mal de mer. Et il est donc bien rare qu’on vous montre ce genre de films.

Mais là, étant donné les magnifiques neuf minutes (ou presque) que nous venons de passer, le sourire aux lèvres et la joie dans le cœur, à regarder cette interprétation de « Heart Baby », extrait de Ghost, dans ce cadre sublime qu’est l’Union Chapel avec en plus une très belle acoustique, on ne pouvait pas égoïstement ne pas partager ça avec vous. Surtout que la vidéo, cette fois, est de très bonne qualité.

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Nouvelles Du Front   

Devin Townsend nous fait le plein d’annonces


Mieux vaut vous lâcher l’info tout de suite et en parler ensuite : Devin Townsend a annoncé qu’il jouerait les quatre albums de sa « Quadrilogie » (c’est-à-dire Ki, Addicted, Deconstruction et Ghost) lors de quatre concerts à Londres les 10, 11, 12 et 13 novembre 2011 au cours desquels il jouera chaque soir une de ces œuvres dans son intégralité.

Le premier et le dernier sont déjà annoncés sold-out. Évidemment, même si on peut avoir un peu les boules que ce soit les rosbifs (des gens qui ont cramé Jeanne d’Arc, rappelons-le – comment ça, ce sont des Français qui la leur ont filé ?!) qui y aient droit et pas nous – parce que ça lui coûterait quoi à Devin de traverser la Manche, hein ? – nous nous devions d’en parler.

Mais nous pouvions la coincer quelque part dans les News Express, à côté, là où elle ne se ferait pas trop remarquer, histoire de ronger ensuite notre frustration dans notre coin, sans trop vous gêner. Mais voilà, quand Hevy Devy annonce, il n’annonce pas à moitié, il nous fait le plein. Ces quatre concerts londoniens seront filmés et réunis en DVD dans un coffret qui devrait sortir à la fin de l’année.

Mais ce n’est pas tout !



Vide(o)rdure   

Je déteste ce mec, il est génial !


Après « je déteste ces types, ils sont géniaux » au sujet des Foo Fighters, revenons à un autre de nos héros de ces derniers mois : Devin Townsend. Après tout depuis combien de temps ne nous étions-nous pas extasié devant le talent et les facéties de l’admirable Canadien chauve ? Dix jours ? Vous voyez : c’est déjà trop long !

Devin Townsend commencera demain sa tournée nord-américaine mais il a quand même gardé une trace (de pneu ?) de sa traversée de l’Europe à bord de « l’Urinator », le van jaune pisse à faire vomir Ziltoïd, à bord duquel se passe des choses complètement folles comme des « Double Rainbow !!! », des siestes « gallinacéennes » et des rapports buccaux comme au peep-show.


Non, vraiment, que Devin Townsend partage ça avec nous, c’est encore la preuve que ce mec est génial.

Animalement vôtre.



Interview   

Ils ont partagé la scène avec Devin Townsend !


Ce dimanche 12 juin, à Paris, nous avons vécu un moment hors du temps avec le concert de The Devin Townsend Project. Comme évoqué dans notre live report de l’événement, des fans ont eu le privilège de fouler les planches de la Maroquinerie en compagnie de Devin Townsend et son groupe. Un sacré souvenir qui méritait une interview à chaud de Vincent et Camille-Louise qui ont participé à cette scène. Un entretien effectué près de la salle de concert… dans un kebab !

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  • Red Hot Chili Peppers @ Lyon
    Queens Of The Stone Age @ Lyon
    Kiss @ Lyon
    Skid Row @ Lyon
    Hollywood Vampires @ Paris
    Depeche Mode @ Lyon
    Scorpions @ Lyon
    Thundermother @ Lyon
    Ghost @ Lyon
    Spiritbox @ Lyon
    Metallica @ Saint-Denis
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