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Interview   

Paul Gilbert : la voix de Dio


Cela fait treize ans que Ronnie James Dio nous a quittés mais son œuvre et son génie restent toujours aussi vivants et vibrants. Les « Heaven And Hell », « Stargazer », « Holy Diver » et même « Love Is All » (de Roger Glover) n’ont pas pris une ride. Il y a même quelque chose de réconfortant à écouter du Ronnie James Dio, un artiste qui parle à notre instinct de vie et nous donne de la force, et, à la fois, nous permet de nous évader des tracas quotidiens. C’est d’ailleurs ainsi, par ce qu’évoquait pour lui ces trois lettres – DIO – inscrites sur une casquette, que Paul Gilbert a eu envie de rendre hommage à l’elfe, mais aussi aux trois guitaristes principaux qui ont accompagné et contribué à ses plus grands moments : Tony Iommi, Ritchie Blackmore et Vivian Campbell.

Plus que ça encore, The Dio Album, est une continuation de l’exploration de l’expressivité vocale à la guitare, puisque le guitariste de Mr. Big et Racer X reprend une poignée de classiques de Black Sabbath, Rainbow et Dio… en instrumental. Tout le défi était d’étudier dans les moindres détails les lignes de chant de Ronnie et de les reproduire le plus fidèlement à la six-cordes. Paul nous raconte ainsi, dans l’entretien qui suit, son rapport à l’œuvre de Ronnie James Dio, son regard de professeur de guitare et son propre apprentissage.

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Interview   

Wendy Dio : la mémoire de Ronnie James Dio


Gérer l’héritage d’un artiste iconique comme Ronnie James Dio est à la fois une bénédiction et une lourde responsabilité avec son lot de préoccupations. A commencer par les critiques qui fusent à la moindre décision, avec les remises en cause de la légitimité et les doutes sur la pureté des intentions. Les débats sur l’hologramme de feu l’ex-chanteur de Black Sabbath et Heaven And Hell développé à l’initiative de son ex-épouse et manageuse Wendy Dio en sont l’exemple le plus flagrant.

Aujourd’hui – le 21 février prochain –, c’est une nouvelle salve de rééditions que lance Wendy en collaboration avec le label BMG, celle des quatre derniers albums de Dio : Angry Machines, Magica, Killing The Dragon et Master Of The Moon. L’occasion de redécouvrir ces disques peut-être moins connus que les trois premiers mais qui n’en offrent pas moins leur lot de pépites et dévoilent d’autres facettes de la musique et de la carrière de Ronnie.

L’occasion également pour nous d’échanger avec Wendy sur ces disques, mais aussi et surtout sur la personnalité de Ronnie et sur son propre travail en tant que manageuse et gardienne de l’héritage et de la mémoire de l’artiste.

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Interview   

Craig Goldy : gardien du temple de Dio


A bien des égards, le guitariste Craig Goldy semble avoir pris à bras-le-corps la tâche de gardien du temple de Ronnie James Dio, son ami, père spirituel et mentor, depuis que celui-ci nous a quittés le 16 mai 2010 ; celui qui lui a apporté du réconfort durant une enfance difficile, puis une carrière et des leçons de musique et de vie inestimables. Goldy s’attelle à sa tâche de mettre en pratique ce que le maître lui a appris, que ce soit au sein de Dio Disciples ou Dream Child, encaissant parfois les coups avec philosophie et diplomatie, parce que « les gens qui nous détestent pour l’hologramme et ce que nous faisons, ça vient aussi de leur amour pour Ronnie ».

Mais au-delà de faire vivre les manières de Ronnie James Dio, son rapport aux fans, sa manière de composer et son éthique de travail, la mission de Dream Child, nouveau groupe composé de trois ex-membres de Dio, c’est surtout de « re-capturer une vieille époque qu’on pensait perdue à jamais », en cherchant à faire revivre le génie de Rainbow et autre Deep Purple, deux groupes de sa principale influence en matière de guitare : Ritchie Blackmore.

Voilà ce qu’explique Craig Golgy dans l’entretien d’une heure et demie qui a été retranscrit ci-après, partageant avec nous de nombreux moments de vie dans sa carrière, y compris, évidemment, aux côtés de Ronnie James Dio.

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Interview   

Doro vit deux fois plus fort


Le moins que l’on puisse dire est que Doro a été secouée par le décès de Lemmy ; elle qui avait déjà cinq ans plus tôt enterré un autre de ses meilleurs amis, Ronnie James Dio. Mais plutôt que de se morfondre, Doro agit comme une battante, avec l’amitié et l’amour comme moteurs. Deux valeurs – la combativité et l’union – qui forment les axes centraux de ses deux nouveaux albums : Forever Warriors et Forever United. Car oui, l’électrochoc de la disparition de Lemmy aura été le catalyseur pour une première chanson, à la fois hommage au rockeur et célébration de la vie, jusqu’à arriver à pas moins de vingt-cinq chansons, soit une véritable effusion créative.

C’est une Doro montée sur pile électrique, pleine de vie, à l’enthousiasme communicatif, souvent touchante et sacrément bavarde que nous avons rencontré à l’occasion de la sortie de ce double album. Elle nous raconte toute sa genèse, avec sa pléthore d’invités, dont un duo avec Johan Hegg qui reprend du service après le dernier album d’Amon Amarth, avant de rendre un bel hommage à Lemmy en partageant quantité d’anecdotes qui ne manquent pas de faire sourire et d’émouvoir. L’occasion également d’en apprendre un peu sur la spiritualité d’une des grandes dames du metal, via une expérience stupéfiante sur la réincarnation qu’elle nous raconte.

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Interview   

Orange Goblin montre les crocs


Orange Goblin en a gros. A la fois contents d’une situation où ils sont en mesure de faire vivre le groupe sans avoir à trahir leurs principes et céder aux pressions, mais aussi forcément un peu déçus que la tentative de vivre du groupe ces dernières années ait échouée. Surtout un peu frustrés, comme le répète le frontman Ben Ward, de ne pas avoir encore obtenu la reconnaissance qu’ils estiment mériter. Sans même parler d’une exaspération certaine face à l’évolution du monde. Voilà pourquoi avec leur nouvel album The Wolf Bites Back, Orange Goblin montre les crocs !

Un album qui se veut sombre et agressif, mais surtout tâtant différents terrains où le groupe montre un bel éventail de couleurs, avec toujours en ligne de mire son espace de prédilection : la scène. Voilà de quoi nous parle le loquace et passionné Ben Ward, mais pas que, puisque nous discutons également des maîtres parmi les maîtres : Motörhead et Black Sabbath. Deux influences majeures dont Orange Goblin devient le direct héritier depuis leur disparition du paysage, et au sujet desquels il partage quelques anecdotes.

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Interview   

Vivian Campbell retrouve son mordant


Le guitariste Vivian Campbell semble être en pleine mission pour rattraper le temps perdu. S’il est toujours actif au sein de Def Leppard, il s’est également rabiboché avec une époque de sa vie qu’il a longtemps refoulé, le groupe originel de Dio, fondant Last In Line qui prépare actuellement un deuxième album, et a remis Riverdogs en selle, vingt-sept ans après un premier album devenu culte. Tout ceci en continuant de se battre contre un cancer qui aura eu pour effet de décupler son envie de vivre et de vibrer. Et c’est d’abord pour parler de ce nouveau disque de Riverdogs, California, que nous avons joint Campbell, avec un détour historique au préalable pour revenir sur le premier album, sur lequel le nouveau a explicitement été calqué.

Dans la seconde partie de l’entretien, nous revenons sur ce qui l’a motivé ces dernières années à multiplier les projets ainsi que son rapport à ses trois groupes – Def Leppard, Last In Line et Riverdogs – pour ensuite revenir à des sujets historiques, cette fois sur son passage au sein de Whitesnake ainsi que quelques mots sur son tout premier groupe, Sweet Savage, pour finir sur sa situation avec son cancer. Une interview, en conséquence, riche à découvrir ci-après.

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News Express   

Vidéo : Ronnie James Dio réunit avec ses musiciens au Wacken 2016 via hologramme


Le chanteur Ronnie James Dio a rejoint ses musiciens sur scène via hologramme lors du Wacken Open Air qui s’est déroulé la semaine dernière en Allemagne. En savoir plus…



Interview   

Last In Line : Vivian Campbell renoue avec son héritage


Vivian Campbell - Last In LineCertains auront peut-être été surpris de voir Vivian Campbell refaire cracher sa Les Paul au son des premiers albums de Dio, lui qui avait abandonné le heavy metal suite à son éviction inamicale du groupe en 1986, pour faire un rapide tour chez Whitesnake, s’acoquiner avec Lou Gramm (Foreigner), enregistrer un premier album avec Riverdogs et finalement atterrir chez Def Leppard chez qui il officie depuis 1992.

A cette époque, « j’ai tourné le dos » au heavy metal confesse-t-il dans l’entretien qui suit, en expliquant les raisons mais aussi pourquoi et comment il a voulu renouer avec ces premiers albums de Dio dont, pendant des années, il n’a pas voulu entendre parler. Car c’est cette envie de retrouver le guitariste « furieux » qu’il était et cette alchimie qu’il entretenait avec ses compères de l’époque qui l’a poussé à fonder Last In Line. Et ce qui fut un projet « simplement pour le kiff », sans « ambition d’aller plus loin », a fini par engendrer un nouvel album, intitulé Heavy Crown. Campbell nous raconte donc l’histoire de cet album mais aussi sa propre histoire avec cette musique, évoquant aussi bien la conception des trois premiers albums de Dio que sa relation avec feu Ronnie James Dio.

Seulement quelques jours avant cet entretien, le 23 janvier dernier, le bassiste de Last In Line Jimmy Bain décédait à l’âge de 68 ans sur la croisière Hysteria On The High Seas organisée par Def Leppard. C’est donc un Vivian Campbell encore bouleversé par la perte d’un ami que nous avons eu au téléphone, et naturellement le sujet s’est immédiatement imposé de lui-même.

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Interview   

Metal Allegiance : les Avengers du metal


Metal Allegiance 2015

Mark Menghi (tout à droite sur la photo ci-dessus), peu ont entendu ce nom auparavant, et pourtant c’est lui qui est à l’origine d’une prouesse hors normes, celle de rassembler sur scène le gratin de la musique metal, tous styles et toutes générations confondus. La liste des participants des diverses prestations qui ont eu lieu est véritablement époustouflante. Et un an à peine après que ce projet fou ait été initié sur scène, Metal Allegiance – c’est le nom de ce collectif de supers-héros du metal, un peu façon The Avengers – sort aujourd’hui son premier album, avec un groupe centré autour du guitariste Alex Skolnick (Testament), du bassiste Dave Ellefson (Megadeth) et du batteur Mike Portnoy (Winery Dogs, ex-Dream Theater). Et le moins que l’on puisse dire est que Menghi ne manque pas de superlatifs (comptez le nombre de fois où il prononce le mot « incroyable ») pour qualifier les différents aspects de cette aventure.

Mais la vérité est que Menghi est comme un gosse fana de metal qui a eu un fantasme, une idée démentielle, et qui l’a concrétisé grâce, en partie, aux relations qu’il a pu construire au cours de sa vie professionnelle. La tête pensante derrière le projet Metal Allegiance nous raconte tout ceci dans l’entretien qui suit.

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Interview   

Glenn Hughes en quête de bonheur


Glenn Hughes liveIl est certain que les séparations successives, en seulement deux ans, de Black Country Communion puis California Breed, deux groupes talentueux en lesquels il plaçait à juste titre beaucoup d’espoir, ont été des douches froides pour le chanteur-bassiste Glenn Hughes ; ça lui a même brisé le cœur, à deux reprises coup sur coup, explique-t-il. Il revient là-dessus dans l’entretien qui suit et nous en dit plus notamment sur la fin de California Breed. Un sujet sur lequel il s’était encore assez peu exprimé jusqu’à présent.

Mais pas question pour Glenn Hughes de se morfondre ou ruminer une quelconque rancœur. Sa mission : la recherche du bonheur en tant qu’artiste, acceptant les nouvelles règles du jeu de l’industrie musicale actuelle, très différentes de celles qu’il a pu connaître par le passé. C’est pourquoi il revient aujourd’hui avec sa carrière solo, sept ans après l’avoir laissée avec l’album First Underground Nuclear Kitchen. Mais pas question non plus d’abandonner tout de suite le rock pour le voir retourner à son amour pour la funk, et c’est pour cela qu’on le verra dès octobre dans une tournée en Europe – dont un passage au Divan Du Monde à Paris – accompagné du très talentueux et prestigieux ex-Whitesnake Doug Aldrich à la guitare.

Et des guitaristes de talents Hughes a pu en connaître dans sa carrière, dont un certain Tommy Bolin dont les quarante ans de l’album Teaser seront célébrés en septembre avec une réédition spéciale. L’occasion de parler de ce regretté guitariste disparu trop tôt et de dévier sur d’autres sujets tels que le guitariste Ritchie Blackmore ou The Purple Album de Whitesnake sorti récemment.

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  • Red Hot Chili Peppers @ Lyon
    Queens Of The Stone Age @ Lyon
    Kiss @ Lyon
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    Hollywood Vampires @ Paris
    Depeche Mode @ Lyon
    Scorpions @ Lyon
    Thundermother @ Lyon
    Ghost @ Lyon
    Spiritbox @ Lyon
    Metallica @ Saint-Denis
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