Napalm Death rassure. Entre le guitariste Mitch Harris qui s’est mis indéfiniment en retrait depuis 2014 et les cinq longues années qui se sont écoulées depuis Apex Predator, il y avait de quoi se poser des questions sur la vitalité du groupe. Questions balayées par Throes Of Joy In The Jaws Of Defeatism, qui célèbre vingt ans de collaboration entre Napalm Death et le producteur Russ Russell. Pour ce seizième album, le bassiste Shane Embury, se retrouvant seul compositeur à bord, s’est retroussé les manches et force est de constater qu’il s’est fait plaisir. Si la brutalité est toujours de mise, celle-ci est déclinée en une myriade de nuances, parfois expérimentales.
C’est bien là la force de Napalm Death, groupe extrême aux multiples facettes, trop souvent et à tort réduit à l’étiquette de « grindcore », tant il transcende, à sa manière, les genres, allant jusqu’à puiser dans des influences inattendues, que ce soit Killing Joke ou Coteau Twins comme nous l’avoue le chanteur Mark « Barney » Greenway. C’est d’ailleurs avec ce dernier que nous nous sommes entretenus pour parler de l’album qui lui sert, une nouvelle fois, de support pour partager avec nous des commentaires et réflexions sur notre société, plus particulièrement sur le thème de l’ « autre ».
Le M’N’M Slasher Fest est annulé ; le concert de MESHUGGAH à Lyon reporté
Guillaume Bideau (SCARVE, MNEMIC, ONE-WAY MIRROR, etc.) est décédé
EVANESCENCE se sépare de la guitariste Jen Majura
Le bassiste Sergio Vega annonce son départ de DEFTONES
MAMMOTH WVH annule sa tournée européenne prévue cet été
CRASHDÏET : les détails du nouvel album Automaton
LOST SOCIETY : les détails du nouvel album If The Sky Came Down ; clip vidéo de la chanson « 112 »
Michael Romeo – War Of The Worlds Pt. 2
AUDREY HORNE dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « Break Out »
James Labrie – Beautiful Shade Of Grey