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Interview   

Alice Cooper : le gosse de Detroit


Un peu plus d’un an après la sortie de l’EP Breadcrumbs, Alice Cooper revient à la charge et poursuit son hommage à Detroit, sa ville de naissance et de cœur. Une nouvelle fois produit par le légendaire Bob Ezrin, qui avait déjà marqué de son empreinte l’album Love It To Death, le premier succès de l’artiste il y a cinquante ans, Detroit Stories est une lettre d’amour à la Motor City et à sa jeunesse, composée et enregistrée avec une flopée de musiciens, dont des locaux tels que Wayne Kramer (MC5), Johnny « Bee » Badanjek (Detroit Wheels) ou Paul Randolph et les originaux du Alice Cooper Band.

De sa découverte du rock n’ roll à son aversion profonde pour la politique, en passant par son évolution artistique ou sa relation avec les producteurs Bob Ezrin et Desmond Child, nous reprenons notre discussion avec le Coop qui répond à nos questions avec la verve qu’on lui connaît et relate avec tendresse les souvenirs d’une époque désormais lointaine, mais toujours aussi vive dans son esprit.

Note : Interview parue initialement dans le second numéro du magazine Radio Metal. Le nouveau numéro sera disponible aux points de distribution et en commande dans notre shop à partir du 21 avril.

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Interview   

Alice Cooper est hors-norme


« Toute ma carrière a été tout sauf normale, » s’amuse Alice Cooper dans l’entretien qui suit pour expliquer le titre de ce nouvel album Paranormal. Il suffit d’avoir vu au moins une fois un de ses shows, où Vincent Furnier se sert de ses chansons comme prétexte pour élaborer toute une histoire dont Alice est le héro, pour acquiescer. Mais aussi se rendre compte de la distance artistique entre des albums comme Trash en 1989 et Brutal Planet dix ans plus tard, et cette carrière de cinquante ans et 27 albums haute en couleurs : Alice Cooper est unique en son genre. Il traverse les modes sans sourciller et même lorsqu’il prend une direction plus vintage, c’est avant tout l’intemporalité de sa musique qui nous saute aux yeux.

Nous avons rencontré Vincent Furnier pour nous parler de ce nouveau disque mais aussi sa relation au paranormal, son travail avec le producteur Bob Ezrin ou encore la nette séparation qu’il établit entre lui et le personnage d’Alice Cooper qui n’a aucun droit en dehors de la scène.

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Interview   

Deep Purple : l’infini et au delà


Avant d’interviewer un groupe de la stature de Deep Purple on peut s’imaginer tout un tas de choses à leur sujet, et notamment avoir une forme d’appréhension face à, compte tenu de leur place dans l’histoire du rock, ce que l’on peut considérer comme des superstars. Mais en réalité, pas de diva aux exigences extravagantes, pas d’égo surdimensionné. Face au dictaphone se tiennent des hommes simples, humbles, réfléchis, mûrs, pleins d’humour. Ce serait donc ça, le secret de leur longévité : la simplicité. Eux-mêmes ne se considèrent pas comme des stars, et sont visiblement heureux d’échapper à ce statut !

Conscients de la force que leur confère leur expérience, sans pour autant pêcher par excès de confiance, le combo s’apprête à sortir un vingtième album studio, Infinite, qui a fait couler beaucoup d’encre quant au possible sens caché de ce titre et à l’avenir du groupe. Roger Glover et Ian Paice, qui forment la célèbre section rythmique du combo, eux, s’en tiennent aux précautions d’usage, le conditionnel et le « peut-être » sont de mise quand on évoque avec eux le futur de Deep Purple, et surtout il font bien comprendre que la passion brûle plus fort que jamais.

Mais pour l’heure, cet Infinite vient avec un vent de fraîcheur sur la musique du quintette, et ça ne vient pas uniquement de la glace sur la pochette de l’album. Les deux britanniques nous expliquent dans cet entretien combien le producteur Bob Ezrin leur a, à nouveau, insufflé confiance et audace pour ce nouvel opus.

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Interviews   

What now?! Ian Gillan’s (Deep Purple) interview, of course!


Fifty years’ career is quite a feat. Few bands have managed to last so long with so few interruptions. Yes, in a way, Deep Purple have been cheating a little, and endless line-up reorganizations – no less than eight – have at times turned it into a whole different band. It was the case, for example, of Mark III and Mark IV, with Glenn Hugues and David Coverdale. And yet, it’s no small surprise the band has always managed to land on its feet, especially after the difficult last years with Ritchie Blackmore.

In this respect, the joining of Steve Morse was a blessing. His talent, his amazing personality, but as a human being and as a musician, and his enthusiasm – just look how happy he always is on stage – have brought a new youth and new inspiration to Deep Purple. Purpendicular, released in 1996, was particularly remarkable and fresh. Since then, Deep Purple have remained as solid as a rock – despite the loss of Jon Lord on the way – and taken obvious pleasure in touring. So much so that they even forget where the studio lay since Rapture Of Deep in 2005…

Now Deep Purple are finally back with the ambitious Now What?!, totally in phase with the band’s taste for improvisation. We had the opportunity to talk to the very nice and talkative Ian Gillan. The singer doesn’t hide his enthusiasm regarding this new album, but he can also show firmness when it comes to the band’s integrity.

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Interview   

Quoi maintenant ?! L’interview de Ian Gillan (Deep Purple) pardi !


Cinquante ans de carrière, ce n’est pas rien. Rares sont les groupes à avoir tenu aussi longtemps avec si peu d’interruptions. Alors, oui, en un sens, Deep Purple triche un peu dans la mesure où ses innombrables remaniement de line-up – il en a existé huit différents – en ont fait à certaines époques un tout autre groupe. C’était le cas par exemple des versions Mark III et Mark IV avec Glenn Hughes et David Coverdale. Pour autant, il est étonnant de voir que la formation soit toujours retombée sur ses pattes, en particulier après les difficiles dernières années avec l’emblématique Ritchie Blackmore.

En cela, l’arrivée de Steve Morse fut une vraie bénédiction. Son talent, sa personnalité humaine et musicale en or et son enthousiasme – il suffit de le voir la banane accrochée au visage à chaque concert – ont offert une nouvelle jeunesse et une nouvelle inspiration à Deep Purple. A cet égard, Purpendicular, sorti en 1996 est un album particulièrement remarquable et frais. Depuis, Deep Purple reste solide comme un roc – même s’il a perdu Jon Lord en cours de route – prenant un plaisir évident dans ses tournées. A tel point que le quintette en a quelque peu oublié le chemin des studios depuis Rapture Of Deep en 2005…

Aujourd’hui Deep Purple revient enfin avec Now What?!, un album ambitieux et en phase avec le goût pour l’improvisation dont témoigne ses prestations. Nous avons eu l’occasion d’en parler avec le très agréable et loquace Ian Gillan. Un chanteur qui ne cache pas son enthousiasme vis-à-vis de ce nouvel album mais qui fait également preuve de fermeté lorsqu’il s’agit d’évoquer l’intégrité du groupe.

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Nouvelles Du Front   

Deep Purple avec Bob Ezrin ? Et pourpre quoi pas ?


Quand on se dit que les dernières nouvelles studios de Deep Purple remontent à 2005 et l’album Rapture Of The Deep on prend, d’une, un sacré coup de vieux, et de deux, on se pose la question : « Purple en studio, est-ce définitivement fini ? ». Et là, soudainement, la nouvelle tombe. Oui, la bande à Paice & Co. a décidé, sept ans plus tard, de retrouver le chemin du studio histoire de pondre un petit frère à ce Rapture…

Mais là n’est pas la seule surprise, bien au contraire, car le groupe toujours très actif en live, ne cessant jamais de tourner, allait – l’espérions-nous ? nous en doutions-nous ? – enfin, tôt ou tard, être tenté de revenir au format disque. Non, là où se situe le petit bonus de cet album à venir, c’est qu’il pourrait être produit par le très réputé et non moins talentueux Bob Ezrin. L’homme à la liste de collaborations longue comme deux fois mes bras avec, entre autres mais pas des moindres, à son actif quelques-uns des chef-d’œuvres d’Alice Cooper (Killer, School’s Out ou autres Welcome To My Nightmare 1 et 2), un petit Destroyer de Kiss, et quelques travaux avec Pink Floyd (à commencer par The Wall, rien que ça). Bref, un homme qui manquait sans doute d’occupation (et d’une ligne ou deux sur son C.V.), Deep Purple, idem, du coup : paf ! Steve Morse, guitariste du groupe, laisse filtrer à travers une interview accordée à Rock Hard cette petite nouvelle qui, nous ne le cachons pas, soulève néanmoins la question du « pourquoi une telle collaboration ? ».

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Metalanalyse   

Welcome 2 My Nightmare : entre tradition et modernité


Inutile de vous infliger de faux préliminaires ; ce que vous allez lire dans les lignes qui suivent est la critique du nouvel album d’Alice Cooper sorti le 12 septembre : Welcome 2 My Nightmare.

Mais avant tout, remontons un peu le temps. D’abord en 2009, quand, au cours d’une conférence de presse au Hellfest, Alice Cooper annonce pour la première fois préparer quelque chose qu’il n’a jamais fait : une suite à une de ses œuvres, l’album-concept Welcome To My Nightmare, et qu’il travaille à nouveau avec Bob Ezrin, le producteur derrière la grosse production de ce jalon de la carrière du Coop’.

L’album de 1975 s’est imposé depuis trois décennies comme une œuvre essentielle, quasi-parfaite, offrant une lente glissade dans la psyché de notre macabre maître de cérémonie, nous guidant dans son cauchemar avec sa voix à coller des frissons comme une main glaciale et squelettique qui vous entraînerait au fond d’une mare gelée à la faune inquiétante.

Groove nourri à la sauce soul et funk, titres rock fondés sur des riffs bien hard et la voix tranchante d’Alice, ou morceaux plus orchestraux dignes des Beatles, idoles du chanteur ; Welcome To My Nightmare, premier du nom, est surtout un réservoir à hits (« Black Widow », « Some Folks », « Only Women Bleed », « Department Of Youth »…) dans lequel Vincent Furnier puise toujours pour agrémenter ses shows spectaculaires tant l’album lui-même est déjà un théâtre musical passant d’une scène à une autre, croisant la route de nombreux personnages hauts en couleur.

Autant dire qu’Alice Cooper s’est lui-même mis dans un sacré pétrin en voulant offrir une suite à ce disque : un vrai défi à relever que de vouloir se surpasser (ou au moins s’égaler) soi-même dans ce qu’on a fait de meilleur – au moins, c’est ce qu’on attend de lui.

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Conférence De Presse   

Alice Cooper raconte son cauchemar…


Quelques heures avant de mettre le Hellfest à ses pieds, Alice Cooper a bien voulu organiser une petite conférence de presse. Radio Metal, et son armada de fouines, ne pouvait donc pas louper une si belle occasion de gratter quelques informations et a envoyé un émissaire se joindre à une petite poignée de confrères. Pourtant, la partie n’était pas gagnée, car comme nous l’expliquait Olivier Garnier, chargé de promotion, Alice Cooper ne voulait pas donner une conférence de presse pendant le show de Twisted Sister. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il aurait voulu que les journalistes aillent voir la bande à Dee Snider se la donner sur scène plutôt que de l’écouter divaguer. Alice avoue avoir un grand respect et une grande amitié pour Twisted Sister et en particulier son frontman.



Press Conference   

Alice Cooper talks about his nightmare…


A few hours before he put the entire Hellfest at his feet, Alice was kind enough to organize a small press conference. Radio Metal and its armada of snoopers could not possibly miss such a good opportunity to glean a few pieces of information and sent an emissary to join a handful of colleagues. The game, however, was not easily won: as Olivier Garnier, promotion manager, told us, Alice Cooper didn’t want this press conference to take place during the Twisted Sister show. Why, you ask? Because he wanted the journalists to go and see Dee Snider’s gang rock the stage rather than listen to his own ramblings. Alice confesses his great respect and friendship with Twisted Sister, and particularly with their frontman.

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