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Interview   

Devildriver : « la lumière vaincra l’obscurité »


Les démons s’acharnent sur Dez Fafara. Le dernier en date avait pour nom covid-19 et il a bien failli être fatal au chanteur, qui s’est vu mourir. S’il est désormais rétabli, il fait tout de même attention à sa santé, le virus lui ayant laissé quelques séquelles cardiaques. Mais comme toujours, Dez se relève plus fort. S’il est en pleine période de questionnement sur l’avenir de sa carrière, pour laquelle il devra prendre une décision le 1er janvier prochain, il sort aujourd’hui le second volet du diptyque Dealing With Demons, une suite et fin en apothéose de l’album sorti en 2020, en pleine pandémie.

Un album particulièrement noir et virulent en forme de catharsis, qui continue à rentrer un peu plus dans l’intimité du chanteur, à l’instar de l’entretien qui suit, complémentaire, à celui réalisé il y a trois ans. Il lève ainsi le voile sur un certain nombre de sujets personnels, tels que sa spiritualité, son rapport distant au monde de la musique, sa vision négative des gouvernements, les symboliques derrière Devildriver, etc. Nous évoquons évidemment aussi son combat contre le covid-19, les récents changements de line-up ainsi que le second retour de Coal Chamber qui va commencer par arpenter les scènes américaines cet été.

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Interview   

Devildriver ouvre les vannes


Après vingt-cinq ans de carrière, Dez Fafara a décidé de s’ouvrir. Avec Dealing With Demons premier du nom et son petit frère qui doit arriver plus tard, il purge une bonne fois pour toutes ses démons personnels et ceux qui rongent la société, les évoquant librement comme il ne l’a encore jamais fait. Le but : passer à autre chose, libéré de ce poids, ou peut-être s’arrêter. L’avenir le dira.

En tout cas, force est de constater que cette démarche est importante pour Dez Fafara qui ouvre les vannes, autant sur les choses qui lui pèsent dans sa vie, que sur la musique pour laquelle la directive était : « Mettez tout ce que vous avez à mettre, ne cherchez pas à tout prix à répondre aux attentes. » Voilà pourquoi Dealing With Demons Vol. I est aussi viscéral mais aussi propose quelques surprises, mais à en croire le frontman, ce n’est rien par rapport à ce qui nous attend avec le Vol. II.

Nous avons longuement échangé avec Dez Farara ci-après pour mieux comprendre sa démarche et évoquer certains de ces démons. Pour Dez c’était aussi l’occasion de marteler certains messages, notamment que c’est maintenant, en pleine pandémie, que les gens ont le plus besoin de musique, alors que, selon lui, de nombreux artistes ont repoussé leurs albums à l’année prochaine pour de basses considérations pécuniaires.

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News Express   

Dez Fafara déclare que COAL CHAMBER ne fera probablement plus de tournée ni de musique


Dez FAFARA déclare que COAL CHAMBER ne fera probablement plus de tournée ni de musique. Voir les détails…



Interview   

Devildriver : l’émancipation de Dez Fafara


Devildriver by Dan Santoni

Après trois années où il a pu passer du temps avec sa famille et faire une petite escapade studio avec Coal Chamber pour réaliser l’album Rivals, Dez Fafara revient ressourcé et revigoré avec Devildriver. Devildriver qui a d’ailleurs lui-même fait peau neuve puisque le batteur John Boecklin et le guitariste Jeff Kendrick ont tous les deux quitté le navire pour des problèmes relationnels qui ne pouvaient plus durer. Et on apprenait encore il y a peu le départ du bassiste Chris Towning, pour en arriver à un renouvellement presque total du groupe. Un renouvellement qui d’après Dez a fait du bien, à lui et à l’entité Devildriver pour en arriver à proposer aujourd’hui Trust No One, son septième album.

Un opus sur lequel Dez réfléchit au monde actuel mais aussi sur lui-même. Car Dez n’est aujourd’hui plus le même que dans ses jeunes années. Si de son propre aveu il a pu être un jeune homme stupide et casse-cou, sa vie est désormais bien rangée, extrêmement organisée et pudique. Il faut dire qu’il a trouvé sa muse, sa raison d’être dans sa femme et ses enfants qui sont devenus sa priorité aujourd’hui.

Dez nous parle donc de tout ceci, et plus encore puisqu’il évoque le manque d’audace des groupes de heavy metal actuels, sa passion pour la musique sans limite de genre ainsi que ses projets d’album rock ou de reprise de punk.

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News Express   

DEVILDRIVER avance sur l’enregistrement de son nouveau disque


DEVILDRIVER est entré en studio le mois dernier avec le producteur Mark Lewis (THE BLACK DAHLIA MURDER). L’enregistrement est désormais complet pour tous les instruments. Demeurent seulement les parties vocales de Dez Fafara pour que ce nouvel opus soit définitivement prêt.



Interview   

Dez Fafara (Coal Chamber) retourne au charbon avec le sourire


Dez Fafara by Oran Tarjan PhotographyLe moins que l’on puisse dire est que Dez Fafara est d’un enthousiasme sans failles et sans bornes au sujet de Coal Chamber et son dernier album Rivals qui sort dans quelques jours. Premier opus en treize ans, le groupe s’étant séparé en 2003 dans des conditions exécrables, pour finalement revenir en 2011 sous des relations largement apaisées. Plus que ça même, puisque Fafara nous raconte dans l’entretien qui suit à quel point la camaraderie est largement de retour dans le groupe, comme au premier jour. Toutes les conditions étaient donc réunies pour revenir avec un nouvel album dont Fafara n’est pas peu fier, estimant que le groupe a apporté un nouveau son, une musique différente, fraîche et qui va de l’avant, allant jusqu’à se dire qu’il pourrait bien montrer l’exemple auprès de certains de ses pairs parmi les groupes de neo metal qui ont émergés, comme eux, dans les années 90 et qui sont encore en activité aujourd’hui.

Et c’est naturellement, en plus de parler de cette reformation et la conception de cet opus, que la discussion dévie à la fin sur son sentiment par rapport à la scène actuelle. Quelques mots également sur son autre groupe Devildriver qui prépare actuellement son septième album, dont douze chansons sont déjà écrites et qui devrait voir le jour au printemps 2016.

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Nouvelles Du Front   

Dez Fafara : encore un p’tit Coal Chamber pour la route


« Je veux seulement sortir un peu avec Coal Chamber, je veux sortir avec cette fille. Je veux aller prendre un verre avec elle et voir comment ça se passe. » Et maintenant, ils vont peut-être faire un petit… Ces mots étaient ceux de Dez Fafara il y a un an. A ce moment-là, on pouvait s’étonner que le chanteur ait accepté de reformer son ancien groupe mais on ne pouvait pas espérer que ça aille plus loin. Pas question, disait-il. Déjà assez à faire avec DevilDriver. Mais peut-être s’ouvre-t-il désormais à la polygamie.

Après une séparation qui a duré huit ans, principalement à cause des problèmes de drogues de Cox et Rascon, Fafara doit sentir que la matrice de ses vieux acolytes est à nouveau saine et qu’on pourrait bien y faire pousser un nouveau disque. C’est ce qu’il a laissé entendre, le 9 octobre dernier, lors d’une interview avec une radio du Michigan.

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Interviews   

Dez Fafara (DevilDriver) has coffee with his ex


However firm you can be about the impossibility of your old band ever reforming, of ever playing this or that song or of seeing this or that musician ever returning, a door always remains open. History has proven this fact many a time, to the great displeasure of those who have absolutely no desire to yield and really never will, and who are still condemned to being asked the question anyway, “just in case”. Too strong an assertion would be seen as an emotional reaction and lose any credibility. Too composed a statement would create another type of reaction: “There’s no animosity between them, so it is possible!” In the end, it’s probably best not to say anything. But even then…

Because some separations happen in a very emotional context, it is logical that some bands should declare, driven by their current anger, that they will never reform. But after this legitimate and rational reaction, you start seeing things differently.

It’s the case for Dez Fafara and Coal Chamber, who intend to give a few shows at the beginning of 2012. Although Devildriver is now his priority and he remains adamant regarding his desire to not take on too much, the following statement during the present interview is slightly more moderate: “I want to go on a date with this girl. I want to have a drink with her and see how it goes. I’ll treat her to dinner in Australie and if all goes well, maybe we can see each other again”. You know as well as we do, dear readers, that sometimes, a simple cup of coffee with an ex can get out of control… More seriously, if Dez rejects the possibility of Coal Chamber going back to the studio, it seems likely that few show in 2012 shall not be the last.

Among the information gathered during this interview, conducted on the occasion of Devildriver’s tour as Machine Head’s opening act, there’s the fact that the band have already started to write a new album, and a few hints regarding Dez’s collaboration with Mark Morton (Lamb Of God), where the frontman will evolve in a different vocal range, close to that of… Soundgarden!

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Interview   

Dez Fafara (DevilDriver) prend un café avec son ex


Quelle que soit la fermeté avec laquelle on parle de l’impossibilité d’une reformation de son ancien groupe, d’une interprétation de tel ou tel titre ou du retour de tel ou tel musicien, une porte reste toujours ouverte. L’histoire l’a prouvé à maintes reprises, au grand dam de ceux qui n’en ont aucune intention et qui ne le feront vraiment jamais, par conséquent condamnés à ce qu’on leur pose la question, « au cas où ». L’affirmer trop fermement serait un signe de réaction émotionnelle et décrédibiliserait la portée du propos. Le faire trop posément générerait d’autres réactions : « Il n’y a donc aucune animosité entre eux. C’est donc possible ! ». Mieux vaut ne rien dire finalement. Et encore…

Certaines séparations s’étant faites dans l’émotion, il est normal que certains groupes, dans la colère du moment, déclarent qu’ils ne se reformeront jamais. Passée cette réaction légitimement irrationnelle, on envisage les choses différemment.

C’est le cas de Dez Fafara et de Coal Chamber, qui comptent faire quelques concerts début 2012. Il a beau avoir fait de Devildriver sa priorité et être catégorique sur son refus de s’éparpiller, cette déclaration au cours de la présente interview est déjà plus mesurée : « Je veux sortir avec cette fille. Je veux aller prendre un verre avec elle et voir comment ça se passe. Je vais lui payer un dîner en Australie et si ça se passe bien, on pourra peut-être se revoir ». Mesdames, mesdemoiselles et messieurs qui nous lisez, vous savez que, parfois, un simple café avec son ex peut déraper… Plus sérieusement, si la possibilité pour Coal Chamber de rentrer à nouveau en studio est écartée par Dez, il semble tout à fait possible que ces quelques concerts du groupe en 2012 ne soient pas les derniers.

Entres autres informations glanées lors de cette interview au cours de la tournée de Devildriver en première partie de Machine Head, le fait que le groupe a déjà commencé à écrire un nouvel album et quelques indices sur la collaboration de Dez avec Mark Morton (Lamb Of God) où l’on entendra le frontman évoluer dans un registre vocal différent puisque proche de… Soundgarden !

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Nouvelles Du Front   

Dez Fafara (Devildriver) : un diable sur tous les fronts


Reformer Coal Chamber pour du live, continuer à faire des albums avec DevilDriver et mettre en place un nouveau projet avec le guitariste de Lamb Of God Mark Morton : voici les objectifs actuels de Dez Fafara, le frontman de DevilDriver. Un beau programme en perspective pour l’infatigable chanteur. Ainsi, dans un récent entretien accordé à MyYearbook, Dez Fafara s’est tout d’abord exprimé sur la possibilité d’une réunion avec ses ex-compères de Coal Chamber. Mais, dans l’esprit du chanteur, cette reformation serait plutôt tournée vers la scène.

« Je voudrais faire des concerts avec eux, absolument. » confie le frontman au cours de cet entretien. « Ca va faire 10 ans et nous avons mis le passé derrière nous. Meegs (Miguel « Meegs » Rascon, guitare) et mon batteur Mike (Cox) ne prennent plus de drogues dures. La raison pour laquelle j’ai quitté Coal Chamber était liée au fait qu’ils prenaient des methamphétamines et je n’étais pas en phase avec ce genre de trucs. J’ai une famille et je ne consomme pas de drogues dures.

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