Quel angle singulier que celui assumé par Ultra Vomit : cultiver l’autodérision, la parodie et l’amour du metal sous toutes ses formes. Avec Nicolas Patra (alias Fetus) comme « entité miroir », Ultra Vomit singe avec succès les grands noms du top 50 en passant par Gojira, Motörhead, Rammstein, etc. Si, avec les premières démos des années 2000 jusqu’à l’album Panzer Surprise de 2017, le groupe hexagonal s’est avant tout forgé une identité qui résonne avec allégresse et humour, il est important de constater qu’Ultra Vomit ne fait pas pour autant l’économie d’une réelle recherche qualitative en matière de son, de production et surtout de mimétisme vocal.
Le lendemain de leur second passage au Hellfest lors de l’édition 2019 sur la Mainstage, nous avons eu la chance de nous entretenir avec Fetus sur son approche du chant, notamment au regard de toutes les imitations qu’il façonne au fur et à mesure des concerts. Comment articule-t-il ses différentes voix ? Comment les entretient-il ? Quelles sont les conséquences somatiques de la parodie ? Fetus nous partage ses influences les plus anciennes avec Kurt Cobain, la culture du grindcore, et nous livre l’évolution surprenante de son ressenti et de son approche du chant clair et saturé au fil des années.
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