Les temps ont changé dans l’industrie musicale, ce n’est un secret pour personne. Et un groupe comme The 69 Eyes le sait plus que quiconque en constatant et en subissant directement les effets. « Je n’ai aucune idée de qui achète des CDs, […] la maison de disque n’empêche pas de créer le CD comme il doit l’être, mais […] parmi nos fans, je ne sais pas du tout qui l’achètera, » se questionne le chanteur Jyrki 69, avouant par ailleurs que le groupe est revenu « à cette même position où nous étions il y a seize ans » et que « le fun, évidemment, c’est maintenant terminé. »
Ce qui ne leur a pour autant pas ôté le goût de la musique et la création, au contraire. S’adaptant au contexte, ils en ont profité pour justement tenter de renouer avec le jeune The 69 Eyes des albums Blessed Be (2000) et Paris Kills (2002), de retrouver ces moments magiques auprès du producteur Johnny Lee Michael qui ont façonné le son du groupe tel qu’on le connaît aujourd’hui, sans avoir à subir de pression.
Jyrki 69 a pris son temps pour nous parler de ces retrouvailles, le contexte dans lequel elles se sont faites, avec quelques rappels historiques, et l’album qui en a résulté, baptisé Universal Monsters. Et très vite l’album devient prétexte à maintes autres sujets comme le vieux cinéma d’horreur et ses monstres auxquels le groupe finlandais s’identifie, son amour pour la France, sa fascination pour la ville de Jérusalem et ce que ça signifie, réellement, que d’être un rebelle.
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