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Interview   

Little Caesar : une carrière en grand huit


Si les plus grandes maisons de disques ont su propulser certains groupes dans l’Olympe du rock n’ roll, elles ont tout autant pu se rendre responsables de naufrages quasi-homériques. Little Caesar est le modèle type du groupe promis à une grande carrière, avec un démarrage des plus prometteurs, signé sur la major Geffen Records, produit par le légendaire Bob Rock, soutenu par les pontes de l’industrie qu’étaient John Kalodner et Jimmy Iovine, avant que tout ce beau monde n’entre dans des bagarres, se vautrent dans l’égocentrisme et le cynisme, et se prennent les pieds dans le tapis des rachats de marque. Ajoutons à cela une industrie du rock en pleine transition entre les années 80 et 90. Heureusement, modestement, après une reformation dans les années 2000 par amour de la musique, Little Caesar est toujours là.

S’il nous parle dans un premier temps du nouvel album Eight, et son blues rock chaleureux et authentique, c’est finalement cette histoire de Little Caesar, à la fois rageante et passionnante, que nous raconte le chanteur Ron Young ci-après. D’une session d’écoute où Young aurait peut-être mieux fait d’éviter de l’ouvrir, à un Gene Simmons ravalant ses paroles au sujet du bien fondé de porter le bouc ou pas, en passant par des secrétaires effrayées par le look du groupe… le récit du frontman est riche en enseignements et anecdotes ! Et cerise sur le gâteau : il termine en nous racontant son expérience éphémère d’acteur, lui valant de fracasser une queue de billard sur la nuque d’Arnold Schwarzenegger dans une célèbre scène de Terminator 2…

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Frontiers Records: A melodic passion


Frontiers Logo

Most of the time, in the world of music, the word “fan” is associated with people who like an artist. It’s less often associated with a record company, a commercially-minded entity that provides a base for musicians who come and go (almost) as they please. And yet, it is that very word that Mario De Riso, marketing director of Frontiers Records, uses to talk about the people who show an interest in his label as a whole. And it’s precisely to kindle these fans’ passion that the record company has decided to create their own festival, the Frontiers Rock Festival, whose second edition took place at Trezzo’s Live Club, near Milan (Italy), on April 11th and 12th.

There’s nothing surprising there: Frontiers Records are one of those labels that have built an actual trademark, a true individual spirit. Hard rock, classic rock, AOR, so-called melodic rock and metal, even heavy metal with 80s roots and a certain fringe of progressive rock – that’s the DNA of the Frontiers Records stable. Some people have grown attached to this line of conduct, and they trust the label to discover new talents or follow certain big names.

We were lucky to conduct an exclusive interview with Mario De Riso ahead of the festival to talk about the big event, but also about the label, its spirit, and its favorite music, to try and understand better what Frontiers Records stands for.

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Frontiers Records : la passion mélodique


Frontiers Logo

En général, dans le monde de la musique, on parle de « fans » pour désigner les gens qui apprécient un artiste, rarement ce terme est associé directement à un label ou une maison de disque, entité à connotation commerciale qui regroupe un vivier d’artistes qui vont et viennent. Pourtant, c’est bien ce terme que Mario De Riso, le directeur marketing du label Frontiers Records, emploie pour parler de gens qui s’intéressent au label dans son ensemble. Et c’est d’ailleurs pour ces fans, pour faire vivre leur passion, que ce dernier a décidé de monter son propre festival, le Frontiers Rock Festival qui se tiendra pour sa seconde édition les 11 et 12 avril prochain au Live Club de Trezzo près de Milan, en Italie.

Rien d’étonnant à tout cela, Frontiers Records fait aujourd’hui partie de ces labels qui ont réussi à construire une marque de fabrique, un esprit qui leur est propre. Le hard rock, le classic rock, l’AOR, le rock et le metal dit mélodique et même ce heavy metal qui trouve ses racines dans les années 80 et une certaine frange de rock progressif, voilà ce qui fait la couleur de l’écurie Frontiers Records. Et c’est à cette ligne de conduite que des gens se sont attaché et font aujourd’hui confiance pour découvrir de nouveaux talents ou suivre certaines références.

Nous avons eu l’occasion en exclusivité, en amont du festival, de nous entretenir avec Mario De Riso pour parler de l’événement mais aussi du label lui-même, son esprit, sa musique de prédilection, etc. pour mieux comprendre ce qu’il est et représente.

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Uriah Heep will never stop travelling


… first of all because they get most of their inspiration from the places they get to see on tour, not contenting themselves with wandering around in the hotel room or the concert hall. But most of all, because Uriah Heep doesn’t plan on retiring from doing music anytime soon, as long as there’s someone to listen to them. At least, for now: the band does not plan anything in the long term, same as for their guitarist Mick Box.

We had a chat with him for the release of their latest album Into The Wild, the title symbolising what it means for the band to release new songs to the world. Uriah Heep has been moving forward for the past 40 years without pressuring themselves in any particular way, specifically concerning the renewal of their musical style, which is useless according to Mick Box: don’t end up being second best by trying to adapt to what is being done at any given moment! By the end of this interview, the guitarist will also tell us about his will to play more often in France

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Uriah Heep ne s’arrêtera jamais de voyager


… tout d’abord parce que c’est de ses voyages au cours des tournées que le groupe tire son inspiration, ne se contentant pas de simplement flâner dans la chambre d’hôtel ou dans la salle de concert. Mais surtout, parce qu’Uriah Heep, n’a aucune intention de s’arrêter de faire de la musique, tant qu’il y aura un public pour les voir. Du moins pour l’instant : le groupe ne planifie rien à long terme, à l’image de son guitariste Mick Box.

Nous nous sommes entretenus avec ce dernier, à l’occasion de la sortie de l’album Into The Wild, au titre symbolisant ce que représente pour le groupe le fait de dévoiler de nouveaux morceaux au public. Uriah Heep suit son bonhomme de chemin depuis 40 ans sans se mettre de pression particulière, notamment concernant le renouvellement de son style, inutile selon Mick Box : ne soyez pas d’éternels seconds à essayer de vous adapter aux tendances du moment ! Le guitariste nous parlera également, en fin d’interview, de son regret de ne pouvoir jouer plus souvent en France.

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SPEED METAL TAKES A KISKE IN THE ASS


Lazy, Michael Kiske? Maybe a little: “Sometimes I need to be pushed a little”, he confessed himself several times during the interview, implying that he might have been much less productive if he hadn’t been prodded. He notably mentioned the dynamism of Frontier Records, an “old school” label which, according to Helloween’s former vocalist, works on a passion basis.

Michael Kiske’s apparent composure doesn’t keep him from being adamant. The man never loses patience when journalists or fans ask him whether he’ll go back to speed metal: the question is only natural, even if, at first, he went through a real repulsion phase, because of “too many bad experiences”. But his answer is definitive: it won’t happen, and he no longer likes it. His appearances as a guest start, most notably during Avantasia’s upcoming tour, are the only things speed fans can hope for.

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Kiske t’as ?! Il te revient pas mon speed metal ?!


Tire au flanc, Michael Kiske ? Peut-être un peu ! « Parfois j’ai besoin qu’on me pousse un peu », nous avouera-t-il plusieurs fois au cours de la présente interview, sous-entendant qu’il aurait peut-être été beaucoup moins productif si on ne l’avait pas relancé. Il évoque notamment le dynamisme de Frontiers Records, un label « à l’ancienne » qui, d’après l’ancien chanteur de Helloween, fonctionne au coup de cœur.

L’apparent flegme de Michael Kiske ne l’empêche pas d’être catégorique. Il ne perd jamais patience lorsque presse et fans lui demandent « est-ce que tu vas rejouer du speed ? » : il est normal de poser la question, même si, au début, il est passé par une véritable phase de répulsion, suite à « trop de mauvaises expériences ». Mais sa position est définitive : cela n’arrivera pas et ce n’est plus ce qu’il aime. Ses apparitions en tant que guest star, comme ce sera le cas sur la prochaine tournée d’Avantasia, seront donc la seule chose que pourront se mettre les fans de speed sous la dent.

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