Nashville Pussy n’est pas le genre de groupe dont on a le temps de ressentir le manque : après la réédition en 2012 de leur album From Hell To Texas accompagné d’un live tout neuf, la bande d’Atlanta était en Europe l’été dernier, a pris le temps de sortir un nouvel opus cet hiver, et à quelques semaines du printemps revient arpenter le Vieux Continent avec une couche généreuse de dates en France et une setlist dopée par les nouvelles chansons d’Up The Dosage. Mais cela n’empêche pas le public, tout sauf blasé ou repu, de revenir en masse demander sa dose régulière.
Dans la queue qui s’allonge, s’allonge et s’allonge devant le Ninkasi, à Lyon, un peu de cheveux allant du grisonnant au carrément blancs, des blousons noirs qui ont dû connaître AC/DC sur scène du temps de Bon Scott, mais, comme on pourra le constater, cela ne changera rien pour certains à la façon de vivre un concert. Enfin, quel que soit l’âge, pas mal de T-shirts Motörhead et Nashville Pussy (bien sûr) sous des vestes patchées… Cela indique bien quel type de musique étaient venus chercher les spectateurs. Et si un certain côté « sudiste » parcourt le son du groupe de première partie, God Damn, il ne paraît pas évident que cette foule se soit aussi déplacée pour les Lyonnais.
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