On pourrait qualifier Gone Is Gone de « supergroupe » sans peine, même s’ils réfutent ce terme et parlent plutôt d’expérience et de collaboration. Un groupe formé il y a déjà quelque temps. À l’origine, le claviériste-guitariste Mike Zarin et le batteur Tony Hajjar (At The Drive-In) enregistraient déjà des pistes pour servir de bandes originales (notamment celle du jeu Splinter Cell Blacklist). En 2012, ils décidèrent dans un premier temps d’intégrer Troy Van Leuuwen (Queens Of The Stone Age, A Perfect Circle…) puis Troy Sanders (Mastodon) afin de donner vie à leurs compositions. Après avoir enregistré plusieurs titres, ce n’est que cette année que le groupe a annoncé sa « naissance » officielle, prêt à se confronter à la scène. L’objectif du combo est limpide : pouvoir composer librement sans altérer les projets de chacun et ce pour n’importe quel média. Avec un tel pedigree, on est en droit de se demander quelle forme va prendre ce groupe décrit comme « expérimental ». Leur premier EP (8 titres) éponyme confirme qu’effectivement Gone Is Gone est un melting pot d’influences assez singulier.
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