Si le monde du sport a pleuré certains de ses athlètes en début de semaine dernière, en fin de semaine, c’est le monde de la culture qui a enfilé son brassard noir, souffrant du départ de deux artistes, deux créateurs de mondes. D’abord l’écrivain anglais Terry Pratchett, auteur des aventures hautement fantaisistes dans le Disque-Monde, immédiatement suivi par le musicien, chanteur et poète d’origine australienne Daevid Allen, fondateur du groupe Gong. Si le monde a semblé plus gris les jours suivants, c’est sans doute parce que sans ces esprits hauts en couleurs, c’est un peu d’excentricité qui s’en est allé, en particulier avec le second.
Daevid Allen était un de ces « freaks », un de ces marginaux comme il en poussait dans les années 60, mais plus encore il était un de ces artistes qui, dans le monde des musiques pop de cette époque, ont dépassé les limites de la créativité, jusqu’au loufoque, parmi des Zappa, Captain Beefheart, Screaming Lord Sutch ou, l’un des derniers survivants de cette espèce, son ami Arthur Brown. Mais Daevid Allen n’est plus. Il est reparti pour la planète Gong où volent les théières et où l’attendent Pot Head Pixies, Octave Doctors ou un héros appelé Zero. C’est à 13h05, vendredi 13 mars 2015, en Australie, chez lui, que l’artiste s’est éteint paisiblement, entouré de ses fils, à l’âge de 77 ans.
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