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Interview   

Pat O’May, un mec qui vit du hard rock


Il est toujours surprenant qu’il soit possible de totalement passer à côté de la carrière d’artistes qui existent depuis des décennies. Nous devons bien vous l’avouer, nous n’avions jamais entendu parler de Pat O’ May avant d’assister à son excellente prestation au Nancy On The Rocks. Un show enthousiasmant car nous y voyions des musiciens talentueux, charismatiques et qui véhiculaient un plaisir communicatif à jouer ensemble et sur scène. Pat O’ May, c’est du hard/blues à l’ancienne, avec une grande part d’improvisation et de jams toujours inspirées.

Nous avons souhaité en savoir plus sur lui et par la même occasion, vous présenter ce personnage. Car peut-être que vous aussi étiez passés à côté, ce dont nous doutons bien évidemment, car cela signifierait que vous êtes tout aussi incompétents que nous. Pat O’ May, c’est un bonhomme sympathique qu’il est intéressant d’écouter parler. Dans sa musique, il aime raconter des histoires. Entretien plein d’espoir car, mine de rien, entre ses diverses collaborations (notamment pour l’émission Thalassa) et son projet solo, il arrive à vivre de sa musique. L’espoir est aussi présent dans son regard sur la scène metal, qu’il voit, sur la base de son expérience, mieux acceptée que par le passé.

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Interview   

Stephan de guitare, écoute Anarchy X !


Si sa réputation de guitariste virtuose n’est plus à faire, c’est la première fois que Stephan Forte (Adagio) réalise un véritable album solo (intitulé The Shadows Compendium), résultat de plus de trois ans de travail. Pour autant, il n’est pas la seule vedette de ce disque, puisque nombre de prestigieux guitaristes ont été invités à venir s’y exprimer. Des musiciens tous aussi talentueux les uns que les autres, chacun dans un style de jeu bien distinct : de Mattias IA Eklundh (Freak Kitchen) à Glenn Drover (Megadeth) en passant par Jeff Loomis (ex-Nevermore). Phil Campbell (Motörhead) était lui aussi prévu sur ce disque, mais n’a pas pu y participer pour raisons personnelles. D’après Stéphan, que nous avions en interview dans Anarchy X le 22 novembre dernier, ce n’est que partie remise, puisqu’il envisage très sérieusement une suite.

Nous en avons également profité pour faire le point sur son groupe Adagio, dont l’actualité, bien que moins immédiate, méritait d’être abordée. Peu avant son décès, Patrick Roy avait mis en contact le groupe avec l’orchestre de Lille dans l’objectif d’une collaboration musicale. Stéphan Forte s’inquiétait, avec le décès du député à la veste rouge, que ceux qui s’étaient engagés à travailler avec Adagio se désistent. Mais il nous promettait également de tout faire pour réaliser ce disque en hommage à M. Roy, quitte à « aller frapper à la porte de Frédéric Mitterrand ». Nous avons aussi abordé les turbulences connues par Adagio avec ses chanteurs, dont certains sont décrits de manière peu flatteuse dans cette interview. C’était l’occasion de faire le point sur le line-up et sur l’avenir du groupe.

NDLR : la rédaction de Radio Metal nie toute responsabilité quant à la piètre qualité du jeu de mots en titre de cet article, la responsabilité incombant entièrement à son auteur. Merci de votre compréhension.

Réécouter l’interview et lire la retranscription…



Vide(o)rdure   

La meilleure façon de rouler…


Chanson scoute (ou presque) : « La meilleure façon d’rouler, c’est encore la leur, c’est d’poser une battoche et une gratte sur un side-car et d’partir jouer. »


On imagine que ce motard n’avait pas trouvé le moyen d’installer un auto-radio sur sa bécane. Du coup, il a dû faire preuve de plus d’ingéniosité.

Apparemment, les gars s’appelleraient « Les Musiciens de Brême » (merci Goût d’Gueule Traduction) et le propriétaire de la moto, monsieur Alexander Ishutin en avait marre de ne plus voir dans des salons de la moto des véhicules modifiés de manière inhabituelle comme il avait l’habitude d’en voir dans les années 90. Avec plus d’1,2 millions de vues sur YouTube en trois jours, espérons que le message sera bien passé. Keep on rockin’, keep on rollin’, Alexander !



Interview   

L’amour de la guitare par Lâg


Il s’en est passé, des choses, au stand Lâg lors du Hellfest 2011. Nombreux ont été les artistes, attisés par la curiosité de ce stand de guitares tels des gosses dans un magasin de jouets, qui se sont installés pour faire quelques essais. C’est ainsi que les frères Cavanagh (Anathema) ont improvisé un mini set acoustique dont seuls les privilégiés des loges ont pu profiter. La veille, Phil Anselmo (Down) s’était vu purement et simplement offrir une guitare pour son anniversaire !

Pour la plupart de ces artistes, cela a été le coup de foudre, qui s’est concrétisé par un deal avec la marque. Nous nous sommes entretenus avec Jocelyn Diot, directeur des ventes à l’international de la marque, qui nous a décrit une entreprise qui pèse lourd mais qui a gardé sa dimension humaine et, surtout, son amour pour les guitares. Guitares que leur collaborateur Stephan Forte (Adagio) décrira comme étant « un travail d’orfèvre ».

Entretien…



Live Report   

Jamais je n’avais entendu un tel silence dans une salle de concert


Il y a des artistes qu’il est urgent et même vital de faire découvrir. Une ligne éditoriale, face à une telle nécessité, doit s’effacer. Désolé, mais le fait qu’il ne s’agisse pas d’un artiste metal n’est pas une excuse suffisante pour m’arrêter.

Andy McKee est un guitariste américain s’étant fait connaître via Youtube et une vidéo de lui en train d’exécuter le titre ci-après, « Drifting » (vue près de 38 000 000 de fois), sur lequel il utilise sa guitare d’une manière originale, s’en servant de percussion tout en jouant une mélodie. Techniquement, c’est bluffant. Car, même si l’on met à part l’aspect percussion, les parties de guitare elles mêmes sont d’une telle richesse que l’on a l’impression qu’il est accompagné d’un second guitariste, d’un bassiste et parfois même d’un pianiste. Comment fait-il ? Simple (du moins, à expliquer, à jouer, c’est une autre histoire) : il comble les trous. Chaque espace que lui laisse une partie rythmique lui permet de placer un lead et inversement.

Lire le récit du concert…



Potin   

Gavin Harrisson, le batteur qui a tout compris à la musique


L’actuel batteur de Porcupine Tree, ayant aussi officié par le passé chez King Crimson, n’est pas du genre démonstratif, bruyant ni très visuel. Non pas qu’il n’en ait pas la capacité, bien au contraire. Il n’en a juste pas envie. Harrisson impressionne surtout par l’extrême richesse des nuances qu’il met dans son jeu. Lorsqu’on tend bien l’oreille, il se passe toujours quelque chose.

Gavin Harrisson ne pense pas qu’à rendre son jeu intéressant. En véritable compositeur, il pense à l’harmonie globale d’un morceau. C’est pourquoi se mettre à jouer de la basse a constitué pour lui une véritable leçon. Des propos qui me rappellent ce que m’avait un jour dit un ami bassiste évoluant dans un registre jazz et que je souhaite partager avec vous ici. Comme il considérait la basse comme le parfait compromis entre les aspects rythmiques et mélodiques de la musique, il avait pris des cours de guitare et de batterie afin de mieux comprendre le rôle de la basse. Il faut certes avoir les moyens de le faire mais cela reste une expérience que j’encourage. Anecdote personnelle : l’autre jour, le bassiste de mon groupe s’est assis à ma place derrière les fûts et a joué avec les autres une de nos compos. Il a joué certains passages du titre d’une manière totalement différente et, il faut l’avouer, bien plus pertinente. A refaire, donc !

C’est pourquoi un clinic avec Gavin Harrison prend toute sa dimension originelle de conférence présentant la réflexion d’un artiste sur un ou plusieurs aspects de la musique plus que ce que la pratique des clinics en a fait, à savoir la démonstration de tel ou tel plan suivi de quelques conseils pratiques pour bien l’exécuter.

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Interview   

Y’a(nn) Armellino ce soir sur Anarchy X !


A l’occasion de la sortie de son nouvel album Revisited, l’éclectique guitar hero français Yann Armellino, naviguant entre le blues et le hard rock, sera notre invité téléphonique dès 20h30. Un nouvel album essentiellement composé d’anciens titres, mais qui contient également quelques nouveautés, à découvrir ce soir si ce n’est pas déjà fait (ce qui serait tout de même honteux) !

Vous pourrez réagir et poser vos questions sur le chat ou directement à l’antenne par skype (pseudo : radiometal) ou par téléphone (09 77 21 75 22).

A noter que ce soir à 21h aura lieu le tirage au sort du concours Radio Metal/Chaosphere, qui vous permettra au gagnant de remporter un produit de son choix de la boutique Chaosphere.

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Potin   

Respectez vos instruments ou sinon…


Quelle époque que la fin des années 60 ! Les rues de San Francisco baignaient dans le LSD et un nuage de fumée au parfum de marijuana flottait au dessus de Woodstock. Jimi Hendrix enflammait sa guitare à Monterey et Pete Townshend explosait la sienne sur la scène du plus grand festival de tous les temps. Eh bien, mal leur en a pris !

Le guitariste des Who aurait raconté au site Glossynews.com (j’use bien du conditionnel car le site ne semble pas se vanter de son extrême sérieux) qu’en septembre dernier, l’esprit de toutes les six-cordes broyées au cours de sa carrière auraient décidé de se venger d’années de massacres, en concentrant leur rancœur dans le fantôme d’un des pères de la guitare électrique : Les Paul !

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Guitare en plastique et vrai record


Il y a plusieurs façon de se servir d’une guitare. Bien sûr, on peut s’en servir pour jouer de la musique. Le souci, c’est que ça demande beaucoup de temps pour savoir seulement en faire quelque chose d’au moins potable. Il faut donc parfois se pencher sur des méthodes nécessitant moins de matière grise. Ainsi une guitare peut servir d’objet contondant (ce n’est pas pour rien qu’on surnomme « hache » cet instrument), d’accessoire de déco pour montrer qu’on aime la musique même si on n’y connait fichtrement rien ou encore à bien d’autres usages que la décence m’empêche d’énumérer ici.

Cependant, pour celles et ceux qui voudraient quand même se sentir l’âme d’un grand guitariste sans tous les efforts que cela implique, l’industrie du jeu vidéo a inventé Guitar Hero. Évidemment, Kerry King comme d’autres considèrent que c’est une véritable perte de temps et que, tant qu’à passer des heures avec une guitare dans les mains, autant tâter d’un vrai instrument.

Oui, mais ce n’est pas toujours aussi amusant et je doute que Kerry King apparaisse dans le Guinness Book des Records comme c’est le cas pour Annie Leung.

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Après tout, ça sert à quoi un médiator ?


Parce qu’on n’a pas toujours sous la main les parties intimes d’une poupée asiatique en sous-vêtements satinés, Peta Lukacs a dû se creuser la tête pour trouver comment jouer quand même de la guitare quand on se retrouve en panne de médiator. Regardez autour de vous ; tout peut servir à chatouiller les six cordes : une balle de tennis, une brique de jus de fruits, une chaussure de femme, une assiette, un aspirateur…


Évidemment, la carafe n’offre pas les mêmes possibilités artistiques que l’aspirateur et à mesure que s’égrainent les 362 secondes (oui, je les ai comptées), la grande question n’est plus tant comment faire pour jouer sans médiator mais plutôt : que fait-il avec avec un tel bazar dans son home studio ?



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