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Interview   

Final Light : Cult Of Perturbator


C’est devenu une marque de fabrique : le Roadburn Festival est un créateur de rencontres et de collaborations fascinantes. La dernière en date : celle entre James Kent, l’homme derrière le projet Perturbator, et Johannes Persson, le leader de Cult Of Luna. Une rencontre improbable… ou peut-être pas tant que ça quand on connaît leurs univers respectifs et qu’on constate le naturel du résultat. Chacun est fan de l’œuvre de l’autre, mais ça ne suffit pas : il faut qu’une alchimie se crée, et force est de constater qu’entre James et Johannes, ça a tout de suite collé. Conçu à l’origine en deux mois pour être produit sur scène lors du Roadburn 2020, Final Light a finalement profité de la pandémie pour parfaire ses six premiers morceaux qui constituent le premier album, pour enfin le présenter au public cette année, accompagné des batteurs Mehdi Thépegnier et Dylan Hyard.

Alors que le premier était en vacances à Seattle et le second chez lui en pleine préparation du dîner pour ses enfants, nous avons interrogé James Kent et Johannes Persson pour en savoir plus sur le projet, son approche, son processus, mais aussi la personnalité des deux musiciens qui, là encore, se rejoignent sur bien des points.

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News Express   

FINAL LIGHT (avec PERTURBATOR et Johannes Persson de CULT OF LUNA) dévoile la nouvelle chanson « In The Void »


FINAL LIGHT, le projet de James Kent de PERTURBATOR et Johannes Persson de CULT OF LUNA, sortira son premier album, intitulé Final Light, le 24 juin 2022 via Red Creek. En savoir plus …



Interview   

Perturbator face à ses vices


Perturbator est un musicien libre. James Kent a choisi les voies électroniques pour s’exprimer artistiquement, en étant initialement axé années 80 et en composant sa musique comme s’il composait du metal. Nous connaissons le résultat : Perturbator est un hybride, un son électro avec une philosophie comparable à celle des musiques extrêmes. Prenant le risque d’être renié dans les deux styles, c’est paradoxalement ce qui a fait son succès. L’artiste n’a ainsi nul besoin de répondre aux attentes d’un public en particulier lorsqu’il expérimente différentes facettes de sa musique. En d’autres termes, Perturbator n’a les mains liées que par ses propres exigences puisqu’il ne pourrait trahir que les codes qu’il s’est lui-même amené à établir. Pour autant ce dernier donne un véritable sens à ses projets divers et si Lustful Sacraments dénote du reste de sa discographie, le nouvel opus reste dans ce qu’il nommera « l’ADN Perturbator », contenant cette musique angoissante et oppressante dissimulée sous un faux-semblant chaleureux et dansant.

Retournant dans les années 80/90, le compositeur oriente sa nouvelle proposition vers les terrains de la coldwave, du post-punk et de la musique gothique en accaparant son langage. Une idée qui lui trottait en tête depuis plusieurs années en vérité, s’inspirant finalement de ce qu’il écoute au quotidien, voir depuis son enfance. Également féru de black metal, Lustful Sacraments contient un noyau thématique proche de cette musique : il y est question de luxure, de vices, d’un sentiment antireligieux mais surtout d’introspection et de regard personnel sur ces mêmes questions. Le compositeur nous a raconté tout cela en toute simplicité lors de notre dernière conversation avec lui, y allant même de son lot de recommandations musicales.

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Interview   

Perturbator : au-delà de la vague


James Kent, alias Perturbator, 24 ans, s’est rapidement retrouvé au-devant de la scène metal mais pas pour ses guitares saturées. Même si ses débuts dans la musique l’ont fait parcourir les scènes hardcore et black metal, son rayonnement fut atteint par sa musique électronique. Après quatre albums teintés d’une esthétique années 80 certaine, son nouvel EP, New Model, montre une envie de s’en défaire pour ouvrir ses horizons. Car la synthwave, comme on l’appelle, a non seulement fini par faire partie, étrangement, du paysage metal mais l’également dépassé en atteignant le grand public et la vague de nostalgie des annéers 80 qui envahit l’audio-visuel.

Juste après son retour d’une vaste tournée aux États-Unis, et juste avant son départ pour Las Vegas où il a ouvert pour le réalisateur John Carpenter, nous avons pu longuement nous entretenir avec James qui nous parle de son parcours, ses inspirations, ses passions, ses opinions sur la musique… Tout cela venant d’un outsider, jouant de la musique électronique, devant un public le plus souvent metal.

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    Metallica @ Saint-Denis
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