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Interview   

Koritni : le hard rock australien adopté par la France


Lex KoritniKoritni fait partie de la longue lignée australienne du rock n’ roll et l’incarne à merveille. Il suffit d’entendre le nouvel album du combo, Night Goes On For Days, pour s’en convaincre, avec ses relents bluesy, ses refrains à chanter à tue-tête, ses odes à la vie, à la fête et au rock. Koritni fonce tête baissée, proposant presque chaque année un nouvel album, qu’il soit studio ou live, depuis 2007, venant régulièrement à la rencontre de ses fans, y compris – et surtout – dans l’hexagone où on a l’occasion de le voir régulièrement. Et pour cause, Koritni a une relation toute particulière avec la France où le chanteur Lex Koritni a élu domicile. C’est ainsi qu’on a souvent vu le guitariste Manu Livertout faire les intérims en live, idem pour le bassiste de Trust Vivi Brusco que l’on retrouve d’ailleurs sur trois titres du nouvel opus en compagnie du batteur de Trust Farid Medjane. Un peu plus et on pourrait se demander si Koritni ne serait pas en train de virer de nationalité. Mais dans le fond, le rock n’ roll n’a pas de nationalité, pour preuve les autres membres du groupe qui sont éparpillés à travers la planète.

Il est d’ailleurs intéressant de constater comme dans ces conditions, et en ayant un tel turnover de musiciens en live, Koritni parvient toujours à faire preuve de constance, avec des shows très divertissants et des albums fidèles à sa ligne de conduite, comme le démontre une fois de plus Night Goes On For Days dont Lex nous parle ci-après.

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CR De Festival    Live Report   

Nancy On The Rocks : Réunion de famille… en deux temps


Parler de la météo est quelque chose de très français et de très classique, mais on ne peut nier qu’elle a contribué à faire de cette première édition du Nancy On The Rocks un excellent souvenir. Elle était idéale, avec un ciel dégagé, un très beau soleil et une chaleur estivale sans être étouffante. Et elle a épargné aux quelques milliers de spectateurs, à quelques heures près, une belle averse qui s’est abattue sur la région au lendemain du festival.

Là où la plupart des grands festivals européens sont un feu d’artifice de groupes et une expérience particulièrement physique puisque sans temps morts, le Nancy On The Rocks a été pensé pour être plus aéré. Chaque prestation est séparée de la suivante par une vingtaine de minutes de pause. Il n’y a pas de chevauchement, les groupes jouent à la suite. Afin que les premiers groupes aient du public, l’accès à la scène principale du Zénith où se déroulent les shows des tête d’affiche n’ouvre qu’après la fin des concerts de la petite scène. Ce qui n’aura néanmoins pas empêché les fans de Scorpions d’ignorer totalement les premiers groupes et de préférer s’entasser devant la grille fermée donnant accès à la scène principale dès le début de l’après midi. Honnêtement, était-ce vraiment nécessaire, surtout compte tenu du grand nombre d’occasions ?

Le cadre est très agréable et espacé, les membres de la sécurité sont particulièrement souriants et détendus et la scène principale fait face à une arène de gradins entourée d’une grande forêt. S’installer tout en haut en attendant le début du concert des Scorpions tandis que le soleil se couche est une expérience vivifiante pour l’esprit.

Question atmosphère, le Nancy On The Rocks avait donc tout pour plaire. Côté programmation aussi, le festival proposant une affiche axée hard/heavy composée de gros noms (Gamma Ray, Koritni, Uli Jon Roth), des découvertes et clôturé par ce que devait être la réunion de la grande famille des Scorpions avec tous les anciens membres du groupe.

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Live Report   

Koritni sue pour et avec nous


A l’occasion de la tournée de promotion du nouvel album de Koritni, Welcome To The Crossroads, le groupe était de passage à Lyon mardi 27 mars 2012. Le nom trouvé par la formation était « Sell Your Soul Tour », une fine marque de second degré qui n’était pas pour nous déplaire.

L’affiche dudit concert proposait trois groupes, Koritni et 4WD évoluant dans un registre similaire tandis que Karelia – qui commence petit à petit à s’émanciper de son statut de « Première partie officielle de Scorpions » – , en seconde position, constituait par conséquent une respiration musicale entre ces deux formations de hard rock/sleaze.

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