Le rythme des sorties d’album d’Embryonic Cells est parlant. Autant les disques précédents étaient espacés de plusieurs années, autant Decline sort deux ans à peine après Horizon. Le guitariste chanteur Maxime Beaulieu l’admet volontiers, par le passé, le perfectionnisme pouvait parfois basculer vers l’immobilisme. Cette fréquence de sorties accrue est donc bien le signe d’une prise de conscience et d’une volonté d’enchaîner.
Le groupe bat donc le fer tant qu’il est chaud avec un album qui reprend les bases de Horizon et notamment de sa diversité vocale. La nouveauté et le défi de ce Decline résident notamment dans l’absence de claviers, Pierre Le Pape étant absent. Sa thématique, le déclin de l’humanité, trouve naturellement une forte résonnance dans le contexte de pandémie dans lequel sort le disque.
Nous avons détaillé cela avec Maxime, non sans avoir pris le temps d’évoquer sa fascination pour Eddie Van Halen, influence certes invisible dans la musique d’Embryonic Cells, mais fondamentale dans sa construction en tant que musicien.
ZZ TOP : les détails du nouvel album Raw
Arch Enemy tombe le masque
ABDUCTION signe chez Candlelight Records ; la nouvelle chanson « Kernos Crown » dévoilée
AUTOPSY : les détails du nouvel album Morbidity Triumphant
Une rencontre avec Ozzy Osbourne au Hellfest vaut 650 euros
IN FLAMES dévoile la lyric video de la nouvelle chanson « The Great Deceiver »
Ghost : l’empire dans la tête de Tobias Forge
PANTERA se reformerait pour une tournée en 2023
MONSTER TRUCK dévoile le clip vidéo de la nouvelle chanson « Get My Things & Go »
Steve Vai ne triche pas