ANGSTSKRÍG est un duo de black’n’roll danois dont on ne connait pas l’identité des membres. Le groupe a sorti son premier single, intitulé « Lucifer Kalder », le 11 décembre 2020 via Despotz Records. En savoir plus …
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ANGSTSKRÍG est un duo de black’n’roll danois dont on ne connait pas l’identité des membres. Le groupe a sorti son premier single, intitulé « Lucifer Kalder », le 11 décembre 2020 via Despotz Records. En savoir plus …
Frédéric Leclercq est insatiable. A peine intégré depuis un an à Kreator, après avoir sorti son ultime album avec Dragonforce et avec qui il prépare le très attendu successeur de Gods Of Violence (2017), le voilà de retour à la fois sur le nouvel album de Loudblast et avec un nouveau projet du nom d’Amahiru en collaboration avec la guitariste Saki (Mary’s Blood), tandis qu’il commence à plancher sur le troisième album de Sinsaenum. Il n’arrête pas et il aime ça.
Mais c’est avant tout pour parler d’Amahiru que nous avons échangé ci-après. Un projet orienté metal mélodique intriguant entre Occident et Orient, qui rétablit une forme d’équilibre dans la carrière du guitariste-bassiste-compsiteur et auquel a participé certains poids lourds de la scène – outre Frédéric et Saki, on retrouve le claviériste Coen Janssen (Epica), les batteurs Mike Heller (Fear Factory) et le regretté Sean Reinert (Death, Cynic), la chanteuse invitée Elize Ryd (Amaranthe) et le chanteur Archie Wilson dont on découvre le grand talent.
Frédéric Leclercq revient donc sur la conception de ce premier disque qui ouvre grand le champ des possibles, partageant avec nous sa passion pour le pays du Soleil-Levant, non sans faire le point sur ses projets en cours.
Loudblast a la foi. Son nouvel album Manifesto est un miracle. Changement de line-up, un genou cassé pour le batteur Hervé Coquerel juste avant les préproductions, un confinement décrété en plein enregistrement suite à la pandémie de Covid-19… Il y avait de quoi en décourager plus d’un, mais pas les nordistes qui ont plus que jamais la niaque. A croire que trente-cinq ans de carrière, ça forge le caractère.
Le résultat, le bien nommé Manifesto, est une synthèse, un condensé de ce que Loudblast a fait de mieux, allant piocher autant dans le death metal iconique de Sublime Dementia (1993) que dans la noirceur Celtic Frostienne de Burial Ground (2014), et bénéficiant de l’expertise du coproducteur HK Krauss du Vamacara Studio grâce à qui le groupe n’aura jamais sonné aussi puissant. En 2014, Stéphane qualifiait le line-up d’alors de renaissance ; force est de constater que six ans plus tard, il est en train d’en vivre une nouvelle.
Nous avons longuement échangé avec Stéphane Buriez et Hervé Coquerel pour qu’ils nous disent tout sur ce nouveau méfait qui fera date dans la carrière de Loudblast, pour sa musique, mais aussi pour son histoire singulière, entre un Kévin Foley appelé en renfort et le chaos d’une pandémie, en passant par quelques secrets de fabrication.
Depuis l’époque Heavenly, où on a commencé à entendre parler de lui, Frédéric Leclercq a fait un chemin impressionnant : il intègre Dragonforce fin 2005, monte son projet de death metal avec l’ex-Slipknot Joey Jordison en 2013 et aujourd’hui intègre l’une des légendes du thrash allemand, Kreator, sans parler des multiples projets et expériences live auxquels il a participé au fil des années. Frédéric, grâce non seulement à ses qualités de musicien et d’adaptation, mais aussi à sa sympathie toute naturelle, est devenu un de ces (rares) Français à avoir très largement implanté sa carrière en dehors des frontières hexagonales.
Suite à l’annonce il y a un peu moins de deux semaines de son intégration au poste de bassiste dans le groupe de Mille Petrozza, nous avons pris notre téléphone pour joindre Frédéric, afin qu’il nous raconte tout : l’opportunité qui s’est présentée à lui, son rapport à Kreator, ses challenges à venir… Mais aussi le stade de ras-le-bol profond auquel il était arrivé face à l’esthétique de Dragonforce qui ne lui correspondait pas du tout. Et de façon plus générale, nous en avons profité pour revenir sur son parcours pour mieux comprendre qui est Frédéric Leclercq, le guitariste devenu bassiste, l’artiste aux goûts polyvalents ou encore l’homme aux qualités sociales indéniables.
C’est l’heure du changement pour Dragonforce. Changement de management pour le côté gestion du groupe. Changement de line-up avec le départ d’abord du claviériste Vadim Pruzhanov, puis celui du bassiste Frédéric Leclercq parti rejoindre Kreator. Changement d’orientation musicale pour renouer avec l’exubérance après deux albums où le groupe avait mis de l’eau dans son vin en diversifiant son propos. Extreme Power Metal devrait ravir les fans de la première heure – comment auraient-ils pu en douter avec un titre et une pochette pareils ? Fantasy, jeux vidéo, films d’action et… Céline Dion. Dragonforce y va à fond, s’éclate et ne s’excuse pas.
C’est ce que nous explique le guitariste Herman Li, qui revient avec nous sur ces divers changements, mais aussi met les points sur les i quant à la philosophie et le mode de fonctionnement radical et sans compromis de Dragonforce. Herman nous donne également ses bons conseils pour aborder la guitare, qui pourraient se résumer en un mot : le plaisir.
Frédéric Leclercq est le nouveau bassiste de KREATOR. Il remplace Christian Giesler dont les raisons du départ ne sont pas connues à ce jour.
En exclusivité et à l’occasion du passage de SINSAENUM en France pour sa toute première tournée (voir agenda concert), nous vous proposons de gagner la basse signature LTD FL-600 de Frédéric Leclercq, utilisée et jouée lors des tournées de DRAGONFORCE (voir photo ci-dessous). En savoir plus…
Sorti de nulle part, Sinsaenum semble faire partie de cette vague de groupes nous ramenant aux bases du death metal : une musique crue et sans artifice, un exutoire pour déverser sa haine. Et pour sortir une telle musique c’est un plateau de choix que l’on nous remet, car il s’agit aux commandes de Frédéric Leclercq (Dragonforce) qui revient à la guitare, son premier amour (comme nous en parlions déjà la fois précédente), accompagné de Stéphane Buriez (Loudblast), du duo de chanteurs Attila Csihar (Mayhem) et Sean Zatorsky (Dååth), du bassiste Heimoth (Seth), et derrière la batterie : Joey Jordison (ex-Slipknot). Des musiciens qu’on ne présente plus et qui n’ont plus à faire leurs preuves.
Et malgré les emplois du temps de ministre qu’ont chaque membre du groupe, ils ont réussi à trouver le temps depuis 2016 pour sortir deux albums et un EP, et ils s’apprêtent à s’élancer dans leur première tournée sous la bannière Sinsaenum. Nous avons rencontré les deux guitaristes français en amont de la sortie de Repulsion For Humanity, pour discuter (sans langue de bois) de ce deuxième essai, qui voit à la fois la musique du groupe et son travail collaboratif évoluer, de la mise en retrait temporaire d’Attila, des influences du combo et de son avenir.
Lorsqu’on parle de Dragonforce, à quoi pense-t-on immédiatement ? Un speed metal qui file à la vitesse de l’éclair et a fait le bonheur des aficionados de Guitar Hero. Fun pour certains, caricature du genre pour d’autres, toujours est-il qu’il y a bien une formule et un son Dragonforce. Et comme dans toute formule, le risque est de se laisser s’y enfermer. Voilà pourquoi le bassiste Frédéric Leclercq, qui avoue avoir rejoint le groupe en 2005 plus par affinité avec les personnes que la musique, profite de sa récente montée en puissance dans la composition pour tenter de « casser le moule » et apporter de la dynamique, de la respiration, à la musique du combo. Et c’est même presque une carte blanche qu’il a eu sur Reaching Into Infinity, puisqu’il est l’auteur de la quasi totalité des chansons, mais aussi de nombre des parties de guitares enregistrées.
Ainsi nous l’avons rencontré pour comprendre à la fois comment il en est arrivé à avoir ainsi la main sur l’écriture du disque, mais aussi sa démarche, ses motivations, nous répondant longuement et avec beaucoup de franchise. Tout ceci parmi tant d’autres sujets abordés.
L’annonce de l’existence du super groupe Sinsaenum avait pris tout le monde par surprise et avait même un quelque chose d’improbable, de part son line-up constitué de Frédéric Leclercq (Dragonforce) et Stéphane Buriez (Loudblast) aux guitares, Sean Zatorsky (Dååth) et Attila Csihar (Mayhem) aux chants, Joey Jordison (Vimic, ex-Slipknot) à la batterie et Heimoth (Seth) à la basse. Mais qu’on ne s’y trompe pas – et ils insistent bien là-dessus – Sinsaenum n’est pas qu’un simple projet mais bel et bien un groupe qui les réunit dans l’amour du black metal et du death metal. Et lorsque l’on entend Frédéric Leclercq, l’initiateur du projet, et Joey Jordison nous parler du premier album Echoes Of The Tortured, tout tombe sous le sens.
Les deux musiciens semblent, dans l’entretien qui suit, habités par leur projet, Jordison martelant sans cesse que s’il est là pour promouvoir l’album, s’il a fait le déplacement jusqu’à Paris, c’est pour clamer personnellement haut et fort que c’est du sérieux. Nous avons donc abordé avec eux la genèse de ce groupe, leurs choix artistiques – comme le fait d’avoir deux chanteurs ou que l’album soit jonché d’interludes – mais aussi leur passion pour le bon vieux black et death metal comme, d’après eux, on n’en fait plus.
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