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Interview   

Klone : entre ciel et terre, partie 2


Après deux opus que l’on pourrait qualifier d’aériens, Here Comes The Sun et Le Grand Voyage, Klone revient aujourd’hui avec Meanwhile, un album plus physique qui, sans quitter complètement la stratosphère, semble revenir à une nervosité plus terrienne. En deux interviews, Guillaume Bernard et Yann Ligner, respectivement guitariste-compositeur et chanteur du groupe poitevin, décortiquent avec nous l’élaboration et l’approche de ce septième effort qui se révèle être bien plus qu’une simple synthèse de leurs acquis.

Dans cette seconde partie, mesurés et réfléchis, les propos de Yann Ligner sont à l’image du personnage et de ses textes. Pas de bravade ou de réponse à l’emporte-pièce, le chanteur qui s’est toujours fait rare dans les médias revient avec nous sur son approche vocale et scénique, ainsi que sur la base thématique de Meanwhile.

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L’homme derrière Sapiens


Si on est artiste, on vivra certainement plus de moments de frustration liés au fait d’avoir trop d’idées et pas assez de temps que de moments où c’est l’inverse. Sapiens, c’est l’exemple typique du projet qu’il aurait été facile de mettre de côté en se disant : « Dans une seconde vie, j’aurais pu faire ça, ça aurait été énorme ! » Déjà parce que c’est un projet parallèle, né d’enregistrements d’ébauches comme nos ordinateurs en regorgent par dizaines. Mais c’est surtout, par nature, un projet, au-delà de son ambition et de son originalité, fastidieux à mener, qui en aurait découragé plus d’un.

L’homme derrière Sapiens, Nicolas Foucaud (Los Disidentes Del Sucio Motel), est allé au bout. Une belle leçon de persévérance qui devrait en pousser plus d’un à déterrer leur album solo de leur PC, relancer leur projet parallèle ou finir leur morceau « gros riff n.34 ». Il nous raconte ce long mais excitant processus, qui a rassemblé des dizaines de musiciens dont des chanteurs français de renom, tous séduits par la démarche originale et un brin militante de Sapiens.

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Klone : embarquement immédiat


« La musique, c’est de l’art ou du divertissement? », demandions-nous dernièrement à Mario Duplantier de Gojira et Manard d’Ultra Vomit. Avec son sixième opus, Klone répond : c’est un voyage. Le voyage, d’abord, que fait le compositeur pour aboutir à une chanson, puis un album. Le voyage, ensuite, de chaque note pour arriver jusqu’aux oreilles de l’auditeur, que Guillaume Bernard, guitariste-compositeur de la formation poitevine, se plaît à accentuer à travers l’usage de réverbérations. Le voyage, enfin, que l’auditeur effectue autant dans sa tête que dans son cœur.

Musicalement, Le Grand Voyage, c’est le voyage de Here Comes The Sun – précédent opus qui avait vu un Klone audacieux se réinventer -, qui se poursuit, s’affine, s’approfondi. Thématiquement, c’est le voyage de la vie, vers la mort, et au-delà. Ainsi, nous avons joint notre commandant de bord, Guillaume Bernard, afin qu’il nous expose ses plans et les détails de cette nouvelle virée musicale, et vous verrez, l’interview ci-après est elle-même un grand voyage…

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Carpenter Brut voit la vie en rose


Petit à petit, Carpenter Brut fait son nid. Celui-ci prend d’ailleurs de plus en plus de place, si bien que lorsque Carpenter Brut décide de sortir un album sans vraiment crier gare, cela fait son petit effet. Après plusieurs apparitions dans divers festivals dont le Motocultor et bientôt le Hellfest et le Coachella, une trilogie plébiscitée et un live pour l’entériner, l’oeuvre de Frank B. Carpenter n’a plus vraiment quoi que ce soit de confidentiel.

Ceux qui ne dénigrent pas le crossover entre electro et philosophie metal au sein d’un univers sombre ancré dans les années 80 se sont rués sur Leather Teeth, le premier volet de la nouvelle trilogie de Carpenter Brut. Pourtant celui-ci ne reste pas dans sa zone de confort : une esthétique plus glam teintée de rose et de cuir, un personnage hommage à Bret Michaels et Rob Halford et des compositions moins sombres à la violence plus juvénile qu’auparavant. Frank B. Carpenter ne se soucie guère du qu’en dira-t-on. Ce qui importe, c’est le respect de l’histoire et de la spontanéité.

L’occasion de revenir avec lui sur un Leather Teeth surprenant voire déstabilisant, sur son rapport à la synthwave et au metal et son intérêt pour les « cases », l’engouement pour la culture des années 80 et son avenir en tant que Carpenter Brut. Et tout ça sans ambages.

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    Metallica @ Saint-Denis
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