LOFOFORA a sorti une édition augmentée et limitée de son dernier album Vanités, le 11 mars 2022 via At(h)ome. En savoir plus…
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LOFOFORA a sorti une édition augmentée et limitée de son dernier album Vanités, le 11 mars 2022 via At(h)ome. En savoir plus…
LOFOFORA sortira une édition augmentée et limitée de son dernier album Vanités, le 11 mars 2022 via At(h)ome. En savoir plus…
LOFOFORA a sorti son nouveau single, intitulé Mauvais Œil, aujourd’hui 4 septembre 2020 via At(h)ome. En savoir plus …
Reuno et Lofofora, c’est trente ans de poésie punk, rock et metal. Mais c’est aussi une des voix les plus emblématiques et reconnaissables de la scène hexagonale. Une voix qui n’a eu de cesse de s’affirmer et s’affiner au fil du temps, comme en témoigne Vanités, le nouvel album des Parisiens, dont on parlait encore récemment avec le chanteur.
Mais revenons quelques mois en arrière : après une prestation matinale largement plébiscitée sur la mainstage du Hellfest de cette année, nous avons eu l’occasion d’échanger avec Reuno sur sa pratique vocale, et plus particulièrement sur son chant saturé au sein de Lofofora. Un savant mélange de technique, d’émotion et d’écoute attentive. Savant ? Pas tant que ça selon Reuno. Il est bien périlleux de « savoir » comment s’y prendre, la part d’intuition et de recherche empirique étant tellement prépondérante dans la découverte de son propre instrument vocal, et plus particulièrement en terme de saturation. Et au-delà de l’apprentissage, quelles sont les conséquences somatiques de cette pratique ? Entre une approche percussive, ses chères influences blues et l’ingrédient crucial qu’est la confiance, le chanteur nous offre un panorama sur plus de vingt-cinq ans d’expérience autour de sa fameuse « voix d’ogre » qui semble fonctionner en auto-pilote et, surtout, à l’émotion.
A noter que cet entretien a été réalisé dans le cadre d’une série d’interviews en vue d’un dossier plus général sur le chant saturé.
Dans « Vanité », il y a « vain ». Et c’est le sens premier des tableaux que l’on appelle Vanités, pointant la vacuité de l’existence humaine et appelant à faire plutôt preuve d’humilité. Pourtant, l’usage le plus courant du nom est plutôt synonyme d’ego et de fierté. Ironique, non ?
Après trois décennies, Lofofora continue de rassembler et d’inspirer le public. Le succès du projet aurait pu pousser le groupe à la vanité, justement. Ils pourraient même jouer la carte de la fausse modestie qu’on n’y verrait que du feu. Ils ne seraient pas les premiers artistes à essayer de convaincre leur audience qu’ils sont « restés simples ». Mais le chanteur Reuno ne laisse aucune place au doute. Malgré son discours parfois engagé et son succès, « Lofo » n’a jamais eu pour but de changer le monde ou de le conquérir. S’il peut être fier, il est avant tout reconnaissant. Et Reuno, on le croit sans problème, compte tenu de son franc-parler : il n’hésite pas à être sévère envers ses collègues de la scène française mais applique aussi avec humilité cette sévérité à son propre travail.
Entretien riche, cash et sans langue de bois avec un punk, un vrai, aux tout juste trente années de carrière (mais, s’il revient volontiers sur le passé, ne lui parlez pas d’anniversaire ou de nostalgie…), prônant une sincérité extrême dans la vie comme dans son travail, passionné d’art brut et qui nous en livre sa version avec ce nouvel album Vanités.
Lofofora fête sa trentaine et ne paraît pas lever le pied le moins du monde. Il démontre d’ailleurs une assurance rare, comme en témoigne le pari acoustique réussi de Simple Appareil (2018) et les prestations live de qualité, à l’image de celle donnée à l’édition 2019 du Hellfest. Évidemment, après trente années de service, il est inutile d’essayer de défendre la réputation de Lofofora, l’un des groupes les plus importants de la scène metal française. Vanités est le dixième album de la formation, qui n’a rien perdu de sa verve et qui paraît même avoir renoué avec une ancienne énergie : Vanités présente un Lofofora affûté et hargneux, avec toujours la même volonté d’en découdre sans s’illustrer dans le décérébré.
LOFOFORA va sortir son nouvel album, intitulé Vanités, le 8 novembre via At(h)ome. En savoir plus…
2019 ne déroge pas à la règle : une fois de plus, le staff de Radio Metal débarque en grande pompe au Hellfest Open Air armé de ses rangers, sa crème solaire et une bonne dose d’endurance pour vous faire vivre en direct ce rendez-vous incontournable pour tous les fans de metal de France et d’ailleurs. Black, death, thrash, hardcore, hard, prog, doom, sludge, folk, fusion… La recette du festival est comme à son habitude des plus variées et ajustée aux goûts de toutes et tous. De Kiss à Carcass en passant par Tool ou encore Gojira, notre équipe va tout faire pour vous retranscrire au mieux les faits marquants de ces dizaines de concerts et l’ambiance qui règne à Clisson Rock City.
Comme nous avons pu le faire ces dernières années, vous allez pouvoir suivre le festival en direct via ce fil rouge qui sera fréquemment mis à jour depuis l’ouverture des hostilités vers 10h30 jusqu’à la fin des derniers concerts vers 2h du matin. Si les dieux de la 4G s’avèrent cléments et nous laissent faire notre travail, vous trouverez la majorité des informations sur le site donc, mais vous pourrez également suivre les festivités sur notre galerie Instagram, notre compte Twitter et notre page Facebook. N’hésitez d’ailleurs pas à recharger fréquemment nos différentes plateformes afin de ne rien louper ! Enfin, sachez que ce fil rouge sera enrichi dès notre retour afin de corriger les éventuelles imprécisions et rajouter quelques détails plus ou moins croustillants.
Vous trouverez là le compte-rendu du Knotfest de jeudi. Bonne lecture !
Et si être punk, ce n’était pas juste hurler, faire du bruit et sauter comme des déglingués ? Et si être punk c’était aussi se poser dans un beau studio avec des guitares acoustiques et des balais en guise de baguettes ? Et si intensité pouvait rimer avec subtilité ? C’est tout ce que tend à démontrer Lofofora avec son nouvel album Simple Appareil, qui en aura déstabilisé plus d’un. Mais après, tout, déstabiliser, ce n’est pas ça, finalement, être punk ? Surtout, si on lui donne sa chance, qu’on prend le temps de rentrer dans son univers feutré, c’est toute la classe de l’album qui nous éclate à la figure.
Simple Appareil, c’est cette volonté de Lofofora d’explorer de nouveaux confins de son art… ou plutôt son artisanat, comme nous en parlons ci-après avec Reuno. Il nous explique leur expérience dans un registre autant inhabituel pour eux que pour leur public, se mettant à nu, devant revoir notamment la relation entre instrumentation et chant. Une nouvelle facette de Lofofora mais aussi du batteur Kevin Foley – invité en intérim pour l’occasion, le temps que Vincent Hernault revienne d’un tour du monde -, lui qui avait construit sa réputation dans le milieu du metal extrême voire carrément brutal…
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