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Interview   

Joe Lynn Turner : ce qu’il a dans le ventre


Quinze ans que Joe Lynn Turner n’avait pas proposé de nouvel album solo. Simplement, désireux de « faire quelque chose de spécial, de différent, d’artistique, de plus profond », il attendait le bon moment. La bonne rencontre aussi, en quelque sorte. C’est lorsqu’il a croisé le chemin de Peter Tägtgren qu’est né ce qui aurait dû devenir un nouveau projet pour finalement prendre la forme d’un nouvel album sous son propre nom, intitulé Belly Of The Beast. Le mariage des deux musiciens peut paraître curieux de prime abord tant ils sont issus de styles musicaux, de générations et de géographies différentes. Mais c’est justement là l’intérêt de cette collaboration : montrer Joe Lynn Turner, ce chanteur qui a souvent été qualifié de « pop » ou « commercial », sous un jour différent mais qui le représente tout autant.

Dans l’entretien qui suit, il nous explique ce qu’il y a derrière cet album résolument sombre, en phase avec l’« âme torturée » qu’il est, à l’image de son intérêt pour l’occulte l’ayant mené jusqu’aux confins d’un conspirationnisme débridé, aux fondements scientifiques que l’on pourra qualifier de farfelus ou discutables… On vous en laissera juges. En tout cas, ses propos nous en apprennent plus sur la complexité d’un personnage hors norme qui aura marqué l’histoire du rock, que ce soit au sein de Rainbow, du groupe d’Yngwie Malmsteen et même de Deep Purple. Un album dont il se sert également pour révéler être atteint d’alopécie totalis depuis l’âge de trois ans – une maladie entraînant la perte totale des cheveux. Il nous parle ainsi également, avec beaucoup de sincérité et de manière touchante, de son expérience à vivre avec cette condition que ce soit quand il était enfant ou quand il se faisait une place, usant d’une perruque, dans un milieu musical dominé par les cheveux longs.

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Interview   

Gus G : la science de l’instrumental


Décidément, Firewind a la poisse. Alors que Gus G venait tout juste de remettre sur pied le groupe et de sortir son nouveau disque, sobrement baptisé Firewind et symbolisant une forme de renaissance, après avoir une nouvelle fois perdu son chanteur et alors qu’il était à deux doigts de jeter l’éponge, voilà qu’une pandémie s’abat sur le monde et met à mal ce nouvel élan. Mais, passé maître dans l’exercice de la résilience, Gus G a fait contre mauvaise fortune bon cœur et a profité de ce temps libre pour vaquer à d’autres occupations, comme nombre de ses collègues. Surtout, il s’est attelé à un projet réclamé depuis longtemps par ses fans : réaliser un album solo instrumental.

Ainsi est né Quantum Leap. Mais attention, pas question de tomber dans la démonstration stérile et sans constance qu’on voit parfois dans ce genre d’album et qui explique un peu la réticence du guitariste jusqu’à présent. Un album de guitare instrumental doit être tout aussi accrocheur et accessible aux non-musiciens qu’un album chanté. Son approche est simple : remplacer la voix par la guitare, ouvrant par là même à une certaine diversité stylistique. Nous en discutons avec Gus G ci-après.

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Interview   

Yngwie Malmsteen : intraitable et inépuisable


Décidément, à l’approche de ses soixante ans, Yngwie Malmsteen est en pleine forme. Il n’a pas perdu son bagou, ni de son énergie. En témoignent d’ailleurs son vingt-deuxième album Parabellum et son déluge de notes dans la plus pure tradition néoclassique qui a fait la réputation du guitariste virtuose. Un album conçu en pleine période de pandémie : pas de quoi l’arrêter. Tout le contraire même, puisqu’il a tiré profit du temps que l’impossibilité de tourner lui a offert pour peaufiner son œuvre. Mais attention, pas question de compromettre sa spontanéité, principe fondamental de sa créativité. De même, fidèle à son approche depuis Spellbound (2012), il s’est chargé de tout lui-même – guitare, basse, voix… -, tout juste assisté d’un ingénieur (son bassiste live Emilio Martinez) pour exécuter ses ordres, car comme il l’explique, il sait précisément ce qu’il veut, où il va, et souhaite ne pas altérer la pureté de son inspiration.

C’est en substance ce qu’Yngwie nous explique dans l’entretien qui suit, répondant aux critiques, notamment sur son choix de chanter lui-même, et faisant des parallèles avec des grands maîtres de la musique et de la peinture pour exposer sa philosophie artistique. Il revient également sur ses premiers pas en tant que guitariste et remet les pendules à l’heure concernant Alcatrazz.

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News Express   

Yngwie Malmsteen dévoile la nouvelle chanson « (Si Vis Pacem) Parabellum »


Yngwie Malmsteen sortira son nouvel album, intitulé Parabellum, le 23 juillet 2021 via Music Theories Recordings / Mascot Label Group. En savoir plus …



Chronique Focus   

Yngwie Malmsteen – Parabellum


On ne présente plus Yngwie Malmsteen, l’un des guitar-heroes aussi prolifique que clivant. Si l’on omet l’exubérance qui va de pair avec son talent, Yngwie Malmsteen a réussi la prouesse de marier deux univers à une ère où l’opposition était vivace et leur perméabilité moindre : le rock et la musique classique (Ritchie Blackmore avait tout de même commencé à déblayer le terrain). Malmsteen a toujours su se présenter en virtuose à l’instar des musiciens classiques légendaires, quitte à ne jamais vouloir dévier de sa trajectoire. Son dernier opus intitulé Parabellum n’y changera rien : Yngwie Malmsteen suit la même voie et s’efforce d’aller toujours plus loin. Pour le meilleur et le reste.

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News Express   

Yngwie Malmsteen dévoile la nouvelle chanson « Relentless Fury »


Yngwie Malmsteen sortira son nouvel album, intitulé Parabellum, le 23 juillet 2021 via Music Theories Recordings / Mascot Label Group. En savoir plus …



News Express   

Yngwie Malmsteen : les détails du nouvel album Parabellum ; lyric vidéo de la chanson « Wolves At The Door »


Yngwie Malmsteen sortira son nouvel album, intitulé Parabellum, le 23 juillet 2021 via Music Theories Recordings / Mascot Label Group. En savoir plus …



News Express   

Yngwie Malmsteen annonce le nouvel album Parabellum


Yngwie Malmsteen sortira son nouvel album, intitulé Parabellum, en juillet 2021. Le guitariste se produira par ailleurs lors d’un concert en streaming depuis Las Vegas le 21 mars 2021 à 03:30 (heure française). Voir agenda concert. En savoir plus …



Interview   

Michael Schenker : 50 ans à chercher la tranquillité d’esprit


Il y a cinquante ans Scorpions s’apprêtait à enregistrer son premier album Lonesome Crow dans les Star Studios de Hambourg. Aux côtés de Klaus Meine et Rudolf Schenker – deux membres encore actifs à ce jour au sein du groupe –, le frère de ce dernier, âgé d’à peine seize ans, faisait ses premiers pas avec le tout premier morceau qu’il ait jamais composé : « In Search Of The Peace Of Mind ». Cinquante ans plus tard, Michael Schenker a marqué le monde du hard rock avec UFO, influençant plusieurs générations de guitaristes, et une carrière atypique, préférant faire les choses à sa manière plutôt que de succomber à l’appel de la gloire et de l’argent.

Aujourd’hui, mettant de côté le patronyme Michael Schenker Fest qui lui avait pourtant réussi, c’est en tant que MSG qu’il revient fêter son anniversaire. Pas d’inquiétude, la formule n’est pas si différente : avec une pandémie qui l’a obligé à faire de gros efforts et à réaménager son projet initial, il a pu compter sur une pléthore d’amis talentueux pour l’assister. Dans l’entretien qui suit, il nous résume la genèse de ce disque – déjà abordée en conférence de presse – et surtout revient sur ses premiers pas en tant qu’artiste. Il nous parle de sa créativité, de son instrument fétiche la guitare, d’anciens collègues et même d’autres musiciens ayant marqué l’histoire de la six cordes. Qu’il paraisse amer, enflammé, un brin faux modeste voire prétentieux ou philosophe, une chose qu’on ne peut reprocher à Michael Schenker, c’est de délivrer sa pensée sans filtre.

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Interview   

Joe Stump : lumière sur le Shredlord


Tout juste avons-nous raccroché avec Graham Bonnet que nous enchaînons directement avec Joe Stump, qui tuait le temps sur sa guitare en attendant notre appel… Comme toujours ! Cet amoureux de la six-cordes a toujours à portée de main ou entre les mains une de ses Stratocaster (ou ESP imitation) et c’est d’ailleurs comme ça qu’il est parvenu à devenir l’un des shreddeurs les plus talentueux de sa génération. C’est aussi le meilleur conseil que cet enseignant au prestigieux Berklee College Of Music puisse donner à ses élèves : jouer, jouer et encore jouer. Et peut-être regarder une ou deux vidéos de Ritchie Blackmore, Yngwie Malmsteen ou Michael Schenker… Car c’est bien en marchant dans les pas de ces derniers qu’il s’est construit son style metal néoclassique, agrémenté de nervosité blues. Pas étonnant qu’on le retrouve aujourd’hui aux côtés de Graham Bonnet, justement, pour ressusciter Alcatrazz.

C’est donc pour nous parler de sa rencontre avec les historiques d’Alcatrazz, de son rapport au groupe – et à ses anciens guitaristes – et du nouvel album Born Innocent que nous l’avons joint, mais aussi et surtout pour faire plus ample connaissance avec celui qui se fait appeler le Shredlord. Entre influences européennes versus américaines et art du shred, voici un tour d’horizon de qui est Joe Stump.

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  • Red Hot Chili Peppers @ Lyon
    Queens Of The Stone Age @ Lyon
    Kiss @ Lyon
    Skid Row @ Lyon
    Hollywood Vampires @ Paris
    Depeche Mode @ Lyon
    Scorpions @ Lyon
    Thundermother @ Lyon
    Ghost @ Lyon
    Spiritbox @ Lyon
    Metallica @ Saint-Denis
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