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Interview   

Graham Bonnet : retour à Alcatrazz


Graham Bonnet est un nom qui devrait parler à de nombreux adeptes de classic rock. Il fait partie de ces chanteurs emblématiques du rock qui ont posé leur voix sur les riffs de nombreux guitaristes prestigieux et légendaires : Ritchie Blackmore, Michael Schenker, Yngwie Malmsteen, Steve Vai, Chris Impellitteri… Mais c’est aussi un nom indissociable d’un groupe qui aura été un véritable révélateur de talent, et dont la courte carrière a durablement marqué le hard et le metal : Alcatrazz.

Depuis la fin d’Alcatrazz en 1987, après un troisième album, Dangerous Games, Graham Bonnet a passé une carrière à butiner à droite, à gauche, effectuant dans les années 2000 plusieurs tentatives infructueuses de faire revivre Alcatrazz… jusqu’à aujourd’hui. Born Innocent est l’album qu’on n’espérait plus, revenant en grande partie au style de No Parole from Rock ‘n’ Roll (1983). Non, Yngwie Malmsteen n’est pas de retour (il n’a même pas voulu proposer de contribution, contrairement à Steve Vai et pléthore d’invités), mais Born Innocent met en lumière l’un de ses disciples les plus remarquables, à la carrière déjà longue de quasiment trente ans en solo : Joe Stump.

C’est un Graham Bonnet jovial mais dévoilant de temps en temps quelques pointes d’amertume – ou de réalisme – que nous avons eu au téléphone pour nous parler de cette seconde vie d’Alcatrazz mais aussi de sa carrière et de son innocence perdue…

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Interview   

Mats Levén : la musique, sa vie


Quel est le point commun entre Yngwie Malmsteen, Candlemass, Therion, Hammerfall ou encore At Vance ? Mats Levén. Le chanteur fête cette année les trente ans d’une carrière protéiforme qui ne ressemble à aucune autre. Aujourd’hui reconnu par ses pairs comme l’un des meilleurs chanteurs de metal en activité, il ne s’est rien refusé pour vivre sa carrière dans la musique, acceptant aussi bien de tourner avec le prestigieux Trans-Siberian Orchestra que de faire de « simples » chœurs sur les disques d’autres groupes. Difficile à cataloguer, pour certains il est synonyme de heavy metal classique, pour d’autres de doom, mais lui ne s’encombre pas d’étiquettes, comme le démontre son album solo sous le nom de Skyblood dont on parlait avec lui lors de la première partie de notre interview.

Ne se voulant pas exhaustive – ses contributions musicales sont bien trop nombreuses et diverses –, la seconde partie, à retrouver ci-après, s’attache à passer en revue sa carrière et comprendre sa philosophie d’artiste, Mats Levén partageant quelques anecdotes et les expériences les plus importantes de sa carrière.

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Chronique Focus   

Yngwie Malmsteen – Blue Lightning


Yngwie Malmsteen. Pour certains, évoquer le nom du guitar-hero suédois revient à scander « génie », pour d’autres « mégalomanie ». Il y a évidemment une certaine extravagance chez le personnage, qui s’exprime autant par sa permanente que par un jeu de guitare virtuose, inspiré de la musique classique et qui lui a valu d’être associé à un style qu’il a ainsi façonné, le « néoclassique ». Pour autant, l’inspiration de Malmsteen ne se résume pas à une formation classique : le blues a toujours occupé une partie de sa culture musicale, c’est même par là qu’il a commencé, et c’est justement là que Blue Lightning intervient. Le dernier opus du guitariste a pour dessein de livrer un vibrant hommage au blues rock, quitte à bousculer certaines idées préconçues sur sa personnalité artistique, ou à bousculer certains standards du genre…

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News Express   

YNGWIE MALMSTEEN dévoile la lyric vidéo de la chanson « Blue Lightning »


YNGWIE MALMSTEEN sortira son nouvel album, intitulé Blue Lightning, le 29 mars via Mascot Records/Mascot Label Group. En savoir plus…



Interview   

Yngwie Malmsteen : le blues d’un solitaire


Non, toute la musique qu’Yngwie Malmsteen aime, elle ne vient pas de là, elle ne vient pas du blues – tout du moins, pas uniquement. Les habitués du guitariste le savent, ses références sont plutôt à aller chercher d’abord du côté des Vivaldi ou Paganini, c’est d’ailleurs ainsi qu’il a façonné son style qu’on qualifie aujourd’hui de néoclassique. Pourtant, l’apport du blues chez le Suédois n’est pas à négliger : c’est d’ailleurs par là, comme beaucoup de guitaristes de rock, qu’il a commencé, et c’est du blues qu’il a hérité son expressivité, plus que son usage des gammes. Le blues s’est donc toujours immiscé ici et là dans son jeu, dans ses albums, dans ses concerts, et il n’est donc pas si surprenant qu’après s’être essayé à l’acoustique et au symphonique (au sens premier du terme), il se lance aujourd’hui dans un hommage au blues rock avec son nouvel album Blue Lightning.

C’est donc pour défendre ce dernier que nous avons joint le guitariste par téléphone, ravi de parler de son rapport au blues, d’expliquer son approche très instinctive de la musique et de corriger certaines idées reçues, notamment le fait que la musique classique ne s’improviserait pas. Yngwie Malmsteen, c’est aussi un musicien qui a une vision très claire de ce qu’il veut et qui ne laisse aucune place, d’un point de vue créatif, à ses collaborateurs, ce qui lui a valu quelques frictions avec d’anciens chanteurs et d’être souvent traité de mégalomane arrogant. Il suffit d’ailleurs de voir sur Blue Lightning : il s’est occupé de tout, du chant à la production. Pour mieux faire comprendre sa démarche, il nous explique également sa philosophie dans l’entretien qui suit.

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News Express   

YNGWIE MALMSTEEN : les détails du nouvel album Blue Lightning


YNGWIE MALMSTEEN sortira son nouvel album, intitulé Blue Lightning, le 29 mars via Mascot Records/Mascot Label Group. En savoir plus…



News Express   

Yngwie Malmsteem : les détails du nouvel album World On Fire


Yngwie Malmsteem dévoile les détails de son nouvel album. Intitulé World On Fire, il sortira le 1er juin via King Records. Obtenir les infos…



News Express   

Yngwie Malmsteen : les premiers détails du nouvel album World On Fire


Le guitariste suédois Yngwie Malmsteen indique que son nouvel album, intitulé World On Fire, sortira en avril. Sur ce disque le musicien joue de la guitare, de la basse, certaines parties de claviers tout en assurant le chant. Par ailleurs il décrit ce nouvel opus comme « super néoclassique ! ».



Interviews   

Eyal’s stuck between metal and classical music, but he’s doing okay


You know what’s annoying? All those metalheads trying to find « excuses » to the existence of heavy metal, and to the fact that they enjoy it. More precisely, those who, through a somewhat naïve, simplistic and kind of dumb logic, try to establish a link between metal and classical music. For them, it’s a way to make a statement about metal being a noble form of music or – even worse – to give metal a purpose. But why? Does one need to justify oneself? Is that not the strength of our music: to be an independent genre, that doesn’t need to rely on anything else to justify its merits?

Eyal Levi, Dååth’s talented guitarist, tries to answer these questions. Indeed, Eyal has always lived surrounded by classical music thanks to his father, famous conductor Yoel Levi, whom distinguished himself leading Atlanta’s symphonic orchestra and Stockholm’s or Israel’s philharmonic orchestra; let alone his collaboration with Yngwie Malmsteen. Given all that, one would obviously tend to believe Eyal when he claims to know about classical music. If you just listen to his band Dååth, or the instrumental project he formed with his colleague Emil Werstler, you’ll have to notice his musical expertise.

But here’s the thing: Eyal’s passion is metal. The heavy one, violent, compact and dirty, the one that makes you want to scream and slam your head against the walls. Moreover, Dååth just released their self-titled album, which just might be their most accomplished album yet: it has more experimenting than the last one, The Concealers, and is more controlled than the first albums.

So here’s what the extremely interesting Eyal has to say about that.



Interview   

Coincé entre metal et musique classique mais Eyal le vit bien


Vous savez ce qui est énervant ? Ces métalleux qui cherchent constamment à trouver des « excuses » à l’existence du metal ou au fait qu’ils apprécient ça. Particulièrement ceux qui, par un esprit de logique naïf, simpliste et un peu neu-neu, tentent d’établir un lien de parenté direct entre le metal et la grande musique. C’est un moyen pour eux de revendiquer que le metal serait une musique noble ou, pire, de donner une raison d’être au metal. Mais pourquoi ? A-t-on besoin de se justifier ? N’est-ce pas justement ça la force de ce type de musique : d’être un genre à part entière qui n’a nul besoin des autres pour justifier ses qualités ?

C’est à ces questions que répond Eyal Levi, guitariste talentueux de Dååth, dans nos colonnes. En effet, Eyal baigne depuis toujours dans le milieu de la musique classique grâce à son père, le célèbre chef d’orchestre Yoel Levi. Ce dernier s’est notamment affiché à la tête de l’orchestre symphonique d’Atlanta, l’orchestre philharmonique de Stockholm ou celui d’Israël ; sans parler de sa collaboration avec Yngwie Malmsteen. Rien que ça. Alors forcément on croit Eyal lorsqu’il nous dit que lui-même maîtrise le sujet. Il suffit d’ailleurs d’écouter son groupe Dååth ou son projet instrumental monté avec son collègue Emil Werstler pour se rendre compte de sa maîtrise musicale.

Mais justement, la passion d’Eyal, aujourd’hui, c’est bel et bien le metal. Le lourd, le violent, le compact, celui qui tâche, qui hurle et te fait taper la tête contre les murs. Qui plus est, Dååth vient tout juste de sortir son album éponyme et qui pourrait bien être le plus abouti : plus d’expérimentation que le précédent, The Concealers, et mieux maîtrisé que les premiers opus.

Voici donc ce que le très intéressant Eyal Levi a à dire sur tout ça.



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