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Nouvelles Du Front   

« Live fast, love hard, die young »


C’est avec dans les oreilles ce morceau de Faron Young, sorti en 1955, âge d’or du rock’n’roll que nous venons vous parler aujourd’hui d’une étude surprenante. Mais en fait ce sont surtout les conclusions qui peuvent prêter à de longs débats au coin du feu, en famille, pendant les longues soirées d’hiver ou durant vos prochains barbecues ensoleillés…

Cette étude menée par Dianna Theadora Kenny de l’université de Sydney, qui fait suite à celle du Dr. Katrina McFerran, porte sur les causes de mort des musiciens en fonction des genres musicaux ainsi que l’espérance de vie de ces artistes. La première étude mettait en lumière le fait que les jeunes dépressifs écoutent de manière plus régulière, pour ne pas dire récurrente, du heavy metal. Des conclusions qui avaient été débattues, contestées et avaient forcément déchaînées les passions. La nouvelle étude, encore une fois australienne, conclue pour sa part que les musiciens de metal et de rap ont une espérance de vie plus courte que ceux des autres genres musicaux.

On en discute ensemble…



Nouvelles Du Front   

Puisque vous n’avez pas l’air d’avoir compris, on vous le redit : vous n’êtes pas des dépressifs


Nous l’avions pourtant bien dit sur le moment : « Bon nombre de lecteurs sur internet lisent plutôt les articles en diagonale ou se contente de l’information apportée par le seul titre, et alimente la tendance d’une frange de metalleux à se placer en martyrs de la musique. » Nous espérions donc que cela amènerait les lecteurs de ce site à ne pas commettre cette faute.

Cependant, à en juger par la très grande majorité (à moins que ce ne soit qu’une minorité visible opposée à une majorité silencieuse) des commentaires sur cet article concernant cette étude australienne sur le rapport entre dépression et musique metal, nombreux ont été ceux qui ont réagi directement aux premières phrases de l’article et ont dû considérer que la suite ne servait à rien (comme dans un livre où seul le premier chapitre compte, n’est-ce pas ?), s’affichant comme des incompris dans un monde qui fait rien que les embêter…

Déjà dans le premier article, nous avions démontré que le Dr Katrina McFerran ne prouve pas par son étude que le metal rend dépressif contrairement à ce qu’affichait d’autres sites d’information qui ont déformé ses propos. Nous espérons donc que ces personnes qui se sont plaintes de ces conclusions (mal comprises) prendront bien soin de tout lire cette fois car la dame va leur réexpliquer.

Au vu des réactions des internautes du monde metallique (sur tous les sites possibles), il nous avait semblé important de contacter le Dr McFerran pour qu’elle apporte quelques explications supplémentaires mais, finalement, le site Metal Insider a été plus rapide, c’est donc via ce média que nous obtenons la réponse de la chercheuse en thérapie musicale. Nous n’allons pas nous plaindre d’obtenir ce que nous voulions et nous vous le rapportons ici.

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Nouvelles Du Front   

N’allez pas en faire une dépression


« Le heavy metal a un impact négatif sur les jeunes ». Levez la main si vous avez l’impression d’avoir déjà entendu ça quelque part… Ouh, la belle forêt de bras levés ! Bien sûr, c’est l’un des trucs qu’on a tous entendu avec ses corollaires : « le metal rend violent », « c’est de la musique de sataniste », « ça te rend pas un peu abruti à la longue ? », « c’est des trucs de nazi, ton machin, là ! » sans oublier : « C’est parce que t’as des soucis dans ta vie que t’écoutes ce genre de musique ? Mais ça te déprime pas plus ? ».

Non, le metal ne rend pas dépressif. Et, quelles que soient les conclusions du Dr Katrina McFerran, chercheur en thérapie musicale (excusez-la d’avoir déjà l’air de savoir de quoi elle parle) à l’Université de Melbourne, rien n’indique ce que résume le titre de l’article du site de l’université australienne retranscrit en première phrase de notre article. L’étude du Dr McFerran ne démontre pas non plus ce que voudrait nous faire croire le site Blabbermouth (décidément, ceux-là, avec leurs titres, il faudrait qu’ils lèvent un peu le pied) qui, en relayant cette info, titre : « Une étude trouve que les fans de heavy metal sont plus sujets à la maladie mentale ». Le genre de titre immédiatement repris par d’autres sites d’informations qui, comme nous, usent énormément de cette « AFP du metal » qu’est Blabber.

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