Queen + Adam Lambert, vous parlez d’une affiche ! Il y avait déjà eu Queen avec Paul Rodgers. Au moins pouvait-on créditer Paul d’une légitimité rock’n’roll, l’homme ayant œuvré au sein de Free et Bad Company. Sans résoudre pour autant le défi vocal que propose Queen. Mais Adam Lambert ? Issu d’American Idol, trente-cinq ans d’écart avec les stars de Queen, que vient-il faire ici ? Etrange association rapprochant deux époques radicalement différentes, l’une récente où la télévision est devenue une usine à produits, l’autre plus ancienne où les groupes se forgeaient avant d’être surexposés. Et l’on pense à l’association de l’huile et de l’eau. Les deux ne se mélangent pas ! Quant à l’utilisation du nom Queen, sans Freddie Mercury, sans John Deacon à la basse, elle est plutôt ambiguë. Certes, elle n’est pas nouvelle et porte tout de même deux légendes, Brian May et Roger Taylor. Trois dirons-nous avec la Red Special, la guitare de Brian. Est-ce suffisamment attractif ? Ajoutez à toutes ces interrogations un prix de place très élevé (entre 78 et 133 euros), vous aurez une soirée, disons, intrigante.
Mais laissons nos préjugés au vestiaire et entrons donc dans le Zénith parisien pour voir ce que l’autre Reine d’Angleterre peut proposer dans cette configuration qui flirte avec le « tribute band ».
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