Ces dernières années, la scène black metal française s’est distinguée sur la scène internationale par son goût pour les hybridations, les expérimentations étranges et les idiosyncrasies très fortes, du black technique, anguleux et métaphysique de Deathspell Omega aux paysages lovecraftiens de The Great Old Ones en passant par les sonorités industrielles de Blut Aus Nord ou encore le black abâtardi de Diapsiquir. Il ne faudrait pas pour autant oublier les gardiens du temple, ceux qui continuent à peaufiner les formules iconiques du black scandinave en vomissant de la négativité sur fond de riffs acérés. C’est le cas de Merrimack, groupe pionnier du black français actif depuis les grandes heures de la deuxième vague du genre, c’est-à-dire la première partie des années 90. Depuis, les musiciens sont allés et venus – Perversifier est le seul rescapé du line-up originel – mais Merrimack reste le même : black metal traditionnel et obsession pour le néant et le pourrissement. Cinq ans après The Acausal Mass, les Parisiens proposent Omegaphilia, un album plus incisif et ramassé que le précédent, sorti pour la première fois de leur carrière chez Season of Mist.
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