MOTÖRHEAD sortira une réédition remasterisée de l’album On Parole le 9 octobre 2020 à l’occasion du National Album Day en Angleterre. En savoir plus …
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MOTÖRHEAD sortira une réédition remasterisée de l’album On Parole le 9 octobre 2020 à l’occasion du National Album Day en Angleterre. En savoir plus …
A l’occasion du quarantième anniversaire de Ace Of Spades, MOTÖRHEAD sortira un nouveau coffret deluxe le 30 octobre 2020 via BMG Entertainment. En savoir plus …
Dokken. King Diamond. Motörhead. Scorpions. Vous en connaissez beaucoup, des musiciens dont le CV comporte autant de groupes légendaires ? Avec un passif pareil, on pardonnerait aisément à Mikkey Dee d’avoir pris la grosse tête – mais il s’avère que ce n’est pas le genre de la maison. D’après l’iconique batteur, avoir appartenu à des formations qui ont fait l’histoire du rock et du metal n’est pas une raison pour se croire au-dessus du lot. Se mélanger aux fans et les traiter avec respect est pour lui une évidence. C’est d’ailleurs ce qui l’a poussé à associer son nom à l’Alabama, le bar parisien où nous l’avons rencontré et où il vient régulièrement prendre le pouls du public.
Entre souvenirs chaleureux de Lemmy, projets de biopic, nouvelles aventures avec Scorpions et nominations au Rock’n’Roll Hall of Fame, nous avons pris le temps d’évoquer avec Mikkey l’après-Motörhead… et aussi un peu le pendant-Motörhead, car on ne tourne pas si aisément la page de vingt-cinq ans de carrière dans un groupe culte.
Phil Campbell, malgré la fin de brutale de Motörhead il y a quatre ans, n’est pas près de raccrocher les guitares. Là où son ancien compère batteur Mikkey Dee a sauté d’un mastodonte du rock à l’autre en intégrant les célèbres Scorpions, Campbell lui a fait un choix radicalement opposé, en montant son propre groupe familial ; ce sont en effet ses trois fils qui l’accompagnent – Todd , Tyla et Dane – ainsi que le chanteur Neil Starr. Et force est de constater qu’il s’éclate, comme en témoigne la nouvelle salve de dates en cette fin d’année, dont huit en France à partir du 15 septembre, alors que leur premier album est sorti il y a déjà un an et demi – un second devrait d’ailleurs voir le jour l’an prochain.
Nous avons tout récemment eu l’occasion d’échanger avec le guitariste afin de parler de cette nouvelle vie, moins agitée, à un niveau plus modeste, mais aussi de son rapport à ses fils devenus collègues et de sa responsabilité dans leur éducation, mais aussi, forcément, de rock n’ roll et de la part de Motörhead qui reste en lui.
Motörhead n’est plus mais il n’a pas fini de faire des émules ! Dans l’Hexagone, on ne peut évidemment pas passer à côté de nos vieux briscards chez Vulcain, eux-mêmes devenus référents en matière de riffing rock sous testostérone, mais plus récemment on peut également se tourner du côté des jeunes loups – ou plutôt serpents – d’Iron Bastards, groupe qui a démarré sa carrière comme cover band de… Motörhead. Mais attention de ne pas non plus trop les réduire ou ils pourraient bien vous envoyer un crochet mortel.
Avec Iron Bastards, ça joue fort, ça joue vite, avec le live en ligne de mire. Vous l’avez compris, Iron Bastards est un trio old school fondé par la nouvelle garde de rockeurs. Autant dire que la relève est assurée. Nous nous sommes entretenus avec le bassiste-chanteur David Bour pour échanger sur tout ceci et qu’il nous parle de leur nouvel opus Cobra Cadabra.
A l’occasion de la réédition des albums et DVD de MOTÖRHEAD par BMG, Radio Metal vous permet de gagner les huit albums studio, trois albums live et deux DVD représentant la carrière du groupe entre 1995 et 2008. Il s’agit de rééditions BMG issues du back catalogue de MOTORHEAD anciennement chez SPV et qui n’étaient plus disponibles depuis plusieurs années. En savoir plus…
Quand Tom Angelripper veut du changement, il ne fait pas semblant. C’était le grand ménage en janvier : le frontman a remercié ses acolytes Bernd « Bernemann » Kost (guitare) et Markus « Makka » Freiwald (batterie), pour quelques semaines plus tard accueillir une toute nouvelle brigade composée de Yorck Segatz (guitare), Stefan « Husky » Hüskens (batterie) et surtout du revenant Frank « Blackfire » Gosdzik (guitare). Sodom non seulement voit le retour d’un musicien qui a marqué son histoire, avec les emblématiques Persecution Mania (1987) et Agent Orange (1989), mais passe également de trio à quatuor pour la première fois de sa carrière.
Premier témoin de ce nouveau Sodom, cherchant à la fois à se renouveler et à se rapprocher de ses racines, sort aujourd’hui un EP baptisé Partisan. C’est à cette occasion que nous avons longuement échangé avec Angelripper, afin de tout savoir sur les motivations derrière ce grand chamboulement, l’état d’esprit du nouveau line-up et ses ambitions sur l’avenir de Sodom. Forcément, avec le retour de Blackfire, nous n’avons pu nous empêcher de soulever quelques questions d’ordre plus historique sur la formation, tandis que le frontman profite des thématiques des nouvelles musiques pour partager son inquiétude sur le monde actuel.
Il y a vingt ans, un Max Cavalera tout juste remis d’une dépression suite à son départ de Sepultura sortait le premier album de son nouveau groupe : Soulfly. Obligé de tout recommencer et de remonter pas à pas la pente, n’ayant rien à perdre, s’offrant toutes les libertés, il s’engouffre corps et âme dans la brèche du metal tribal qu’il avait lui-même ouverte quelques années plus tôt. Vingt ans plus tard, Max Cavalera et Soulfly font plus que jamais partie des incontournables dans le paysage des musiques extrêmes. Le groupe a évolué pour réintégrer le thrash dans son équation et mettre en pratique l’amour du frontman pour la brutalité. Après trois albums où la facette tribale avait presque totalement disparu, le temps est venu pour une forme de synthèse.
Max Cavalera parle de « death tribal » pour qualifier Ritual, nouvel album qui regarde autant l’avenir que le passé, remontant jusqu’aux influences primordiales de Motörhead et des débuts de Sepultura. Surtout, grâce au concours du producteur et fan Josh Wilbur, Soulfly retrouve en partie le sens du groove tribal qui a fait son succès. Ainsi, ci-après, Max Cavalera nous parle de sa démarche. Mais pas uniquement, puisque nous discutons également de rituels, de spiritualité et même de son penchant masochiste !
Comme le format vinyle, Vulcain représente une autre époque, insouciante, où le rock n’ roll était plus que de la musique mais un état d’esprit, où on faisait la fête tous les soirs mais une fois sur scène, « ça ne rigolait plus », un âge d’or de certaines des personnalités les plus charismatiques du rock qui, aujourd’hui, petit à petit, se meurent. Mais comme le format vinyle, Vulcain résiste, increvable, garant d’un savoir-faire humain. Bientôt trente-cinq ans que leur premier album, le classique Rock N’ Roll Secours, est sorti et pourtant voici qu’ils débarquent avec leur neuvième album, intitulé Vinyle.
A l’occasion de cette sortie, nous avons joint par téléphone le chanteur-guitariste Daniel Puzio pour nous en parler et faire quelques retours dans le passé, à leurs début, à l’époque du vinyle, justement, mais aussi rendant hommage à Motörhead et Lemmy qui ont marqué la carrière de Vulcain. On vous laisse découvrir tout ceci, et plus encore, ci-après.
Orange Goblin en a gros. A la fois contents d’une situation où ils sont en mesure de faire vivre le groupe sans avoir à trahir leurs principes et céder aux pressions, mais aussi forcément un peu déçus que la tentative de vivre du groupe ces dernières années ait échouée. Surtout un peu frustrés, comme le répète le frontman Ben Ward, de ne pas avoir encore obtenu la reconnaissance qu’ils estiment mériter. Sans même parler d’une exaspération certaine face à l’évolution du monde. Voilà pourquoi avec leur nouvel album The Wolf Bites Back, Orange Goblin montre les crocs !
Un album qui se veut sombre et agressif, mais surtout tâtant différents terrains où le groupe montre un bel éventail de couleurs, avec toujours en ligne de mire son espace de prédilection : la scène. Voilà de quoi nous parle le loquace et passionné Ben Ward, mais pas que, puisque nous discutons également des maîtres parmi les maîtres : Motörhead et Black Sabbath. Deux influences majeures dont Orange Goblin devient le direct héritier depuis leur disparition du paysage, et au sujet desquels il partage quelques anecdotes.
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